Si ce film est écrit avec les pieds, que les personnages sont caricaturaux et les dialogues trop explicatifs, le casting est excellent, les cadres et les mouvements de caméra sont extrêmement soignés et surtout la photo est sublime. Olivier Marshall a vraiment progressé au niveau de la mise en scène et son chef op a accompli un travail extraordinaire. Si l'ennui pointe souvent le bout de son nez, il faut avouer que le film est visuellement ...
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Empilement indigeste de scènes invraisemblables et de clichés insupportables, Hitman ans Bodyguard 2 ne mérite pas 1h30 de votre vie malgré son casting prestigieux.
Courage, fuyez.
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Pire que Spider de Cronenberg et que Mulholland drive réunis, Inland Empire est est une purge indéfendable.
Bien qu'il nous inflige près de trois heures de rien "plus mal filmé, tu meurs", la pléthore d'éloges me laisse à penser que nos braves critiques se sont laisser berner par un Lynch plus roublard que jamais. Un establishment ridicule qui s'extasie devant une ouevre incompréhensible plutot que d'avouer qu'ils n'y ont rien compris au ...
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Une comédie délirante digne de Mel Brooks ou des frères Zucker qui traite avec une ironie jouissive des enjeux géopolitiques actuels. Et cerise sur le gateau le réalisateur a une vraie ambition visuelle et donne une belle ampleur à ce qui n'aurait pu être qu'une farce cheap. Pour un budget de 7.500.000 Euros, le résultat est bluffant. Timo Vuorensola est assurément un réal à suivre .
Bonne pioche.
Bonne pioche.
Vous aimez Xéna la guerrièe ? Vous avez toujours rêvé de voir Jason Statham savater des C-rex? Alors King Rising est fait pour vous.
Un pur nanar sévėrement thuné où le ridicule des dialogues le dispute à la nullité de la mise en scène. Alors gare à toi Peter Jackson, Uwe Boll est de retour.
Un pur nanar sévėrement thuné où le ridicule des dialogues le dispute à la nullité de la mise en scène. Alors gare à toi Peter Jackson, Uwe Boll est de retour.
Dans son deuxième film, Lowell Dean va plus loin dans le délire et s'amuse tout en rendant un vibrant hommage au cinéma bis fendard, de Carnausaure à Jason X en passant par Poultrygeist ou Teen wolf. Le réalisateur déclare tout son amour pour ce cinéma déviant et pousse les potars à fond dans une comédie d'action décomplexée et fauchée, qui à l'instar du premier opus, empile les punchlines bien senties.
Bref suffisamment sincère ...
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Affligeant. On dirait un film de fin d'études d'un lycéen en option cinéma à mi-chemin entre les sketchs des Robins des bois et les pires moments de la nouvelle vague. La vision de ce truc m'a promené de l'ennui mortel au rire nerveux.
Courage, fuyez.
Courage, fuyez.
Que ce passe-t-il lorsqu'un monstre lovecraftien et ses rejetons attaquent une communauté d'irlandais portés sur la bibine ? Voilà à quoi répond le très bon Grabbers de Jon Wright qui, grâce à son talent, sait faire oublier la minceur de son budget. Habile mélange de comédie et de film d'horreur, Grabbers est une joyeuse succession de dialogues savoureux et d'hommages sincères aux films de monstres à l'ancienne, le tout baignant dans ...
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Alors c'est vrai, on ne comprend rien à cette enquête nébuleuse. Certains dialogues sont d'une lourdeur pachydermique. Mais il ressort de la vision d'Inerent vice une impression de plaisir. Même si parfois l'on s'ennuie, le film regorge de scènes savoureuses dans lesquelles Joaquin Phoenix promène une insouciance à toute épreuve. Ajouter à ça une pléiade de seconds rôles joyeusement bigarrée et le résultat permet de supporter les ...
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Pour chasser l'ennui, rien de tel qu'un bon nanar. Et me voilà à guetter dans le tas de crétinisme estampillé TNT un bousin susceptible de me faire marrer. Quand, vision céleste, King Rising 2 d'Uwe Boll. Je ne rêvais pas, mon teuton préféré avait commis une suite à son incommensurable navet.
Je lance la lecture derechef et deuxième surprise : Dolph Lundgren. Cool.
Tout commence par une poursuite en forêt, une actrice porno portant un ...
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Terrence Malick expérimente un nouveau concept, filmer du néant intégral en tenant sa steady-cam avec les pieds.
Ses cadrages approximatifs et ses mouvements de caméra aléatoires donneront le mal de mer aux coeurs les mieux accrochés.
Bref, une bien triste boursouflure qui ne mérite que de tomber dans l'oubli.
Courage, fuyez.
Ses cadrages approximatifs et ses mouvements de caméra aléatoires donneront le mal de mer aux coeurs les mieux accrochés.
Bref, une bien triste boursouflure qui ne mérite que de tomber dans l'oubli.
Courage, fuyez.
Voilà un grand moment de cinéma normatif dont on se serait bien passé.
La famille Addams représente un sympathique iconoclasme, un gentil exutoire au sein duquel nous nous délectons des pérégrinations d'un clan dont les valeurs sociales sont totalement inversées. Et si l'humour naît du contraste en leur mode vie et le notre, ils ne cherchent jamais à s'intégrer et assument fièrement leurs différences.
Et là patatras, les déviants ...
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Ha. Ad astra. Par où commencer ? Parlerons nous des nombreuses incohérences scénaristiques, du viol quasi permanent des lois de la physique ou encore du traitement des personnages digne d'un épisode de soap opéra ?
Bon ben, parlons des pirates lunaires. Alors je veux bien que ce soit pour faire un écho avec ce qu'il se passe sur terre et que cela donne une dimension western spatial, mais leur arrivée soulève trop de questions. D'où ...
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Un film qui ose tout comme disait Audiard. Le réalisateur s'amuse à détourner et pervertir les codes du film de loup garou. C'est cheap, totalement con et totalement assumé. Bref, une bonne poilade.
Mouhahaha! Vu un soir d'ennui en vacances chez mes parents. J'étais tantôt affligé tantôt mort de rire devant la pretention sans limite de Francis Huster qui, non content d'écrire des dialogues ampoulés et ridicules, emberlificotte tellement son intrigue qu'elle en devient incompréhensible. Ajoutez à cela une direction d'acteur calamiteuse, le jeu hilarant de Francis Huster et la juge la moins crédible de l'histoire de la ...
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Lamentable blockbuster. Pire que Green Lantern et les 4 fantastiques réunis. Le réalisateur et les scénaristes passent leur temps à décrédibiliser leurs personnages et notamment Thor, pauvre dieu réduit à un bouffon pleurnichard. Quand à l'histoire, si il y avait un réel potentiel, la caracteristion crétine des personnages interdit toute immersion au spectateur. Au final. Peut-être le plus mauvais film de super héros jamais ...
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Incommensurable navet. Ce film d'une navrante imbécilité enchaîne sans aucune grace des numéros d'acteurs tous plus embarrassants les uns que les autres. Aucun soucis de vraisemblance, visiblement Dahan ne souhaite pas que son spectateur croie un seul instant à cette histoire et nous afflige d'un casting en totale roue libre. Ne parlons pas du scénario dont l'absurdité égale l'indigence, un prodige. Calamiteux, nullissime, racoleur. ...
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Du cinéma 80's pur jus à la fois bigarré et décomplexé, Howard le canard est une comédie qui oscille constamment entre la série B loufoque mais inventive et le nanar grotesque. Le pitch est hallucinant, certains seconds rôles sont à la limite du supportable (bravo à Tim Robbins) mais Howard est un personnage cool qui a d'excellentes répliques pleines d'ironie et de sarcasme qu'il manie fort bien pour un canard.
A voir pour la ...
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Après le remake imbécile de Total recall, voilà encore un pillage en règle de l'héritage d'un Verhoeven qui n'en demandait pas tant. Débarrassé de ses thématiques fortes, de sa violence, de sa hargne et de sa subversion, reste un produit calibré assorti d'un pensum politique de bien triste facture. Robocp n'est plus le flic déshumanisé dont on sentait poindre la conscience sous la machine mais un bon héros des familles pour ...
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Terry Gilliam renoue avec les thèmes qui lui étaient chers dans Brazil. Un héros inadapté au monde dans lequel il vit s'agite et s'échine à échapper à une société tentaculaire dominée par une figure abstraite et mystérieuse. Mais si dans le premier Gilliam fustigeait les totalitarismes étatiques, il condamne à présent l'inhumanité du capitalisme.
Il est cependant évident que son maigre budget l'empêche de retranscrire une ...
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Nullité s'il en est une, Ma super-ex est une production honteuse. Accoucher en même temps d'une comédie des plus lourdingue et d'un film de super héros véritablement calamiteux est un prodige qui doit absolument rester unique dans l'histoire du cinéma. Aucun gag n'est drôle, le lamentable casting cachetonne et ça se voit, l'action est filmée sous Lexomil et les effets spéciaux ont 15 ans de retard (On dirait un épisode de Lois et ...
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Après le fadasse Sans identité, Liam Neeson et Jaume Collet-Serra se retrouvent pour ce sous produit de Teken. Bien que la trame scénaristique soit plus que galvaudée, la mise en scène permet de tenir son spectateur en haleine pendant près d'une heure. Cependant au moment de dénouer ses enjeux narratifs, le film peine à conserver son intensité et sombre dans la facilité. La scène explicative et les motivations des personnages sont plus ...
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Avec Alex Cross, Rob Cohen vient de se hisser, et ce n'est pas un mince exploit, aux sommets de nullité seulement atteints jusque là par Bret Ratner. En alignant tous les poncifs du genre dans une mise en scène analphabète et didactique, il réussit à plomber un scénario déjà d'une indigence pathétique. Non seulement Cohen ne nous épargne aucun cliché, mais encore il oblitère la dimension intellectuelle et psychologique de son héros ...
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Le propos est asséné à coup de massue et si le film ne coute que 190 000 $ comme l'indique la réalisatrice dans son générique de fin, cela se voit à l'écran. Visuellement laid comme peu de films, ce pamphlet ne vaut que pour son intention louable le jeu de Katherine Heigl et l'implication certaine de tous ceux qui y ont participé. Pour la même somme, peut-être aurait-elle pu réaliser un documentaire honorable.
Je dois l'avouer le pitch me plaisait et puis j'ai vu cette purge honteuse. Développer les capacités du cerveau humain à son paroxysme, l'idée est séduisante. Naïvement, je me figurais que le héros non seulement écrirait un immense chef d’œuvre de la littérature mais encore qu'il percerait les grands mystères de la métaphysique voire qu'il serait capable de télépathie ou de télékinésie, tous les fantasmes étaient permis. Mais ...
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Sans conteste le film le plus nul de ces dix dernières années. Par où commencer ? Brad Pitt en mode minimum syndical qui promène sa tronche enfarinée de beau gosse concerné pendant tout le film. L'incapacité de Forster à filmer et à monter l'action engendrant des scènes totalement illisibles. Son apport au genre : pas une goutte de sang, des zombies qui font des bruits bizarres et qui claquent des dents. Non, le vrai génie de cette ...
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Le réalisateur justifie ses jolies envies visuelles par un postulat de SF si alambiqué qu'il ne peut s'y tenir. Résultat, le scénario est constellé d'incohérences qui nuisent à l'immersion du spectateur. Quant à la romance, outre son aspect sirupeux, ses enjeux dramatiques sont évacués en deux temps trois mouvements. Je passerai sur la pléthore d'influences (Inception, Hunger games, Brazil, Roméo et Juliette) si visibles qu'elles ...
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Sur la base d'un canevas ultra rebattu, Whedon et Goddard tentent de renouveler slasher. Bon cinq jeunes défoncés à la weed ou aux hormones se paient une petite retraite dans une cabane perdue dans une foret (j'invente rien c'est dans le titre). Et là ou Cabin fever et autres ersatz se révélaient d'une médiocrité confondante, force est de constater que Goddard ne nous livre pas un évantail de sous-doué. Les blagues sont drôles et les ...
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Que McTiernan me manque. C'est en revoyant ce chef d'oeuvre de mise en scène que j'ai réalisé que McT n'a rien réalisé depuis 10 ans et que ses réinventions géniales du film d'action manquent à une industrie hollywoodienne peinant à se renouveler. Là, il fait preuve d'une maestria époustouflante pour enchainer les points de vue des différentes protagonistes pour que tous se rejoignent en un climax d'anthologie. Un casting de premier ...
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Un vieux cambrioleur ayant des problèmes de mémoire se voit flanqué par son fils d'un aide soignant robot. Jake Schreier réalise à partir de ce postulat une œuvre douce-amère servie par un casting prestigieux mais qui repose avant tout sur la composition d'un Frank Langella tout en finesse. Un beau film pessimiste qui tient à nous rappeler à travers cette touchante histoire d'amitié entre un homme et un robot que la vieillesse est un naufrage.
Comme souvent au cinéma, ce sont les étrangers qui parlent le mieux de l'Amérique profonde. Cette fois c'est l'australien John Hillcoat qui met en scène le destin d'une famille de hors la loi pendant la prohibition. Loin des gangsters rutilants et des flics redresseurs de tords des Incorruptibles, Lawless dépeint une Amérique rurale et poisseuse, vestige du far-west, où la violence et la vendetta font force de loi. Une réalisation ...
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Curieux film que ce Patton. En nous faisant vivre la deuxième guerre mondiale vue par les état majors en présence, Schaffner met en scène un film politique plus qu'un film de guerre. Pas de soldat héros auquel s'identifier, ici les batailles sont montrées en plan large. Seuls les morts ont la faveur des gros plans, montrant le prix à payer pour que des généraux assouvissent leurs ambitions. Mais Patton est avant tout le portrait d'un ...
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"Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des cinéphiles"
Voila ce qui devrait figurer sur ce DVD tellement honteux qu'il en devient involontairement drôle. Voir un Nicolas Cage sous lexomil cachetonner dans cette production apathique et bigarrée se révèle plus hilarante qu'effrayante. Neil Labutte, plus habitué aux comédies, nous afflige d'un thriller mou du genou qui ne ravira que les ...
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Une réjouissante chronique familiale plus douce qu'amère. Avec ses personnages attachants et son histoire d'amour pleine de fantaisie et toujours juste, Tachella réalise une comédie gentiment féroce narrant comment un homme et une femme trouvent le bonheur en faisant voler en éclat les conventions sociales. Un manifeste libertaire que n'aurait pas renié Sacha Guitry tant son œuvre était empreinte de cette philosophie. "Les moments les ...
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Le film est visuellement magnifique, l'animation est la mise en scène sont aussi flamboyantes que la chevelure de l’héroïne. Cependant, à l'instar de moult productions Disney, l'intrigue reste très linéaire et ne transcende jamais son sujet. Un récit initiatique qui ne sert qu'une morale là où Pixar nous avait habitué à une mise en perspective de notre société. Espérons que ce retour dans le giron du géant ne soit pas les ...
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Préfigurant les nanars cosmiques que sont D'Artagnan et la version de Paul Anderson, cette adaptation très libre des trois mousquetaires enchaine les péripéties les plus improbables sans aucun soucis de crédibilité. Les personnages féminins sont expédiés en deux temps trois mouvements, Richelieu est un méchant digne du Sheriff de Nottingham et les sbires du cardinal sont toujours où il faut au bon moment. Ceci dit, le casting est ...
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