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Chantal Lauby et Christian Clavier sauvent un jeu d'acteur pas franchement brillant sur les seconds rôles.
Sympathique.
Sympathique.
Consistant, pathétique, dépouillé, très bien interprété et fort bien mis en scène.
"Birdie Num Num"
Vous pouvez remballer les Very Bad Trip et autres Projet X. La vraie soirée qui dégénère se trouve ici.
Et cerise sur le gâteau, elle nous est servi par un Peter Sellers au poil !
Vous pouvez remballer les Very Bad Trip et autres Projet X. La vraie soirée qui dégénère se trouve ici.
Et cerise sur le gâteau, elle nous est servi par un Peter Sellers au poil !
Au carrefour entre délire scénaristique et exercice de style spoiler:
le plan séquence d'1h45 fais franchement mal au crânespoiler:
. On en ressort un brin soulagé et désagréablement conscient de la condescendance de ce film qui au final vise plutôt une pseudo intelligentsia cinématographique que les profanes que nous sommes.
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Une intensité incroyable durant 2h45 qui trouve son apothéose dans un final grandiose et théâtral qui nous laisse K.O debout.
Un chef d'oeuvre.
Un chef d'oeuvre.
La tragédie romantique qui se joue sous nos yeux (et ceux du pauvre Scottie) prend le pas sur le film à suspens.
Un film avant tout dramatique magnifié (encore un fois) par la performance XXL de Mr Stewart.
Un film avant tout dramatique magnifié (encore un fois) par la performance XXL de Mr Stewart.
A l'instar des Sentiers de la Gloire, Kubrick livre un violent pamphlet contre la Guerre (froide en l'occurrence), tout autant qu'il nous dépeint l'absurdité de l'Homme, de sa vanité, de sa folie mégalomane, et de sa récurrence à ériger des tours de Babel qui le fige dans sa peur irrationnel d'un ennemi supposé et qui est dans le même cas que lui.
Une scène d'action géante et complètement hallucinante de 2h. Pas d'introduction, pas de scénario (superflu ?), on prend le train en marche et on s'accroche !
2 étoiles pour la scène d'intro. Le reste pour Joaquin.
Une épopée servie par un casting et des images de qualité. Plaisant.
Surprenant et prenant (malgré quelques longueurs), et ce sentiment frustrant qu'il nous manque une seconde clé de lecture pour comprendre où le metteur en scène veut nous emmener.
Cynique, amoral et esthétique. Plus thriller psychologique que véritable polar, il est intéressant de voir l'intrigue des yeux des meurtriers... et des énormes plans-séquence d'Alfred. Belle prouesse stylistique et puis... James Stewart !
Retour au source : le bien affronte le mal dans une vision simpliste et manichéenne de la chose, sur fond de tragédie familiale.
On notera cependant la bonne surprise d'un méchant (Kylo Ren en l'occurrence) plus travaillé et torturé que son prédécesseur DV. Bon point.
Pour le reste, le grand spectacle est au rendez-vous !
On notera cependant la bonne surprise d'un méchant (Kylo Ren en l'occurrence) plus travaillé et torturé que son prédécesseur DV. Bon point.
Pour le reste, le grand spectacle est au rendez-vous !
On retrouve Hubert toujours au top niveau, emmené par un J. Dujardin qui tient toujours aussi bien l'écran et qui surnage par rapport à ses collègues.
Certains gags sont très bien ficellés, d'autres très "border line" (il faut oser enchaîner les blagues antisémites).
Gros point noir : le rythme n'est pas toujours au rendez vous. A trop vouloir faire des rebondissements, ca en devient lassant. Dommage. Une suite honnête qui égale le ...
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On pourra effectivement lui reprocher sa lenteur scénaristique et ce côté globe-trotter qui donne l'impression d'empiler les destinations sans réel but.
Reste que le charme de James est toujours là (et ses James Bond Girls aussi).
Reste que le charme de James est toujours là (et ses James Bond Girls aussi).
La rencontre des titans tient toutes ses promesses. Ces trois animaux cinématographique mangent littéralement l'écran. Toute l'habileté d'H. Verneuil ne réside pas temps dans la mise en scène (très formelle pour l'époque), que dans l'équilibre trouvé pour laisser ses acteurs principaux s'exprimer, que ce soit sur l'important de leur rôle que leur présence à l'écran.
Du cinéma de papa comme on aime.
Du cinéma de papa comme on aime.
Cela devient une habitude avec cette franchise, qui s'installe un peu plus comme une référence en matière de divertissement à grand spectacle, mais il faut bien l'avouer : ST Sans Limites est le seul blockbuster de l'été qui s'en sort avec un sans faute. Du rythme, du spectacle, de la pyrotechnie, une maitrise certaine dans la mise en scène et juste ce qu'il faut d'humour. Le seul regret serait peut être le grand méchant, trop peu ...
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Un film sombre, minimaliste et épais. L'archétype du polar de son époque. Et puis Delon, cet animal...
Du rythme, du spectaculaire (un peu trop par moment d'ailleurs), une maîtrise certaine du metteur en scène (qui reste une des références en la matière). Le seul hic ? Le scénario est un copié/collé des premiers épisodes. C'est pas parce que c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures confiottes qu'il faut nécessairement servir du réchauffé...
Un bon petit feel good movie. Sans prétention et à l'ancienne. Il a beau embrasser à pleine bouche les clichés du genre, Eddie the Eagle nous fait quand même passer un bon moment.
Le principal problème de ce filme ne réside pas dans le jeu de ses acteurs (plutot convainquant), ni dans sa mise en scène (maîtrisée). Non le seul véritable problème c'est qu'avant Chanel, la vie de Coco n'était pas d'un intérêt tel qu'il faille y consacrer un film.
Un scénario vite emballé et mal ficelé qui vire très rapidement dans le grotesque et la parodie. Roland nous avait déjà montré par le passé que ses talents se situaient plutot du coté des effets pyrotechniques que de la direction d'acteurs. Il ne déroge toujours pas à sa réputation.
Catastrophique. Entre un montage coupé à la serpe et un scénario d'une faiblesse incroyable que vient plomber (si ce n'était pas suffisant) une profusion de vannes faciles et systématiques, ce spectacle met mal à l'aise. Voulant certainement contrebalancer la critique ayant jugé BvS trop sombre, Warner a torpillé sa Suicide Squad d'un esprit potache et caricatural.
Nous passerons enfin sous silence la prestation du Joker, pour s'attarder ...
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Caricatural à souhait. La bonne volonté est là, quelques situations prêtent à sourire mais l'ensemble reste superficiel et plat.
Rien à dire sur la mise en scène : l'ami Clint maitrise son sujet de bout en bout. Pour ce qui est du sujet, j'hésite entre le pamphlet adressé à cette guerre qui détruit les hommes de l'intérieur comme de l'extérieur ou bien une propagande à peine voilée sur la grandeur de la nation US et de ses boys, hérauts de la Liberté face à l'obscurantisme de ces sauvages... Connaissant le bonhomme j'ai tendance à pencher pour la seconde option.
Le découpage en 2 parties (je questionne sur la place d'un quasi-Dieu parmi les Hommes et des pouvoirs que l'on peut lui donner, puis j'arrête de me poser des questions et je balance 1h de baston non stop) est trop net. Cela aurait mérité plus de nuances et de mélange. Mêmes effets, mêmes conséquences que sur Man of Steel. L'ensemble reste cependant solide et créé l'intérêt pour la suite.
Interprétation majuscule de M. Foïs qui incarne littéralement ce personnage à la fois pathétique et psychopathe. Les regrets sont d'autant plus grand que le film met littéralement 1h à démarrer pour une intrigue finalement conventionnelle pour le genre.
Clairement l'épisode de la nouvelle trilogie à tous niveaux : manque cruel de rythme, effets spéciaux ratés, manque de charisme des personnages principaux, jeu d'acteurs en berne (S. Turner propose une composition d'un platitude navrante)... Bref, circulez y a (pas grand-chose) à voir.
Ce Tarzan est beaucoup trop hygiénique et fade (voire clairement risible par moments) pour rester dans les mémoires...
Ils ont même réussi à rater quelques effets numériques sur la jungle.
Ils ont même réussi à rater quelques effets numériques sur la jungle.
Une série B honnête. Le ton est réactionnaire au possible, l'intrigue bas de plafond mais le tout est suffisamment homogène pour divertir.
Reprenant les ficelles de films tels que Taken : un vétéran retiré des affaires obligé de reprendre du service.
Apres Liam, c'est Sean qui tente sa chance, avec moins de réussite que Liam toutefois.
Scénario écrit sur un post-it, casting étonnamment fourni et scènes d'action vue et revue.
Aussitôt regardé, aussitôt oublié.
Apres Liam, c'est Sean qui tente sa chance, avec moins de réussite que Liam toutefois.
Scénario écrit sur un post-it, casting étonnamment fourni et scènes d'action vue et revue.
Aussitôt regardé, aussitôt oublié.
Étant peu au fait de l'Histoire de l'Angleterre du 13eme siècle, je ne jugerais pas de l'authenticité de l'histoire qui nous est contée ici. Reste que cette croisade médiévale est honnête, violente, un poil longue, mais au final remplie son office. N'en attendant pas grand chose, je ne peux qu'être peu déçu me direz-vous...
Une narration empêtrée en début de film que la complicité évidente des 2 acteurs principaux ne parvient pas à sauver. Rythmé et traversé par des jets d'humour à propos, The Nice Guys laisse quand même un petit quelque chose de loupé. Rageant.
Le récit d'aventures permet à J.Huston d'exploiter une trame plus dramatique. Au travers de la quête initialement louable, de la recherche d'or, le réalisateur nous montre les travers de l'Homme dès lors qu'il s'agit de s'enrichir. Le tout concentré en grande partie dans le personnage de H. Bogart, magistral. Folie paranoïaque et cupidité mettent en exergue cet idéal vain. Le dénouement, certes naïf, nous rappelle d'ailleurs que la ...
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Adaptation globalement décevante du jeu culte de Blizzard.
Entre effets spéciaux anormalement "cheap" par rapport au budget du film, costumes en toc et jeu d'acteur digne d'une série TV des années 2000 Warcraft peine à emballer et ne trouve jamais le souffle épique auquel il aspire.
Entre effets spéciaux anormalement "cheap" par rapport au budget du film, costumes en toc et jeu d'acteur digne d'une série TV des années 2000 Warcraft peine à emballer et ne trouve jamais le souffle épique auquel il aspire.
A l'image de son personnage principal, american ultra est très souvent stone malgré des montées de rythme pétaradantes. Reste que cette atmosphère spéciale permet d'exploiter au mieux l'alchimie et la tendresse particulière qui se dégagent du couple Eisenberg/Stewart.