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Sans prétention, bonne de comédie de genre. Pas de révolution, pas de grands éclats de rire mais un bon moment qui donne le sourire.
Les acteurs donnent l'impression de s'être bien amusé eux aussi sur le tournage.
Les acteurs donnent l'impression de s'être bien amusé eux aussi sur le tournage.
On ne voit pas le temps passé ! Pour ma part, j'ai appris beaucoup de choses sur l'homme derrière l'artiste. Enorme performance de Tahar Rahim.
Centré sur la psychologie on se demande quelle porte de sortie, le personnage principale va-t-il choisir. Tout est dans la suggestion, pas de violence montrée ce qui le différencie des derniers films d'Eastwood.
Plongée dans les années 80 avec un tas de références qui m'ont plongés dans mon adolescence. Une histoire à la Roméo et Juliette sur fond de classe sociale, des opportunités de vie et de la recherche de soi.
Représentation d'un moment de l'histoire de l'éducation en France, une tranche de vie dans les campagnes au début du 19e siècle.
Très bon jeu des acteurs et beau traitement au niveau de l'image.
Très bon jeu des acteurs et beau traitement au niveau de l'image.
L'idée de départ est sympathique - un vrai mythe autour de cet alunissage - Très bonne ambiance 70 et de bonnes scène de comique de situation
C'est visuellement grandiose, très bien interprété cependant est-ce le fait d'avoir plusieurs adaptions du roman sous diverses formes mais j'ai trouvé beaucoup de longueurs dans le film.
C'est lumineux, joyeux et emprunt de nostalgie tant au niveau de l'histoire que sur la réalisation. On s'attache réellement à ces personnages très proches de soi, à cette famille un peu dysfonctionnelle mais si commune.
L'histoire est profonde et dure sur de nombreux aspects. Il y a une justesse tant au niveau de la réalisation, de l'image que du jeu des acteurs. Cela touche, on se demande ce qu'on ferait dans ces situations. Il y a toujours cette sensation de lumière au bout du tunnel.
Mignonne comédie où il manque le petit truc en plus. Soit il fallait pousser dans l'absurde, soit l'ancrer un peu plus dans la réalité. On est pas porté par des émotions.
Tous les éléments sont réunis pour une magnifique comédie : du rire, de l'émotion, des acteurs / personnes qui sont extraordinaires. J'espère que cela ouvre un peu plus la port à l'inclusion que cela mènera vraiment à un changement dans la perception du handicap.
Un pan de l'histoire à ne pas oublier, un engagement à comprendre et une vérité à établir.
La réalisation ressemble à un patchwork entre fiction, documentaire et fondu au noir qui n'aide pas à rester dans l'histoire.
La réalisation ressemble à un patchwork entre fiction, documentaire et fondu au noir qui n'aide pas à rester dans l'histoire.
Porte d'entrée dans les coulisses d'une maison de vente aux enchères, avec des personnages haut en couleur et une histoire sur fond historique.
Il y a une part onirique avec le chevalier et la figure de Jeanne d'Arc qui se retrouve aussi dans ses paysages. Le montage complexifie parfois la lecture et le sens du voyage reste un peu caché.
Une histoire forte presque irréelle qui met en avant la puissance de lien invisible qui peut unir les êtres. Très beau paysage, les acteurs sont justes. Un moment d'émotion
Bonne comédie où les plus de 65 ans sont mis en avant. On rit au comique de situations, on est ému sur ces parcours familiaux.
Classique sur la forme pour un biopic, on y voit un beau traitement de l'image et de la lumière. Très gros travail de Marisa Abela sur la voix, les mimiques et la prestence.
Film qui joue sur le comique de situation avec quelques stéréotypes classiques sur la nationalité et la couleur de peau. On s'attache à ces deux cousins bancales.
Inspiré d'un fait réel, ce film met en avant la difficulté à accepter la différence et le rejet que cela entraine autant sur la personne souffrant de cette différence que l'entourage. Les acteurs sont très justes.
Un vrai combat avec actuel sur un vrai enjeu de société et écologique. Le film met en avant les différents enjeux (financier, politique, humain...) qui sont parfois à mille lieux des préoccupations humaines.
Les effets de style dans la mise en scène donnent un rythme particulier à ce film cependant cela ne sauve pas le fond. Je ne sais pas ce qui manque mais on accroche pas à cette histoire et à ces personnages.
Le sujet m'a touchée en plein cœur, on est pris dans cet instantané d'une époque de vie pas si lointaine. Cela renforce encore plus la volonté d'indépendance et de féminisme.
Ne connaissant pas du tout l'histoire derrière la méthode Montessori, cela a été très enrichissant de connaître cette histoire de vie inspirante. Face aux contraintes de l'époque et aussi de ses jugements, il s'agit d'un beau "combat" de femme.
C'est toujours intéressant de connaître la genèse d'un tel succès et de comprendre comment fonctionne les artistes.
Même si c'est assez romancé, Bolero permet de mieux connaître le parcours de Maurice Ravel et donc un peu plus l'homme que l'oeuvre.
Même si c'est assez romancé, Bolero permet de mieux connaître le parcours de Maurice Ravel et donc un peu plus l'homme que l'oeuvre.
Ce film montre la réalité dure des conditions de vie des roms en France. On est touché par cette envie de sauver ce jeune homme mais les difficultés et les obligations nous paraissent insensés. Un beau témoignage de condition humaine
Dans la continuité du premier volet d'un point du vue esthétique et de jeux, cette deuxième partie m'a moins impressionnée que la première où j'ai été admirative des effets esthétiques (scène avec l'hologramme). On est sur un monde plus brutal, où les différents enjeux se règlent dans le sang et dans les explosions.
Ce film illustre parfaitement les affres de la relation toxique mère-fille. On comprend en partie les décisions de la mère dues aux obligations de l'époque (trouver un bon époux, se faire une place à la cour), mais ce qui en ressort le plus c'est l'exacerbation des différents sentiments (l'amour, la jalousie...).
Emouvant et prenant. C'est le genre d'histoire de vie qu'on devrait mettre en avant dans les cours d'histoire. Cela redonne un peu de foi à la nature humaine et montre à quel point les actions des "gens du peuple" ont de grands effets et changent parfois le cour des choses.
Plongée au cœur d'une émission de reportages avec des personnages un peu haut en couleur. C'est un bon moment et les comédiens donnent du relief à ses vies.
Le sujet est un peu convenu (la trahison, les mensonges et l'impunité) mais c'est servi avec un très bon jeu d'acteurs. La question est comment un accident peut selon les décisions d'une seule personne peuvent impacter à des degrés divers tout son environnement familiale et amical.
Dans la lignée de ses précédents, c'est très perché et parfois loufoque mais de nouveau les messages développés sont très profonds : la condition humaine, la place de la femme, les déviances de la science.
Ce film m'a permis de découvrir l'œuvre de Pierre Bonnard à travers son histoire de vie avec son modèle et épouse.
L'image est à la hauteur d'un film sur un peintre : lumineuse, pastel...
On y découvrir une partie des mœurs de l'époque avec les aléas d'être une femme à cette époque et épouse d'artiste.
L'image est à la hauteur d'un film sur un peintre : lumineuse, pastel...
On y découvrir une partie des mœurs de l'époque avec les aléas d'être une femme à cette époque et épouse d'artiste.
Jolie comédie dramatique où différents sujets importants sont traités en filigrane. Certaines idées peuvent être développés mais la comédie permet de faire passer en douceur la réalité.
Dans la veine des précédents films de Sofia Coppola sur la composition : lumière, couleur, musique et longueur.
Cela permet d'avoir une nouvelle vision sur le mythe Presley avec un point de vue plus intime avec une volonté de ne pas trop égratigner le héros.
Cela permet d'avoir une nouvelle vision sur le mythe Presley avec un point de vue plus intime avec une volonté de ne pas trop égratigner le héros.
Très classique sur la forme, ce film retrace un pan de l'histoire française. D'un côté celle des duels, représentant l'égo masculin et de l'autre l'émancipation féminine qui se heurte et se heurtera au patriarcat de la société. Des idées auraient mérité d'être développées comme le rôle de Marguerite ou celui de Massat.
Très coloré, un peu enfantin et chantant, ce volet permet de découvrir la destinée de Willy Wonka. Petite déception de ne pas savoir le pourquoi du personnage de Charlie et la chocolaterie.