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Ce film a une énergie phénoménale ! Entre les scènes de breakdance, les scènes de ménage et la lutte pour s’en sortir, plus une mise en scène rapide et efficace, ce film a tout pour cartonner.
Le film présente l’humour juif, mais un petit peu déconstruit dans celui-ci.
C’est sympathique, mais ça va pas très loin.
C’est sympathique, mais ça va pas très loin.
Malgré l'animation frénétique il n'y a aucun souffle dans l'histoire d'Encanto. Et comme toujours ce sont les valeurs familiales qui sont promues, avec des chansons toujours aussi niaises. Seul bon point, l'attention portée à reconstituer une culture colombienne, avec des rythmes latino alors que ce pays est le cœur de la cumbia.
Le film commence comme un Run movie entre une blanche Indianisée et un jeune soldat stupide.
C’est assez drôle, bien senti et féministe en Diable, années 70 oblige.
Puis, quand la concentration de soldats augmente, la hiérarchie militaire charge les Indiens dans tous les sens du terme. Le film se termine de façon extrêmement glaçante et horrible.
Morale ? Il n’y en a pas.
C’est assez drôle, bien senti et féministe en Diable, années 70 oblige.
Puis, quand la concentration de soldats augmente, la hiérarchie militaire charge les Indiens dans tous les sens du terme. Le film se termine de façon extrêmement glaçante et horrible.
Morale ? Il n’y en a pas.
Ce film d'animation est incroyable : à la fois histoire d'émancipation, film absolument et totalement écolo, ultra précis dans les connaissances qu'il apporte aux spectateurs dans ce domaine, les personnages sont extrêmement fouillés, c'est épique, et en plus c'est drôle !
Chef-d’œuvre !!
Chef-d’œuvre !!
Brian de Palma aurait sans doute adoré ce film.
Le spectateur est-il toujours voyeur ?
Quel est donc ce drone ? Qui est derrière ce drone ? Est-ce un être humain ? Quels sont ses intentions ?
Bref, le film reste passionnant, malgré ses petits défauts de premiers films, avec beaucoup trop de personnages, pas assez dessinés.
Le spectateur est-il toujours voyeur ?
Quel est donc ce drone ? Qui est derrière ce drone ? Est-ce un être humain ? Quels sont ses intentions ?
Bref, le film reste passionnant, malgré ses petits défauts de premiers films, avec beaucoup trop de personnages, pas assez dessinés.
Même si le film est tourné en Argentine, au Brésil, en Inde et un peu partout dans le monde où il y a des paysages sublimes, dont le Taj-Mal, pour filmer les plus beaux paysages, cette espèce de conte niais pour enfants est franchement mauvais : les acteurs jouent très mal, et le scénario est indigent.
Une comédie signée Julie Delpy a toujours un petit côté grinçant ; il y a les bons sentiments, et en même temps la critique de ces bons sentiments, ou bien des dialogues bien balancés et bien vachard pour les deux extrêmes. Il y a aussi une critique de nous comportement sociétaux aussi.
Le scénario est judicieux, et tous les interprètes sont formidables.
Une comédie d’intégration irrésistible.
Le scénario est judicieux, et tous les interprètes sont formidables.
Une comédie d’intégration irrésistible.
Ce film est complètement dingue ! Entre kung-fu, comédie, cabaret crypto-gay, avec une intrigue alambiquée. Comme une gigantesque farce.
L’irrévérence, la satire et la parodie ne suffisent pas à masquer un scénario faiblard, prétextant encore une fois le multivers et tous ces avatars pour faire coexister l’univers Marvel de DC comics.
Les spectateurs français n’auront même pas la moitié des codes, même si DC comics l’emporte avec un Wolverine assez crade, tout comme Deadpool , dont Ryan Reynolds est à la co-manœuvre pour le scénario.
Tous ces CGI, à ...
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Excellent film, tout en nuances de gris, sur à la fois la condition féminine, la condition de policière, la condition des intouchables. A voir absolument
Jeff Nichols adapte un livre de photos. Le problème de ce film est que le réalisateur n’arrive pas à développer son scénario au-delà du simple témoignage.
Autre problème : le rythme du film est si lent qu’au bout d’une heure, une partie du public quitte la salle…
Donc, filme très moyen dans son contenu, avec un rythme trop lent.
Autre problème : le rythme du film est si lent qu’au bout d’une heure, une partie du public quitte la salle…
Donc, filme très moyen dans son contenu, avec un rythme trop lent.
Un documentaire sur le peuple Yézidi, sans tomber dans le pathos ?
Eh bien c’;est possible, en mettant à distance les auteurs des massacres, soit Daesh.
Également, en prenant la forme du conte,, qui explique la naissance de la religion des Yézidis et leur mythologie propre. L’introduction par un zoom avant, vue du ciel est très parlante sur la situation géographique , entre la Syrie et l’Irak.
Les témoignages sont poignants, et ...
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Extraordinaire documentaire, qui nous montre une humanité peu commune. Des personnages forts, qui montrent leur face sombre comme lumineuse.
Voilà enfin le vrai Fast and Furious : le dernier film de George Miller, une forme de hallucinée de revenge survival movie.
De plus, la mise en scène se permet des folies encore jamais vues : des plans qui commencent filmés de très haut par un drone, et qui se terminent dans l’habitacle d’un véhicule fonçant à toute blinde dans l’outback australien.
Et l’exploit sera répété plusieurs fois, sans compter de multiples cascades ...
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Vu en avant-première au cinéma, le sélect à Antony.
Ce dessin animé animé est pour tout public et à destination de tout âge. Il évoque, à travers quelques personnages, un syncrétisme de mythologies dont les thuriféraires se reconnaîtront.
Les athées un peu cultivés en matière de religion seront surpris de certaines idées assez universelles.
L’animation relève de la ligne claire et est très fluide.
Certains choix graphiques ...
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Vent de fraîcheur sur le cinéma, nord-américain indépendant : voici un conte de fées, mais imaginé par des enfants d’aujourd’hui, qui font des rodéos en mini moto, avant de prendre la tangente dans la montagne, sous un prétexte apparemment futile.
Ils vont vivre alors des aventures, ou la relation à l’adulte est d’une thématique très importante.
Très bonne surprise, que je recommande chaudement.
Ils vont vivre alors des aventures, ou la relation à l’adulte est d’une thématique très importante.
Très bonne surprise, que je recommande chaudement.
Ce film est globalement ennuyeux, passé une ou deux petites surprises.
Une comédie c’est surtout du rythme. Et là il y a un petit problème : c’est filmé comme un téléfilm.
Et le producteur étant TF1, ce film aurait dû passer directement à la télévision..
Une comédie c’est surtout du rythme. Et là il y a un petit problème : c’est filmé comme un téléfilm.
Et le producteur étant TF1, ce film aurait dû passer directement à la télévision..
Un film au poil, pas du tout barbant, avec une mise en scène sur le fil de rasoir.
La forme du film paraît au début académique, mais n’est qu’un trompe-l’œil pour exprimer une multitude de points de vue : celui d’Abel, celui de Rosalie, celui de l’amant possible, celui de la société.
À partir d’un cas très particulier, la réalisatrice réussi à dépasser ce cadre pour obtenir une fable qui touche à l’universel, celui de ...
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Avant tout visionnage de ce film, il est important de lire le synopsis. Passé l’effet de décalage entre l’enseignement laïque le jour et le dortoir islamiste la nuit, un beau film d’amitié, et de confrontation paternelle, se déroule, en commençant par un noir et blanc et se terminant par la couleur, tel un Xavier Dolan turc. Amitié ou amour trouble, différence de classe sociale, film d’initiation amoureuse : il y a tout dans ce ...
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Un couple mexicain sans enfant formé par une bigotte pied-bot revancharde et un épicurien anticlérical, amateur de taxidermie se déchire.
De ce postulat, dans un noir et blanc charbonneux, va se dérouler sous vos yeux ébahis, une comédie noire et grinçante jamais vue depuis Arsenic et vieilles dentelles. Régalez-vous !
De ce postulat, dans un noir et blanc charbonneux, va se dérouler sous vos yeux ébahis, une comédie noire et grinçante jamais vue depuis Arsenic et vieilles dentelles. Régalez-vous !
Film sans intérêt. Les personnages évoluent très peu. Surpris qu’il ait eu un prix à Cannes. Ne perdez pas votre temps avec ce film.
Pour une partie, ce film me fait penser à un Tarantino : façon de filmer, humour pince-sans-rire, sans esbroufe visuelle.
La suite, même chapitrée, diffère totalement : entre film élégiaque, avec une nature très présente, et film d’amours d’été, du presque western, la conclusion s’apparente un peu au film des frères Cohen plus très récent « un plan simple ». Je suis absolument certain qu’ils ont aimé ce film !
La suite, même chapitrée, diffère totalement : entre film élégiaque, avec une nature très présente, et film d’amours d’été, du presque western, la conclusion s’apparente un peu au film des frères Cohen plus très récent « un plan simple ». Je suis absolument certain qu’ils ont aimé ce film !
Cette suite est des plus étranges : elle se focalise sur des aventures bagarreuses, sans aucune profondeur.
L’animation est très fluide, les mouvements de combat sont bons, mais totalement déconnectés de tout effet réel, on est plutôt dans une forme de Tex Avery très light.
Sans compter l’humour, qui ressemble plus à de la blague de stand-up, on est loin de l’humour juif new-yorkais, qui est assez présent dans Madagascar.
Quand le ...
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On dit qu’une bonne comédie, c’est une question de rythme, de ton et de jeu.
Pas seulement ! Une bonne comédie doit surprendre, se décaler et apporter quelque chose : un point de vue sociétal, etc.
Tout le contraire de ce film, qui ne m’a apporté aucune satisfaction.
Pas seulement ! Une bonne comédie doit surprendre, se décaler et apporter quelque chose : un point de vue sociétal, etc.
Tout le contraire de ce film, qui ne m’a apporté aucune satisfaction.
Le sous genre de film de vampires et parfait pour aborder toutes les thématiques possibles et actuel d’une société : là où la société Sud coréenne est marquée par la religion et la technologie (voir Thirst, ceci est mon sang), la société québécoise est marqué par une dissonance entre les fêtards et les dépressifs.
C’est toujours intéressant d’une société par le prisme d’un film de genre, celui-ci est une pépite, je le ...
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Le film commence par une mise en situation assez longue, sur la noirceur de la réalité d’après guerre de la condition féminine.
Il décolle vraiment dans les derniers trois quarts d’heure où culmine les tensions.
Le final est éblouissant, j’ai vraiment beaucoup aimé.
L’immense succès de ce film n’efface pas pour autant la crise massive du monde culturel italien, sous le joug d’un pouvoir d’extrême droite qui place ses ...
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Le film démarre bien avec un scénario assez allumé avec des personnages haut en couleur.
Puis, faute d’enjeux assez fort, le film s’effiloche et le scénario part un peu dans tous les sens.
C’est dommage, le réalisateur lorgne vers les comédies à la Lubitsh, en général, j’aime bien, et ma chérie Laetitia Dosh brille d’une palette de jeux impressionnante.
Mathieu Kassovitz s’en tire pas mal aussi, dans un rôle totalement, à ...
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Depuis Whiplash je n’avais pas ressenti cette sensation d’énergie, de rythme, de passion. L’animation est extraordinaire, fluide, au diapason des trouvailles visuelles du manga.
Quelle performance musicale ! Ce ne serait que JASStice qu’il rencontre le succès…
Quelle performance musicale ! Ce ne serait que JASStice qu’il rencontre le succès…
Alejandro Jodorowsky, à propos de Dune, par David Lynch (1984) : génial, c’est nul !
Cette phrase permet de se rendre compte du travail de Denis Villeneuve pour créer toute sa SF dans du concret, du politique et du sensoriel.
Cette épice que tout le monde convoite (et qui s’appelle épiphyte dans la bédé de Jodorowski sur le méta Baron) n’est pas la drogue des années 70, qui ouvre les âmes et les champs dans la perception, mais ...
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Tous les films de Xavier Legrand parlent de possession. Possession de la relation du fils au père, ou beaucoup d’intrigues dans le film, ne sont pas dites, ne sont pas montrées, où sont suggérées.
L’horreur ne peut que se déployer dans l’imaginaire du spectateur.
L’horreur ne peut que se déployer dans l’imaginaire du spectateur.
Trop de trop, tue le trop. Trop d’esbroufe visuelle, trop de personnages, mal définis, des enjeux vaporeux. trop de détails à chaque plan, pas de ligne claire.
À fuir !
À fuir !
Ce film est un choc. Pourtant, c’est une fiction mais réalisée comme un documentaire.
Très bon équilibre entre séquence forte et plus humaines, avec une image en noir, plan très dense, comme pour nous montrer une intensité des rapports humains.
Faites tourner, et un recommandé chaudement.
Très bon équilibre entre séquence forte et plus humaines, avec une image en noir, plan très dense, comme pour nous montrer une intensité des rapports humains.
Faites tourner, et un recommandé chaudement.
C'est un royaume pas enchanté mais enchanteur : l'animation est très fluide, mélange de 2D et de 3D, plus des textures plaquées sur de la 2D. Les paysages sont absolument magnifiques.
L'histoire est connue grâce à un best-seller, le rendu des expressions est très très bon.
Au final, beaucoup d'émerveillement et d'émotion !
L'histoire est connue grâce à un best-seller, le rendu des expressions est très très bon.
Au final, beaucoup d'émerveillement et d'émotion !
Les documentaires de Jean Michel, Bertrand sont toujours aussi passionnants : prise en compte de l'environnement de manière totale, prise en compte des des points de vue, de tout le monde, confrontation avec des solutions.
Sans compter des paysages superbes de la vallée du Champsaur filmer à l'aide de drone.
Un documentaire tout aussi instructif que passionnant.
Sans compter des paysages superbes de la vallée du Champsaur filmer à l'aide de drone.
Un documentaire tout aussi instructif que passionnant.