didbail
Membre depuis le 1 janvier 2003
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Une déception. Un film superficiel qui aborde de nombreux sujetsn sans rien approfondir. L'histoire d'amour entre Anthony et Stéph ne prend pas. On ne s'intéresse guère à ces personnages qui occupent chacun leur tour le devant de la scène. Quant à la réconciliation finale entre Anthony et Hacine, elle prête à rire tellement elle est inconcevable.
Un joli film porté par une Agnès Jaoui formidable qui nous fait partager les émotions de cette femme angoissée qui ne trouve plus sa place que ce soit avec ses enfants, ses collègues ou sa soeur.
Un beau film contemplatif avec de très longs plans-séquences qui anesthésient l'émotion. De très belles images mais l'ennui n'est parfois pas loin.
Un film noir au scénario bien faible. Les incohérences sont légion. Et ce n'est pas l'interprétation qui peut sauver le film.
Une solide adaptation du roman d'Alexandre Dumas, pleine de bruit et de fureur. L'image est belle, le casting impeccable (Pierre Niney, Anaïs Demoustier, Bastien Bouillon, Laurent Lafitte, Anamaria Vartolomei, Patrick Mille, pour ne citer qu'eux) mais l'émotion ne passe pas. Il reste un beau spectacle ... sans âme.
Un grand classique du cinéma muet. Une vision de la société avec un racisme assumé qui montre clairement comment on peut manipuler des citoyens pour alimenter des idées nauséabondes. Un révélateur, à quelques jours d'une élection qui pourrait voir l'extrême-droite au pouvoir en France.
Un film jubilatoire aux dialogues percutants. On rit beaucoup mais cela n'empêche pas Quentin Dupieux de nous délivrer quelques messages subliminaux sur l'état de notre monde. A VOIR !
Un film mièvre et un peu cucul avec quelques scènes amusantes au début, avant de s'étiloler dans les bons sentiments.
Un film qui montre l'absurdité de la guerre. Il n'y a pas de dialogues à proprement parler mais des pensées des personnages qui se répondent par d'habiles effets de mise en scène.
Deux jeunes Sénégalais rêvent d'un monde meilleur en Europe. Ils vont découvrir la cruauté du monde réel qui exploite la misère sans vergogne. Un voyage émotionnellement fort.
Un film au scénario bidon et aux dialogues pauvres dans une mise en scène tape-à-l'oeil. On a de la peine pour les acteurs/actrices venus se perdre là.
Très décevant. Wes Anderson tourne en rond. Il ne suffit pas d'accumuler des situations loufoques et des couleurs décalées avec un casting de stars pour faire un bon film.
Quel ennui ! Je me suis laissé entraîner par ma femme qui avait lu et aimé le roman. 3 histoires dont le lien est très artificiel. 3 drames qui se voudraient émouvants. Mais pour cela il faudrait qu'on puisse éprouver de l'empathie pour les personnages. Hélas tout sonne faux, les dialogues sont dignes d'un mauvais téléfilm et tout est prévisible. Il m'arrive de pleurer au cinéma, mais là non. Aucune émotion.
Je précise que je ...
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Un beau film qui nous montre comment le système de santé russe subit la loi de l'argent au détriment de l'humain (on connaît la même chose en France à un degré moindre). Les personnages principaux suscitent l'empathie malgré (ou à cause) de leurs défauts.
Merci aux frères Dardenne d'avoir réalisé ce film sans concessions. Dans un monde qui rejette de plus en plus les migrants, l'approche humaniste des 2 frères belges fait mouche.
Si le film d'Olivier Dahan peut présenter un intérêt didactique, son portrait hagiographique, long patchwork de scènes qui veulent dire et montrer un maximum de choses, ne suscité guère d'émotion. On se contente de relever certaines informations qu'on ne connaissait pas, mais cette Simone Veil manque cruellement de chair (et ce n'est pas le lourd maquillage d'Elsa Sylberstein qui peut y contribuer).
Un film bien décevant. Sur un sujet aussi brûlant, et avec un tel casting, faire un film aussi vide de sens relève de l'exploit. Alors oui, on a des flics qui s'agitent dans tous les sens et on ne s'endort pas. Mais que tout cela sera vite oublié !
Pas le meilleur Woody Allen mais un film plein de nostalgie dans lequel le réalisateur rend hommage à ses réalisateurs favoris dans des séquences en noir et blanc. Il convoque ainsi Citizen Kane, Amarcord, A bout de souffle, Jules et Jim, Un homme et une femme, Personna, Le septième sceau, Le charme discret de la bourgeoisie.
Si le film se voit sans déplaisir, avec quelques jolies scènes et des acteurs-trices investis, l'ensemble souffre d'invraisemblances et d'une fin téléphonée.
La première partie est intéressante avec une idée de base qui produit surprises et rires ou sourires, avec des scènes très osées. Mais peu à peu, le film s'étiole dans sa deuxième partie pour aboutir à un happy ending mièvre.
Gabriele Muccino réussit un film très américain. Une success story pleine de bons sentiments où Will Smith va descendre au plus bas avant de triompher. Pas désagréable mais très convenu.
C'est long rarement drôle, ça manque de rythme. J'avoue avoir été bien content lorsqu'est arrivé le générique de fin.
Février 1974. Annie doit se faire avorter ; elle rentre en contact avec les militantes du MLAC et va s'engager dans leur lutte pour le droit à l'avortement.
Si ce n'est pas un grand film, reconnaissons que c'est un film utile et pédagogique. A l'heure où le droit à l'avortement est parfois contesté (voir ce qui se passe aux Etats-Unis, mais aussi le positionnement en France d'une frange des cathos) il n'est pas inutile de rappeler les ...
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On voudrait aimer ce film, plein de bons sentiments. Trop peut-être ? Je me suis ennuyé assez souvent, surtout dans le dernier tiers du film.
Une fois encore le réalisateur iranien, condamné par la justice iranienne pour sa "propagande anti-régime" et emprisonné depuis juillet, se met en scène pour nous offrir un film avec de géniales mises en abîme. Un film construit comme des poupées russes où la fiction et la réalité se mélangent et nous interrogent.
Une critique des traditions stupides encore en vigueur dans les campagnes, un regard sur la difficulté de s'aimer en ...
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Un film intéressant mais difficile à suivre car tout se mélange, le passé et le présent, le rêve et le réel. Un film qu'il faudrait voir deux fois. Mais franchement je ne me sens pas le courage de visionner à nouveau les 2 h 26 du film.
1980, New-York. Paul 11 ans veut devenir artiste. Diverses expériences le font grandir et l'amènent à construire sa personnalité.
James Gray, dont j'ai aimé presque tous les films, conte avec sa sensibilité le parcours initiatique d'un gamin proche de ce qu'il fut.
L'antisémitisme, la ségrégation raciale, les inégalités sociales sont au cœur de ce beau film qui montre la difficulté de devenir adulte.
A côté des deux enfants Ann ...
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Matthias quitte son travail en Allemagne et rentre dans son village en Transylvanie retrouver femme, enfant et maîtresse. La boulangerie industrielle recrute des ouvriers sri-lankais ce qui entraîne des réactions de rejet de la plupart des villageois.
Le réalisateur roumain, primé à Cannes en 2007, réussit de nouveau un très grand film qui garde l'équilibre entre les relations individuelles des personnages et la vision des dérives du ...
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Un thème intéressant mais difficile à traiter et certaines scènes ne sonnent pas juste. Les jeunes interprètes sont toutefois à la hauteur.
Une comédie très réussie, avec des situations vraiment très drôles, portées par un quatuor d'acteurs-trices formidables : Louis Garrel inquiet et introverti, Anouk Grinberg émouvante, Roschdy Zem tantôt inquiétant, tantôt touchant, et Noémie Merlant pleine de fougue et d'esprit de décision. J'ai pleuré de rire à plusieurs reprises et ça ne m'arrive pas souvent !
Le réalisateur octogénaire polonais nous offre un merveilleux livre d'images avec un âne dans le rôle principal. Avec Michal Dymek son chef opérateur il nous gratifie de plans inoubliables, avec une maîtrise parfaite des ambiances nocturnes. De nombreux gros plans, voire très gros plans nous font découvrir des détails inédits. La bande son est aussi exceptionnelle, opposant à la nature les bruits humains. Par ce film, Skolimovski ...
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Quel calvaire ! je me demande comment j'ai pu tenir plus de 2 heures devant ce prétention film nul ! J'avais déjà détesté les Garçons Sauvages. After Blue reprend les mêmes recettes : scénario fourre-tout sans queue ni tête, filles nues et images surréalistes à grands coups d'effets numériques.
On ne m'y reprendra plus.
On ne m'y reprendra plus.
Un homme marié et une femme divorcée s'engagent dans une liaison "pour le plaisir". Ils ne souhaitent pas s'attacher l'un à l'autre mais juste vivre leur relation pleinement.
Dans cette nouvelle comédie sentimentale, on retrouve le personnage d'homme indécis, velléitaire et un peu maladroit qu'affectionne Emmanuel Mouret, rôle qu'il confie cette fois à Vincent Macaigne. Face à lui le premier rôle féminin est interprété par une ...
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Une famille iranienne (les vieux parents, Leïla et ses 4 frères) peine à gagner de quoi manger. Leïla encourage ses frères à acheter une boutique alors que le père brigue le poste de parrain de la communauté familiale.
Après la Loi de Téhéran, Saeed Roustaee confirme qu'il est le nouveau grand réalisateur iranien que l'on attendait. Leila et ses frères est un "Affreux, sales et méchants" à la sauce iranienne. Avec un humour ...
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Grand admirateur de Fassbinder, François Ozon adapte "Les larmes amères de Petra von Kant". Mais avec 2 modifications d'importance. Tout d'abord, Petra devient Peter. Et ensuite il passe du milieu de la mode à celui du cinéma. Ce qui lui permet de faire de son personnage principal, réalisateur de films, un double de Fassbinder.
Ce récit d'une passion amoureuse se double, comme chez Fassbinder, d'un regard sur la lutte entre une bourgeoisie ...
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Le brillant réalisateur espagnol de Que dios nos perdone, El Reino et Madre, nous emmène dans un petit hameau de Galice où un couple de Français (magistraux Denis Ménochet et Marina Foïs) s'est installé. Ils sont victimes de la xénophobie de leurs voisins qui leur reprochent (en plus d'être Français) de refuser de voter pour la création d'un champ d'éoliennes.
La tension est constante dans ce petit chef d'œuvre au scénario ...
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