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Ce film n’a vraiment rien pour lui. Le montage est désastreux. Le jeu d’acteur est pénible. Le son est très approximatif, et surtout l’histoire patine à tel point que je n’ai pas pu aller au-delà d’une heure.
Le plus grand opéra rock du cinéma La musique est un des grands moment de la musique fin 70 début 80. les textes magnifiques de Roger Waters, l'inventivité jamais prise en défaut des Pink Floyd, magistralement servit par Alan Parker derrière la caméra et Bob Geldof devant.
Une transposition directe de l'inconscient sur la pellicule. Un film qui reste pour moi un chef d'œuvre de musique et d'images.
Très en deçà du Pina Bausch de Wenders. Juste un reportage télé.
Un peu convenu finalement. Presque une ode à la monarchie. Mais l'homme est touchant dans l'adversité à laquelle nous sommes tous confrontés à notre manière.
Nan c'est pas bon. La dénonciation de la dictature manque sa cible et l'absurde plombe le film.
Très beau. Rien à voir avec l'affiche. Une histoire de famille, de non-dits au scénario retord avec des aller-retours entre deux mondes.
Beaucoup de défauts et de qualités réunis au même endroit. Vincent Cassel m'a indisposé. Mais Natalie Portman donne beaucoup de grâce à l'ensemble.
Bien cette opposition de l'art et des luttes sociales. On ne peut pas créer ou vivre en dehors du monde. Il faut soutenir ceux qui luttent.
Je me suis ennuyé et esthétique numérique noir et blanc m'a déplu. Peut-être qu'avec la deuxième partie cela prend son sens? J'aurais préféré un seul film au lieu de deux à ralonge.
Une oeuvre très noire et rouge sang. Très forte. Dégage un malaise et une grande fascination.
Superbe. On aurait pu faire mieux (je n'ai pas trop aimé l'histoire du silence) mais c'est déjà super jouissif cette manière de faire de la musique avec la ville. Barjot.
Un bonne leçon d'art contemporain. Un artiste très médiatique qui a dynamité son époque.
On peut détester, j'ai adoré. Je trouve que ce film nous parle d'une dégénérescence de notre société et de son besoin de renouvellement par le lien social. La crise est là et nous oblige a nous repenser. Très fort.
Qu'elle ennui. La copie conforme pour moi c'est le tribunal et l'administration. Le film sucite chez moi le même enthousiasme. C'est intello et moche.
Grand classique du cinéma contemporain. En plus d'être visuellement hallucinant, la fable nous parle de notre rapport au monde. Applaudissons.
Un chef d'oeuvre, de musique, de danse, de théâtre et de cinéma. Quel maîtrise dans l'histoire et la réalisation.
Beaucoup d'idée visuelles intéressantes. Plutôt bien mené. Mais où aboutissons-nous?
Pecious est précieuse. Elle évoque tout ce qui est à l'intérieur de nous comme possibles.
presque dérangeante cette histoire et pourtant une certaine tendresse se dégage de ces êtres qui ne comprennent pas le mal que leur inflige une guerre qu'ils n'arrivent pas à dénoncer.
Magique. Une moment de grâce à l'accent Québécois. Si eux peuvent s'aimer, pourquoi pas nous. Et leur manière de s'aimer est tellement spontanée qu'elle nous réveille. Tout cela n'est possible que dans une société qui prend en charge ces différences et laisse vivre les individus. La musique est à pleurer.
Une virée dans la mafia du Nord de l'Europe. Décapant et intéressant.
Plus raté ce portrait de musicien raté. J'ai apprécié la radicalité de la pente, mais l'ensemble ne m'a pas paru pertinent. A commencer par la musique.
Ne pas se laisser guidé par le titre. Il n'y a que générosité dans ce film. Mon jugement l'améliore avec la distance. Un peu agacé par le pathos au départ, le valorise la qualité du sujet et sa radicalité. Le genre de film auquel la mémoire fait référence pour comprendre le monde. Une histoire vraie.
Trop formaté, le plat perd de sa saveur et la livraison n'aboutit pas véritablement, mais le chemin n'est pas inutile à parcourir.
Un magnifique portrait de l'écrivain qui s'appuie sur son grand livre qu'il faut cependant lire pour mieux comprendre. Un superbe interprétation.
Pas mal cette comédie dramatique très formatée. Le fantasme de l'évasion pour un modeste employé est poussé assez loin mais avec très de sérieux au final.
Sympathique portrait de la société japonaise d'aujourd'hui, au travers de deux familles aux styles contradictoires. La vie est un long fleuve tranquille. Mais on aurait aimé plus de synthèse au final.
J'aurais bien voulu voir les deux pour me faire une idée complète. Charlotte Gainsbourg ne m'a pas convaincue dans cette partie. Alors que Stacy Martin fait le boulot. Pas aussi réaliste qu'on le voudrait, on reste dans le fantasme. Et la mise en scène avec le vieux qui écoute un peu niaise. Une critique sans doute un peu dur pour un film qu'il faudra reprendre.
Un grand film, le grand film peut-être sur la Chine d'aujourd'hui. Aussi fort que Balzac au XIXème chez nous. Tout est parfait. Jamais on se pense dans une fiction tellement tout est magnifiquement orchestré. La forme ne prend jamais le pas sur le fonds et les acteurs sont au service de l'histoire. A revoir.
Une histoire atroce décrite avec douceur (trop), merveilleusement incarnée. Un scénario un peu mieux construit en aurait fait un grand film. Beaucoup d'émotion.
Ne vaut que pour la reconstitution d'époque extrêmement soignée (trop?). L'histoire est bidon et l'ensemble largement surjoué.
Personnellement, l'esthétique m'a un peu fatiguée. Un noir et blanc trop maniéré peut-être. Mais c'est surtout le couple des deux femmes imperméables l'une à l'autre qui est décevant. Le fonds de l'intrigue est pas mal mais sous exploitée. Reste un vrai film cependant.
Un film nécessaire. Réalisé avec beaucoup de maîtrise. Magistralement interprété. Un peu trop lyrique sans doute mais l'histoire est très maîtrisée.
Très très bien ce duo amoureux qui se perd. Une grand valse à l'esthétique impeccable et un vrai sens du rythme.
Finalement salutaire cette farce politique très humaine qui pose les vraies questions. Vive la liberté.