Michael78420
Membre depuis le 17 avril 2005
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Un film qui devait sûrement être très bien à sa sortie en 1976. Vu pour la première fois en 2024, je suis sorti perplexe. Le sujet de fond (les anciens Nazis partis vivre en Amérique du sud) est plutôt bien traité. Même si on s'interroge sur le rôle de Janeway (William Devane) et Doc (Roy Scheider) vis-à-vis du docteur Szell (Laurence Olivier). Babe (Dustin Hoffman), contrairement au titre du film, est en fait un apprenti marathonien. ...
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Pari audacieux que de faire un film sur une astronaute, sans jamais la montrer dans l'espace. On pourrait craindre l'ennui à force de voir Sarah (Eva Green) s'entrainer sur Terre. Il n'en est rien. Les décors authentiques, les quatre langues parlées couramment par l'héroïne (français, anglais, allemand, russe) et même la présence de Thomas Pesquet, donnent le sentiment d'assister à un documentaire intime. On comprend que Sarah a voué sa ...
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Un film de potes correct, mais qui ne restera pas dans les annales malgré la qualité du jeu des acteurs (à part François-Xavier Demaison qui livre ici une prestation en dessous de son niveau habituel). Il manque de bonnes répliques mémorables, comme lorsqu'Éric Elmosnino cité Pierre Desproges : "Ce n'est pas parce que l'homme a soif d'amour qu'il faut se jeter sur la première gourde." Ou encore lorsque Stéphane De Groodt dit : "Le monde ...
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Où sont les cigarettes de Teddy Daniels (Leonardo DiCaprio) alors qu'il arrive en bateau à Shutter Island ? Pourquoi porte-t-il la cravate offerte par sa femme décédée ? Que signifient les flashbacks qu'il perçoit par moments ? Quel est le motif de la visite des deux marshalls ? Qui est Rachel Solando ? Qui est Andrew Laeddis ? Toutes ces questions se bousculaient, m'amenant dès les premières minutes à douter. Soudain l'une des ...
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Ce n'est pas forcément une très bonne idée que de voir à la suite les trois films. On se rend ici tout de suite compte que le casting fait beaucoup. Audrey Lamy est très loin de Valérie Lemercier. Jean-Paul Rouve semble mal à l'aise dans son costume et n'arrive pas à faire oublier Kad Merad. Même Pierre Arditti semble à côté. À moins que ce soit la réalisation qui pêche. En tout cas j'ai eu du mal à rentrer dedans, regardant même ...
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Le talent de Natalie Portman, du haut de ses douze ans lors du tournage, est sans conteste la révélation de Léon. Le duo qu'elle forme avec Jean Reno est touchant. Chacun de leurs personnages transmet son savoir à l'autre tout en se rendant mutuellement service. Une belle relation contrariée par le personnage de flic véreux incarné avec brio par Gary Oldman très inspiré. Revu en 2024, soit trente ans après sa sortie, Léon me semble ...
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Ça commence bien, puis assez vite ça s'essouffle. Présenté comme la suite du film Le Petit Nicolas sorti cinq ans plus tôt, on se demande ici où est passée la petite sœur au cœur de l'intrigue du premier opus... Quant à la belle-mère du père de Nicolas (Dominique Lavanant) elle est insupportable, distillant son venin à chaque occasion ! Le seul moment où elle est appréciable étant pendant qu'elle ronfle près du père de Nicolas ...
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La plongée au cœur des années 1960 est réussie. J'ai retrouvé avec plaisir l'univers des livres de Sempé et Gosciny que j'ai lus adolescent (peut-être un peu tard à la réflexion). Les méthodes d'éducation avec les écoles de garçons d'un côté et de filles de l'autre, les heures passées par les élèves dissipés au coin en classe, les lignes à copier des centaines de fois comme punition, les uniformes, etc., ont dû surprendre les ...
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De prime abord, on peut être surpris par le comportement des gigolos voyant dans de riches veuves des proies à conquérir. Exactement le comportement de jeunes femmes qui tournent autour d'hommes riches, cela dit... L'âge aidant, le gigolo se fait moins attirant. Sammy (Thierry Lhermitte), maître en gigologie, explique à Alex (Kad Merad) les nouvelles données de cette activité professionnelle : "Aujourd'hui faut s'entretenir. Faut avoir la ...
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Le genre de film qu'on regarde comme l'album photo d'une grand-mère âgée, par respect, en se disant que tout ça bien vieilli... j'ai tenu vingt minutes. À éviter, sauf à préparer une thèse sur la filmographie de Jean-Paul Belmondo.
Que serait un monde sans les Beatles ? Sur le même modèle que Jean-Philippe, qui pose la même question au sujet de Johnny Halliday, Yesterday nous interroge au travers d'une uchronie romantique. En s'appropriant la musique de ses idoles en faisant croire qu'elle est de lui, le héros sait bien au fond de lui qu'il est un imposteur. Il montre ainsi le caractère exceptionnel de la musique des quatre garçons dans le vent. Ed Sheeran lui-même ...
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S'agit-il d'une critique des pseudo-thérapies chamaniques ? D'un message de soutien aux hommes en général ? D'une démonstration que la fraternité suffit bien souvent à surmonter bien des obstacles de la vie ? Que la Drôme est un bien beau département ? Je ne sais dire. Les acteurs jouent une partition qui semble écrite au fur et à mesure qu'ils avancent. Chacun s'en sort bien et leurs personnages se débattent avec leurs problèmes au ...
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Bien moins bon que Le Masque De Zorro, cette suite modernisée des aventures du célèbre justicier masqué en fait trop. D'abord par le contexte historique, celui de la création de l'État de Californie en 1850, qui nécessite presque d'avoir un diplôme d'histoire américaine pour suivre. Ensuite par la complexité de l'intrigue, avec le mouvement Orbis Unum prétendument millénaire, et les chevaliers d'Aragon, bien loin de la simplicité des ...
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"Quand l'élève se montre prêt, le maître va apparaître." Plus simplement : "Quand l'élève est prêt, le maître apparaît." C'est ainsi que Don Diego de la Vega (Anthony Hopkins) prévient Alejandro Murrieta (Antonio Banderas). Le premier poursuivant l'éducation du second avant son entrée dans le grand monde : "Un aristocrate n'est rien de plus qu'un homme qui dit une chose et en pense une autre." Les deux hommes se passent le témoin ...
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Le prototype du film de Noël raté. Du début à la fin, rien ne va. On a l'impression que la recette qui fait le succès de ce genre de films a été suivie à la lettre sans y mettre l'esprit. Les répliques tombent à côté, la relation entre les amoureux semble feinte, les rebondissements sont plats. Seules les chorégraphies des strip-teasers valent le détour (surtout pour les femmes). On est presque triste pour eux d'avoir fait tant ...
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Emily (Lily Collins) cette fois-ci n'est pas "in Paris" mais au royaume d'une reine délirante interprétée par la délicieuse Julia Roberts. Trop délicieuse d'ailleurs pour incarner la reine acariâtre que j'avais en tête. C'est un des aspects déroutants de cette version revisitée de Blanche Neige. Comme cette augmentation des taxes et des impôts, pendant que la reine donne des fêtes somptueuses... toute ressemblance avec une situation en ...
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L'amour est-il soluble dans les services secrets ? Vous avez deux heures. Les cascades sont époustouflantes, les gadgets toujours aussi introuvables 12 ans après la sortie du film chez les meilleurs distributeurs de produit de haute technologie, les agents doubles font toujours autant froid dans le dos, et Tom Cruise est excellent. Un très bon cru qui reste cependant dans la même veine que les précédents donc pas forcément de nature à ...
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De l'absurde, de la caricature et des hommages à des tas de films, en veux-tu en voilà. Ce deuxième opus, quoiqu'un peu en dessous du premier, est un festival avec cette fois-ci une belle parodie de Rambo, portée par un Charlie Sheen tout en muscles. Les répliques délirantes s'enchainent entre deux bagarres improbables : "Je vois, tu as appris à souffrir !", dit le terroriste en train de torturer son prisonnier. "J'ai été marié deux ...
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Le genre de film à montrer aux aspirants au divorce. Histoire qu'ils se rendent compte dans quoi ils s'embarquent s'ils laissent leurs égos prendre le dessus. Pourtant dans les premières années, tout semble bien aller malgré de maigres moyens financiers. Ainsi Barbara (Kathleen Turner), ventant les performances professionnelles de son mari Oliver (Michael Douglas) s'exclame après lui avoir offert une superbe voiture : "Tu vas bientôt ...
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"Ils essaient de boycotter Noël cette année." Voilà la réplique qui à elle seule résume le film. Ils essaient... envers et contre tous ! C'est d'ailleurs ce qui est le plus déroutant dans ce film, fêter Noël avec force décorations et repas partagés étant imposé par la communauté. La première moitié est bien vue, avec une lutte menée par Luther (Tim Allen) et sa femme Nora (Jamie Lee Curtis) qui occasionne quelques scènes ...
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Déroutant, surprenant, étonnant, on termine Yannick en se disant qu'on vient de voir un film inclassable, rare et qui interpelle. Déjà par son format, un peu plus long qu'un épisode de série télé, beaucoup plus court qu'un film. Ensuite par la force du personnage principal, Yannick (Raphaël Quenard), dont l'authenticité et la simplicité dénotent avec l'idée qu'on se fait d'un public de théâtre. Enfin par la qualité du script et de ...
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Tout commence à La Courneuve, altitude 29m. Par amour Samy Diakhate (Ahmed Sylla), part à l'ascension de l'Everest. Ce qui parait complètement fou, surtout pour quelqu'un qui n'a aucune expérience de la montagne et aucun budget. Pourtant, il trouve le financement auprès d'un banquier peut-être aussi fou que lui, mais qui a vu l'opportunité qu'il représente sur le plan médiatique. Au fur et à mesure de son voyage, la communauté animée ...
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Œuvre rare, mêlant faits historiques et faits imaginés, Gangs Of New York se fait une belle place parmi les fresques historiques. Daniel Day-Lewis est exceptionnel, incarnant un Bill le Boucher sanguinaire et défendant une Amérique aux natifs américains (comprendre : pour ceux qui descendent de ceux qui sont arrivés d'Europe et ont exterminé les Indiens...). Il donne d'ailleurs sa définition : "Un natif est un homme qui a le courage de ...
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Catastrophique. Les efforts de Pierre Richard n'y font rien. On s'ennuie, les gags tombent à plat, aucune réplique n'est drôle. Un vraie déception pour un film de Claude Zidi. Pourtant le scénario avait de bonnes bases, mais le rythme est mauvais et Jane Birkin ne fait rien non plus pour le rendre intéressant. J'y avais échappé pendant près de cinquante ans. J'aurais pu m'en passer. À éviter, même pour les fans de Pierre Richard.
Créatif, rafraichissant, familial et parfois même suscitant réflexion, Loups-Garous est une belle comédie fantastique comme on n'en a pas eu depuis longtemps en France. Certes la projection temporelle dans une époque lointaine (ici 1497, ça ne nous rajeunit pas ! Mais pourquoi cette date ?), ou encore l'immersion dans un jeu, ont déjà été traités. Mais il y a ici une touche d'originalité qui fait du bien. Mention spéciale et ...
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Layla (Christina Milian) rêve d'un marché de Noël à Paris... tu peux rêver ma belle, il n'y en a pas ! À part cette étrangeté preuve flagrante de la méconnaissance de la capitale de la France par le scénariste, les trois premiers quarts de ce film évitent de justesse l'extinction prématurée. Layla et Teddy (Devale Ellis) cherchent par tous les moyens un billet pour assister à un concert où elle est sensée retrouver un gars sur ...
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Sylvester Stallone en gars mou, fatigué, timide, sous le joug de flics mafieux, gras du bide, voilà un rôle totalement inattendu pour celui qui a incarné l'essence même de l'homme viril. Ici il n'est rien de tout ça. Son jeu est plus intérieur, dans ses regards, ses épaules tombantes, son pantalon trop court, sa démarche pataude. Le duo qu'il forme avec Robert De Niro fonctionne bien, même si j'aurais aimé les voir ensemble plus ...
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Quelle performance de Benoît Poelvoorde ! Sa prestation est remarquable, en danse, au chant, comme dans les scènes de comédie. Son personnage est un sosie attachant, passionné (forcément un peu trop), habité par son modèle (mais qui sait quand-même aussi être banquier). De son côté Jean-Paul Rouve fait un Michel Polnareff tout à fait crédible et Anne Marivin une Claudette exemplaire. Le script regorge de bonnes répliques comme "Tous ...
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Les effets spéciaux sont splendides, mais les combats quasi permanents ont finis par me lasser. J'ai même eu un mal fou à comprendre les motivations de Marcus Wright (Sam Worthington) en 2018... jusqu'à ce qu'une scène révèle la vérité sur ses nouvelles origines. Les clins d'œil aux épisodes originels (ceux réalisés par James Cameron) sont bienvenus pour donner un supplément d'âme à ce carnage. Ainsi ce coup-ci c'est John Connor ...
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Quel scénario ! Mélange de plusieurs genres, le spectateur assiste à la chute d'Eric (Lambert Wilson), dans un enchevêtrement d'histoires menées par un personnage qui lui fait face dès le début, mais dont on ne sait rien (en tout cas pas pendant un bon moment). Sur fond de reconnaissance du travail des traducteurs (pour qui les temps sont plus difficiles avec l'IA, mais le film, sorti en 2020, n'a pas anticipé ce raz-de-marée), on sombre ...
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Ah qu'il est difficile de reprendre une série culte ! Pour qui a regardé Starsky & Hutch dans les années 1970-1980, on retrouve ici les codes vestimentaires, les attitudes (surtout Starsky incarné par Ben Stiller comme s'il était habité par Paul Michael Glaser, alors qu'il manque à Owen Wilson le côté british qu'avait David Soul quand il interprétait Hutch), et bien-sûr la mémorable Ford Grand Torino dont l'entrée en scène est ...
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Superbement bien écrit et magnifiquement bien joué. Les répliques fusent à toute allure, c'est un délice ! Patrick Bruel expliquant en voix off les parcours d'Élisabeth et Pierre, fait un discret hommage à Jean-Jacques Goldman : "Malgré toutes leurs différences, tous ces défauts qui sont autant de chances." Élisabeth (Valérie Benguigui) au sujets d'amis Parisiens désormais banlieusards : "Ils sont partis à Bougival, on ne les voit ...
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"Trou du cul la femme, chausson par la fenêtre." Si quelqu'un comprend cette expression, qu'il se dénonce ! La véritable reine de ce film est sans conteste Maïtika, la mygale de la taille d'une assiette à dessert, mais plus velue. Cela dit elle a l'air étonnamment calme et docile dans les mains de Mimi-Siku. Lequel semble avoir, du haut de ses dix ans, un don particulier avec les filles qui lui parlent avec leurs yeux, et dont il sait ...
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Une belle représentation de l'Europe en construction. Une génération née dans les années 1970 apprend à vivre ensemble, dans un melting pot de langues et de cultures. Les caricatures des uns et des autres y passent, Espagnols, Anglais, Italiens, Allemands, Danois, Belges et bien-sûr Français. Tout ce petit monde se découvre et apprend à se comprendre, avec la musique comme consensus, lorsqu'un Américain joue No Women, No Cry à la ...
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Il y a de bonnes idées mais un problème de rythme. La réalisation a pu être handicapée par les périodes de confinements. Le choix du casting n'est pas des plus judicieux. J'aurais plutôt vu Thierry Lhermitte à la place de Patrick Timsit et inversement. Côté script, ça manque de bonnes répliques. J'ai juste noté cette séquence entre Sylvie (Isabelle Nanty) et Sandra (Michèle Laroque), la première invitant la seconde à se détendre ...
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Magnifique film porté par un Omar Sy somptueux aussi bien dans la frivolité que dans la joie donnée à un enfant ou encore dans les tensions dans un couple qui se déchire devant les tribunaux. Le scénario propose un regard intéressant sur le rôle de père dans notre société et montre les dérives d'un système judiciaire qui donne à la mère un pouvoir excessif (quand elle s'en sert). Joli regard aussi sur les rapports père-fille. À voir absolument.