DB38 ses critiques films

Le sujet, la reconstitution historique et l'interprétation ne manquent pas d'intérêt. Mais , par ailleurs, ce film est un vrai gâchis esthétique. Photo désastreuse : couleurs délavées, contre-jours mal maîtrisés avec surexposition des visages et sous-exposition du reste de l'image, abus (prétentieux) de focale hyper-courte, donnant des cadrages "de traviole", bande son tour-à-tour conventionnelle ou sottement décalée ...
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Film prétentieux, insupportablement lent. Au bout d'une demi-heure, on a envie de se saisir d'un pieu et de l'enfoncer dans le cœur de ces personnages pour les renvoyer au néant. La superbe interprétation de la chanteuse Yasmina, dans l'avant dernière séquence, et l'indiscutable qualité de la photo, ne justifient pas de passer deux heures devant une telle vacuité scénaristique.

On est à mille lieues de " La Femme d’à Côté". Ce film fait partie de ces productions à la française que l’on subit depuis des années : une poignée d’acteurs talentueux au service d’un scénario faiblard, écrit à la paresseuse et filmé sans talent. Aussi plat que le pays où se situe l’action. Il y a des cerfs-volants, mais l’histoire ne décolle jamais. Pire, même si on n’a pas vu la bande-annonce, on sait dès le ...
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Une épaisse vitre d’aéroport, en zone d’arrivée… De part et d’autre, un couple se fait signe, se retrouve ; quelques champs/contre-champs nous privent des paroles prononcées, nous faisant partager ainsi l’expérience des personnages, sauf qu’eux, malgré la vitre, semblent se comprendre parfaitement. Voilà donc des retrouvailles amoureuses entre deux êtres qui "s’entendent", pense-t-on, si on n’a lu aucune ...
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Moteur... Coupez... Au lit... avec un bon bouquin.

A fuir !
Une première partie qui exploite de manière lourdingue tous les poncifs du film d'épouvante, et une fin consternante totalement invraisemblable. Encore un de ces navets majuscules que la France s'obstine à produire, par probable copinage et complaisance envers le militantisme le plus stupide.

Consternant ! On voit passer et repasser une ribambelle d' acteurs connus dans des rôles souvent pitoyables Et on se demande bien , à part le copinage , ce qu'ils sont allés faire dans cette galère... et cette galerie de personnages grotesques. La dénonciation (certes justifiée) d'un certain art "con et temporain" et de ses thuriféraires tombe à plat pour l'essentiel , dans la mesure où tout est d'une incroyable vulgarité. Et je ...
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Sur un sujet a priori intéressant, à savoir la transmission de la mémoire familiale sous diverses facettes, Assayas nous propose un film assez ennuyeux et peu émouvant. En dépit d'un casting prometteur et d'une interprétation irréprochable. Au fond, cette maison n'a rien de très attachant, et la plupart des membres de la famille non plus! Ici,tout encombre, à l'image de l'amoncellement de "beaux objets" auxquels la famille est peu ...
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Fort mauvais film d'un metteur en scène que j'apprécie beaucoup d'habitude. Cause de cette déception ? Pratiquement tout ! Scénario et mise en scène pataudes, jeu exaspérant de W. Allen ( quelle est la part de responsablité du doublage ?) dialogues vraiment pas drôles. On est très loin du Woody des grands jours ! J'avais vu le film en salle, et l'avais peu apprécié. Je viens de le revoir à la télé, et je l'ai détesté !

Une ratatouille de stéréotypes ! On pourrait s'amuser à relever toutes les situations convenues que ce film met en scène. A vrai dire, cette "fille coupée en deux" ( pas terrible, le titre ! ) n'est, pour une bonne part, qu'une succession de clichés, facilité dans laquelle sombre de temps à autres Chabrol quand il élabore ses scénarios à la "paresseuse". Du début à la fin, une quasi-permanente impression de "déjà-vu" ...
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Pas mal, bien qu'il y ait à redire sur la fausse bonne idée, ou du moins l'idée mal exploitée, qui structure une grande partie du film. Le procédé qui consiste à vouloir trouver dans la vie (supposée) de Molière les situations et même les dialogues précis de ses futures pièces finit par être lourdingue à force de systématisme . Et absurde parfois, lorsque les futures répliques célèbres ont été prononcées en l'absence de ...
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Film remarquable, à plus d'un titre... Tout est admirable et parfaitement maîtrisé. Le suspense hitchcockien et les rebondissements d'une efficacité sans faute font qu'on ne s'ennuie pas une seconde, malgré la durée du film . Les situations et les personnages sont traités sans manichéisme. Tous les acteurs sont excellents, d'une présence et d'une justesse impressionnantes. La photo, superbe, en clair-obscur, restitue ...
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La peste soit de ce scénario ! C'est vraiment n'importe quoi. Un récit de vengeance qui ressemble d'ailleurs à l'excellent "Sans mobile apparent" de Philippe Labro, du déjà vu, donc, sur lequel on a greffé (via Fred Vargas) une délirante histoire de pseudo- peste pour flirter avec un fantastique de pacotille... On n'y croit pas une seconde, malgré la qualité esthétique de certaines séquences . Je suis resté constamment ...
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L'histoire n'est pas inintéressante, mais le film, trop long, est plombé par un jeu d'acteurs à mes yeux discutable, avec un Attal constamment hébété et un Cornillac en grand méchant loup qui frôle parfois le ridicule. Et puis, j'ai trouvé la bande son insupportable parce qu' omniprésente et sottement illustrative. Défaut répandu dans un certain cinéma français qui joue l'esbrouffe sonore en croyant s'inspirer de thrillers ...
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On ne s'ennuie pas une seconde. Le film est habilement construit selon un schéma narratif qui a fait ses preuves : la convergence spectaculaire de destins apparement sans rapports, laquelle ménage bien des surprises et entretient un suspense efficace lorsqu'on entrevoit peu à peu le dessein du metteur en scène. Propos passionnant lorsque, comme c'est le cas ici , le récit est parfaitement maîtrisé, malgré la complexité du scénario ...
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Un film ambitieux (pour ne pas dire prétentieux) réalisé par un metteur en scène surévalué qui n'a pas vraiment les moyens de son ambition. Tout cela sonne faux :le scénario est souvent invraisemblable ( deux exemples parmi beaucoup d'autres :le vol des médicaments, le fait de confier un enfant à un tel déséquilibré...),insuffisamment élaboré (les deux trajectoires fonctionnent plus en parallèle qu'en "symbiose"), Amalric en ...
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Quand on a "cinquante-dix" ans et dansé sur les premiers tubes de Ray Charles cueillis dans les bacs tout neufs de la Fnac Sébastopol au début de sixtees, comment juger objectivement ce film ? Retour à la source d'un plaisir musical jamais tari, si émouvant et chargé de nostalgie qu'on serait tenté de s'enthousiasmer pour ce film même s'il était médiocre..."Dis, tu nous lâches avec tes souvenirs des "tees-six" et tu nous parles du ...
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C'est sans réel intérêt, malgré le jeu irréprochable de tous les acteurs. Le caractère monstrueux de Folcoche "passe" très bien dans le roman grâce aux filtres de l'écriture, de l'humour et de l'imaginaire du lecteur, mais dans le film, tout paraît excessif, le comportement des parents comme celui des enfants, alors que c'est très fidèle au récit de Bazin. Contrairement à ce qu'ont pu écrire certains critiques,le jeu de Catherine ...
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En tant que fondateur, secrétaire, trésorier et unique membre du J.C.F.C.G., autrement dit du "Jennifer Connelly fan Club de Grenoble", je ne pouvais résister au désir de voir Dark Water , et ce, malgré une critique assez peu enthousiaste, du moins la "professionnelle"... Eh bien, j' ai vraiment aimé ce film, et pas seulement pour les ( très) beaux yeux et le jeu irréprochable de l'actrice... et de tout le casting. On est ...
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Les deux acteurs forment un duo qui fonctionne à merveille, c'est drôle et émouvant. Film sympathique, très agréable à voir, ... mais vite oublié ! A la différence de "Sideways" qui fonctionne un peu sur le même stéréotype des deux amis aux tempéraments opposés, tous deux en quête d'un hypothétique équilbre affectif. Dans "Sideways", les personnages sont vrais, tout est juste (sauf les couleurs !) , et beaucoup plus subtil ; le ...
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Si vous hésitez entre peindre, faire l'amour ou aller voir ce film, je vous conseille vivement les deux premières activités. Ce n'est certes pas un navet mais, une fois de plus, une très bonne idée n'aboutit pas, parce que le scénario s'essouffle au bout de trente minutes et qu'il manque au montage le sens du rythme qui fait défaut à tant de cinéastes. Et c'est rageant, quand on voit la qualité des premières séquences qui laissait ...
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Navet majuscule !

Cette histoire de néo nazis eugénistes est d'une rare stupidité, c'est filmé à l'esbrouffe avec des effets dignes des pires américonneries (ah, cet éclair dans la bibliothèque pour signifier aux spectateurs lobotomisés que Réno a enfin tout compris !). Et ces combats grotesques !
Le genre de film "grave" qui contribue à l'abêtissement des jeunes spectateurs...

ce film est plutôt ennuyeux, malgré le jeu époustouflant de Michel Bouquet.

On peut apprécier un scénario potentiellement intéressant, le personnage et le jeu de Daniel Auteuil, quelques séquences spectaculaires bien filmées . On peut être déçu par la fréquente platitude des dialogues , la prestation peu convaincante de Depardieu (est-ce la faute de l'acteur ou du rôle? ),le manque de subtilité dans la psychologie des personnages, le trop grand nombre de scènes "attendues". Et on peut trouver ...
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Un bonne idée de départ gâchée par un scénario fort peu inspiré. Il y avait pourtant des situations intéressantes qu'il aurait fallu exploiter avec plus d'imagination. Or, les revenants sont quasiment muets, sans personnalité, alors qu'il aurait été beaucoup plus intéressant qu'ils reviennent tels qu'ils étaient avant de mourir, et de les confronter ainsi à l'expérience du deuil vécu par les vivants. Ce n'est qu' esquissé, le ...
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Comment a-t-on pu décerner 8 Césars à un tel film ? Certes, ce n'est pas un navet, mais quand même. Que de séquences ennuyeuses, répétitives (40 minutes de pianotage !), entrecoupées de quelques scènes banales (coucheries) ou improbables (les embrouilles du père) destinées à pimenter un fil conducteur sans relief, voire à réveiller le spectateur ! Quant aux plans-séquences encensés par certains critiques, il n'y a pas de quoi ...
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