Mon Dieu que c'est nul... Le scénario est indigne d'un long métrage. On se croirait devant un épisode d'une des séries Star Trek, peu importe laquelle : on tombe toujours un moment sur une communautés hippie qui vit en communion avec la nature dans des plans cul-cul mais qui cachent un secret. Ces personnes ne sont que brièvement développés de surcroît, par conséquent, on n'a strictement aucun attachement pour eux, donc aucun enjeu fort ...
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L'histoire d'un spermatozoïde qui voyage vers un ovule pour s'unir. En tout cas c'est ce que j'ai compris, mais 2h pour raconter ça... Une vraie souffrance, un film qui s'auto-contemple, de long plans qui n'ont pour but que de montrer les effets spéciaux, dont tout le monde se fiche en l'absence d'une histoire qui en vaille la peine. Musique cache-misère omniprésente. Je venais tout juste de finir Star Trek DS9 et j'étais voulais encore ...
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La base d'un bon personnage et donc d'une bonne histoire, c'est de lui donner des faiblesses. Lucy n'en a aucune, zigouille tout le monde sans aucune difficulté du début à la fin. Il n' y a aucun enjeu, donc aucun intérêt. C'est nul.
Apparemment, peu se rendent compte que le film est une copie scène pour scène de la version de 1984, étirée en longueur(s). Cette nouvelle adaptation n'a donc aucun intérêt et pire encore, aucune ambition. Et la musique quasi permanente est un pénible cache-misère. L'ensemble est de la poudre aux yeux. Enfin, du sable. 0.5
J'ai vu Backdraft au cinéma a 11 ans. C'est devenu mon film préféré d'alors et ma B.O préférée, achetée en cassette audio. C'est la que j'ai découvert Hans Zimmer. Que dire sur le film ? L'histoire est assez convenue et se laisse regarde, mais visuellement, c'est une claque absolue ! Les trucages sont époustouflants et de nos jours la plupart des scènes seraient réalisées par ordinateur mais sans atteindre la maestria de ce film. Une ...
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La L'amour est omniprésent. La La photographie est incroyable. La La profusion de couleurs est merveilleuse. La La réalisation est unique. La La performance des acteurs est éblouissante. La La scène finale est bouleversante. La La musique est belle. La La Land est exceptionnel.
Un premier film réussi. On a rapidement affaire a une somme d'invraisemblances (pas d’enquête de police, personnel de l’école quasi-absent) mais la réalisation donne le sentiment que la situation passe au filtre des yeux de Justine spoiler: (et donc de sa folie)
. A ce titre, la toute scène de fin est très réussie et fait voir le film d'une autre manière, notamment la scène de l'aire d'autoroute, mais pas que. Dès lors, le ...
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Merci pour ce moment! J'ai été pris d'un fou rire inarrêtable à 10 minutes de la fin du film (au point de devoir quitter la salle!!!). Une soupape a lâché après 1h30 d'un scenario pourri, d’une enquête invraisemblable, d'un film sans enjeu et je dirais même sans jeu. Les acteurs sont tous mauvais, même Adèle Haenel, qui, c'est un comble pour un médecin, parle avec 2 de tension pendant tout le film! Derrick à coté c'est un ...
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Afin de rendre hommage à mes oreilles qui n'ont que trop souffert, je me devais d’écrire cette critique. Ce film se caractérise par trois choses: des cris, des cris, et encore des cris ! Ça crie tout le temps, pendant 2 heures et demi, c'est insupportable. Un spectateur d'un certain âgé à coté de moi s'est même fendu d'un "c'est pénible" (et on le comprend) au moment la loooongue scène d'embrouille père-fille. Lorsque les cris ...
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"La réveil d'un nouvel espoir du retour de la Force Jedi". Si je n'avais pas d'à priori sur le rachat de la licence Star Wars par Disney, j'avais en revanche quelques inquiétudes quand le nom de JJ Abrams a été cité pour diriger ce nouvel opus. On ne peut pas dire que sa filmographie parle pour lui, tant son œuvre est dénuée de toute épaisseur artistique. Or, ce n'est pas un hasard si le seul Star Wars que l'on qualifie aujourd'hui de ...
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Attention, missile ...
Ajami est un quartier de Tel-Aviv. Un quartier où juifs, musulmans et chretiens cohabitent non sans mal. Nous sommes là devant un film profondément social, ou les jeunes sont clandestins, les clandestins sont démunis, les démunis cherchent une issue, les issues amènent leur lot de drames.
Ajami est un film sur le destin. Par un mode narratif complexe, presque confus mais qui garde le spectateur alerte, différentes ...
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