weihnachtsmann ses critiques films

Une variation originale sur le thème du justicier. Ici nous avons donc deux Zorros!!!!
Heureux développement sur la transmission des valeurs.
Le film est superbement interprété. Et comme divertissement haut de gamme, c’est réussi !!!

Un film « industriel » peu interessant malgré ses acteurs qui en font beaucoup pour que le récit fonctionne. On n’adhère pourtant pas du tout car la mise en scène est très ennuyeuse

Un film noir qui ne peut pas renier son titre. Sombre et noir. Parfois confus et mystérieux dans ses intentions.
Les décors et les images autour des comédiens font partie de l’ambiance d’étrangeté qui est parfaitement bien rendue.

Une histoire d’héritage assez amusante. Niven est parfait dans le rôle du gâcheur de fête. Les décors sont superbes et décrivent bien l’Irlande campagnarde.
Le récit ne cherche que le divertissement et la fin est assez bien trouvée pour plaire!!!!

Film fort qui mêne enquête et procès. Les deux ne vont pas de pair car la vérité met longtemps à éclater.
Les personnages sont vraiment authentiques et le récit terrible.
Il n’y a pas d’austérité mais une façon ample de filmer comme pour essayer de ne rien cacher à personne.

C’est vraiment pas terrible. Franchement. C’est même plutôt mauvais. De la course déjà qui débute à la moitié du film avec un début poussif. Des situations redondantes. Je cours. Je tombe. C’est d’un ridicule. Et surtout rien n’est drôle. Ça ne fait même pas sourire.

Si je simplifie le propos du film, elle est féministe. Lui voudrait bien un enfant. Elle va militer contre le pouvoir des hommes et en même temps recueillir la parole des femmes qui ont des enfants et qui ont, selon elle, ont perdu leur liberté. Elle a donc besoin de se persuader que d’avoir un enfant fera d’elle une esclave. Tout le film est là et on a vraiment besoin d’une heure quarante cinq pour s’en convaincre…. Une sorte de ...
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La différence entre Claude Lelouch et ce documentaire, c’est que Claude Lelouch a plein d’idées dans la tête et les structure pendant ses films, alors que le documentaire laisse paraître tout le côté brouillon de ce travail.
Ça a dans tous les sens et la musique est totalement insupportable.
La solution. Revoir des films de Claude.

La vie d’un collège anglais où la discipline fait loi.
On pense voir un film qui nous décrit la rigueur et les châtiments mais on ne saisit pas la chose invisible qui monte parmi les contestataires.
Cette scène terrifiante où tout bascule. Où les valeurs sont piétinées.
Le réalisateur a fait un film choc quand même dans sa vision d’une éducation sans concession.

Soyons honnête, d’autres films de Lubitsch sont intéressants.. Celui ci est long et fastidieux. C’est une sorte de Bohème bavarde, peu inspirée et qui ne fait pas du tout sourire.
Et cet acteur insupportable que l’on trouvait tout le temps avec Fred Astaire.
Passable. Il vaut mieux se tourner vers d’autres œuvres du même auteur.

L’image de la femme qui regarde par la fenêtre avec cette musique nostalgique résume modestement à elle-seule le film. Elle n’a cependant pas l’air malheureuse. Elle est partout. Rencontre tout le monde. Peut-être pas les bonnes personnes. Elle veut juste autre chose. Quelque chose de plus exaltant. Nous aussi comme spectateur, on le souhaite. Mais tout le long on erre et on la suit espérer et rêver. Il semble que ce sera en ...
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Je ne sais pas si c’est le dessin qui ne plaît pas ou plus simplement la science-fiction.
Je trouve les personnages adultes totalement laids.
Ce que j’aime, ce sont les décors futuristes et enfantins en même temps.
L’animation est plutôt moyenne et on attend le plus souvent comme ceux dans le vaisseau spatial qui vont à la recherche de l’enfant.
Je trouve au final que ça manque de poésie pour me plaire.

Un gimme et une femme discutent sur un canapé pendant une heure ou se tiennent la main en marchant pour trouver un sens à leur vie.
Les derniers amants nous livrent un film soporifique à souhait.
À noter que Jarmusch filme aussi en couleur……. C’est déjà ça…..

C’est comme si Laloux avait rencontré Franquin et ses idées noires.
L’homme dans une vision morbide et finalement horriblement réaliste quand on résume un peu l’histoire du monde et de ses habitants.

Excellent film de suspense où les deux matelots sont mêlés à un vol important.
Les courses poursuite dans Londres. Les soirées dans les bars louches.
On mêle habilement la tension policière avec les habitudes de petit commerce et on y rajoute aussi l’amitié indéfectible jusqu’à la dernière scène.

Mon dîner avec André était déjà une aventure bien pénible.
Il n’était pas besoin d’y rajouter du Tchekov dans un lieu sordide et laid. Héritier peut-être d’un glorieux passé mais en ruines totalement et peu enclin aux belles images.
Pour voir du Tchekov, je vois une pièce de lui pas une simili rencontre « autour de »….

Est-ce que Paul sera le prochain personnage principal du troisième opus? On espère en tout cas voir cette suite tant le film est ici véritablement une réussite. Le comte de Monte-Cristo se serait-il réincarné en femme? C’est en tout cas l’enjeu central qui nous a maintenu tout du long. La vengeance prend des chemins tortueux tel l’esprit de la femme qui tisse des intrigues diaboliques pour terrasser ceux qui l’ont malmenée. Une ...
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L’idée est excellente de réunir les quatre scènettes autour d’un même lieu et de surcroît, varier les points de vue.
Humour froid, nordique, finlandais. Quelque peu héritier de c’est arrivé près de chez vous, version branquignol.
Mention spéciale pour l’enlèvement de la fille.

Le film est sans grande envergure. Le rôle de la jeune est plutôt limité. Gamblin garde le cap c’est certain mais les autres personnages sont mauvais et uniquement dans la caricature.
C’est moyen.

Le film est une affaire de vengeance et de corruption.
Il se développe comme une longue quête de la vérité.
On apprend des secrets et on assiste à quelques moments tendres mais le fond est véritablement noir.
Quelque peu long effectivement…

Les acteurs s’amusent et quelques scènes font sourire mais c’est poussif et farfelu au point d’être parfois totalement confus.
C’est dommage car on aurait adoré aimer les acteurs.

Nous suivons ici le principe de la comédie triste. Un concept qui sied parfaitement au réalisateur.
On regrettera la langue finnoise qui ajoute encore au style unique.
Leaud reste droit, sans broncher jamais et le ridicule de la situation lui échappe presque.
Il a vraiment besoin de cette femme pour l’épauler!!!!!
Longuet pourtant malgré la courte durée du film.

Étrangement, ce film me rappelle le voleur de bicyclette. Œuvre de 15 ans dans le passé. L’homme a quasiment le même enjeu. Il peut perdre sa place.
Et Kurosawa ne le lâche pas d’une seconde. Il scrute son visage, ses pieds.
Il filme sa détermination.
L’occasion d’errer dans une ville surpeuplée et plutôt misérable.
Le film se concentre donc sur cette recherche méticuleuse.
Intéressant mais un peu long.

L’escadron noir apparaît à la fin. Au début du film on se demande de qui on parle. Car le sujet de la guerre apparaît effectivement en seconde partie.
La première semble plus classique voire légèrement terne avec un JW qui ne fait pas office de héros, cela change.
Le western est assez bon car avec ce mélange des genres, on atteint une densité assez intéressante.

Un film baroque avec un betelgeuse plutôt agaçant.
Je n’ai pas été convaincu par ce film farfelu et déjanté au royaume de la mort même si je lui concède un univers personnel très réussi.

Avant de faire un voyage intérieur, l’homme prend le train. Il procède physiquement à une mise en avant de son esprit.
Le reste sera statique et sous le couvert de longues discussions philosophiques sur la vie qui sont l’apanage de Goethe.
Le film en lui-même est doux et tout en réflexion. Pas mal en soi mais peut-être sacrément ennuyeux pour certains.

Un polar dans la lignée des grands classiques français.
On voit rarement Piccoli dans un tel rôle.
Vanel aurait pu être joué par Gabin!!!!
C’est dynamique et avec un suspense intéressant.
Pas mal du tout.

Un film plutôt déprimant sur un couple qui va mal et qui ne va pas en s’arrangeant. Au moins on évite les fins heureuses où tout s’arrange. C’est la partie dans la forêt qui est la plus jolie. Néanmoins elle est bancale. Elle y vit puis elle sort. Et elle y retourne. On ne comprend ce qu’elle y cherche. Je pense qu’elle non plus. Lui aussi va dans la forêt. Mais tout cela est confus. La fin montre bien que rien n’a évolué et ...
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Drame de la campagne. Drame des familles.
Pagnol nous conte une fable mais il le fait car il veut sauver la morale.
C’est avant tout cette dernière image qui va effacer la « honte de la ville ».
Un film différent des autres car très intime au cœur de la montagne où les personnages essaient de sauver ce qui peut encore l’être.
C’est beau et fort aussi sur la dure ruralité de l’époque

Un homme qui voit le bon côté des choses au travers des ses films préférés et qui les revit à travers les scènes les plus marquantes du cinéma.
L’idée est très originale et le résultat plein de malice, de légèreté et de romantisme. La femme avec Louis Garrel est ridiculement hilarante et la jeune médecin ingénue charmante.
C’est spirituel et surtout superbe dans cette jolie ville espagnole.

Une petite bouffonnade digne des sketchs de Mister Bean.
On ne retrouve pas la finesse des métrages ultérieurs. Œuvre de jeunesse oblige!!
La scène des prisonniers attachés est la plus drôle.
Sympathique mais sans plus.

Une chasse à l’homme qui déambule dans un Los Angeles des voitures anciennes et tellement typiques de l’époque.
On pourrait voir apparaître un Columbo au détour d’un commissariat. Le film est mystérieux sur ses motivations mais l’action est efficace malgré le rythme lent et Trintignant toujours parfait dans sa sévérité intense.
Quelques scènes sont particulièrement réussies telles les funérailles.

Le film qui partait sur un éloignement volontaire ou presque une mise à l’écart du monde, avec ses images splendides et l’immensité comme pensée unique, devient une sorte de film de science-fiction dans sa deuxième partie avec les images sorties de son cerveau. Celles peut-être qui lui permettent de s’échapper du réel voire de devenir partie de cette environnement. Cette partie du film n’est pas la plus intéressante au final car ...
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La coupable, amie intime du policier. Situation difficile pour ce couple.
Hitchcock crée un film noir très réussi et l’occasion également de remarquer que la scène du rideau de Psychose avait déjà été pensée 30 ans avant!!!!
On retrouve tous les détails qu’on aime dans les enquêtes de police.
Très bien.

Une interprétation vraiment géniale de cet acteur et une inventivité du récit totalement fantasque mais très enlevée avec un BO qui mêle réinterprétations et nouveaux arrangements audacieux.
Totalement convaincu de cette vie d’artiste hors norme.

Après une première partie un peu longue, l’émotion est au rdv lors les révélations sur le fils de Marius.
C’est la force des dialogues qui donne cette dimension épique aux destins de ces personnages.
Même si je trouve que le dyptique Jean de Florette et Manon des sources est encore plus fort, ces trois films offrent au spectateur de voir tous ces acteurs incroyables et une photographie des années 30 totalement fascinante.
Très beau