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Quel intérêt de faire une n-eme adaptation, dans rien ajouter à l’histoire écrite par Dumas ? Des acteurs sélectionnés selon leurs physiques bourgeois gaze, un jeu pas crédible, une belle carte postale des beaux châteaux de France. Pour l’export et pour la télé, même si je recommande le livre ou les vieilles interprétations à la place.
Je l’ai vu l’an dernier. Je me souviens peu du scénario, mais je me rappelle la tension. Des les premières secondes, cette tension. Cette caméra qui glisse de manière étrange. Ces plans serrés. Ce chien au regard étrange. Et la comédienne, avec sa tête si allemande, quel jeu, quelle claque !
Toujours en tension, sur le fil, sans jamais glisser du côté facile, convenu, complaisant, avec n’authentifie. Wow, j’aimerais tant ...
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Très bon premier film avec une belle maîtrise de la caméra et des lumières. Dommage que quelques scènes un peu faciles viennent polluer le scénario.
C'est très drôle c'est original et très rythmé c'est intelligent ça se regarde bien… et ça s'oublie.
Un film au scénario "à l'iranienne" en version Europe de l'Est. Super, en dehors de la musique un peu galvaudée. Une belle œuvre qui va au-delà du contexte local et du moment. Merci !
C'est le film le plus subtile, profond et philosophique que j'ai vu depuis longtemps. Camera splendide qui évite les clichés en plein Havana pourtant si "picturesque". Une mise en abime autour de l'image-histoire, image-mouvement, image de soi comme observateur. Un film sublime d'intelligence.
Rarement vu un film aussi cru et fin à la fois. Des acteurs brillants, un jeu magnifique.
Une belle caméra et de beaux acteurs. En revanche le propos de ce film est le fantasme classique de la femme source du mal et de la vie, dont le rôle exclusif est d'enfanter. Après les premières belles images, le film devient insupportable de bêtise et de cruauté mal à propos.
Un petit gars découvre l'écroulement imminent d'un HLM de huit cents âmes. Il court prévenir la maire et les notables de cette bourgade de Russie d'aujourd'hui. Dilemme. Comment reloger les occupants ? S'exposer à l'enquête qui découvrira que les millions de budget d'entretien sont détournés ? Porter la responsabilité de la gabegie ? A tout prendre, il vaut mieux laisser crever les misérables, et faire porter le chapeau à deux ...
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Peut-on reconstruire la vie sans régler les comptes avec son passé ? Peut-on vivre sans rétablir la justice ? La question pourrait paraître métaphysique. Elle se pose très concrètement dans cette Allemagne d'après-guerre où les anciens SS occupent des postes à responsabilité dans l'économie et dans toutes les sphères de l'Etat. C'est que les victimes ne sont plus là pour demander des comptes. La plupart des survivants de ...
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Je me suis fait avoir à supporter durant deux heures et demie ce navet prétentieux. Tant de talent et de moyens pour un pur "produit" sans âme.
Quel gâchis que d'employer de si bons acteurs sur un si mauvais scénario ! La naïveté des dialogues est digne des premiers Star Wars, mais malheureusement les scènes d'action en sont loin. Bref, rien ne vient au secours de ce pauvre script, ni même le fait de filmer par drones - technique bien maîtrisée par tous les filmeurs de mariages.
L'intrigue tient en haleine, les émotions son suggérées sans excès, le minimalisme du décor est parfaitement à propos, et l'actrice principale est d'une rare justesse. La réalité sans larmes.
Des paysages magnifiques, de très beaux acteurs, une belle bande-son. Mis à part ça c'est un film bâclé au scénario prévisible et aux dialogues dont la mièvrerie prête à rire.
Il est difficile de faire un film à la hauteur d'un livre aussi immense. Scorsese, conscient du défi, s'en sort de manière originale, avec le parti pris d'une extrême simplicité, et la construction d'une narration naïve, opportunément idée par une belle bande son (P Gabriel) et d'excellents acteurs. Le film donnera envie de lire le livre, un chef d'œuvre.
Un regard de réalisateur délicat, juste, tout en retenue. Casting parfait, et un jeu d'acteurs à la hauteur du caméra, le personnage principal a une terrible présence.
Les rues de Sofia, l'horizon des banlieues, la chaleur décrépie du béton, le chien qui traine sur le trottoir... Kalev grave un portrait précis, humain de la Bulgarie post-communiste, en réussissant l'exploit d'éviter tout cliché ou facilité.
Le rythme des images ...
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Un grand sujet, un très bon scénario, une musique que je trouve sublime, et un jeu d'acteurs pas franchement convaincant. Prix spécial pour les dialogues des "pauvres"... on dirait des pauvres vus de Neuilly.
Ceci dit en y pensant, cette gaucherie colle finalement bien au sujet et à l'ambiance générale décalée du film.
Est-ce que j'ai aimé ? Oui, même si j'ai eu du mal à entrer dans le film.
Si vous n'adorez pas Daroussin comme ...
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Un film juste qui traite un sujet bouleversant. C'est bien l'humanité du personnage d'Hitler qui glace le sang. Le Furher n'est pas une entité abstaite, mais bien un homme, tout comme le nazisme est l'oeuvre d'hommes et de femmes qui vont jusqu'au bout de leur idéologie.
Il y a d'un côté Hitler l'affable, et de l'autre Hitler le Furher. Le rôle est au-dessus de la personne, au dessus de l'humanité. L'homme obéit à son rôle, c'est une ...
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