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Comme pour le chapitre précédent la cible adolescente est clairement visée mais le fait avec assez de justesse et un travail intéressant sur certains personnages. Epilogue à la saga Avengers, Spider-man Far From Home est un gentil blockbuster estival, plutôt réussi là où on ne l’attend pas forcément (storyline poussive, mais fun) bien que peu surpris par le twist principal, comme tout film Marvel au final. Après il ne faudra pas trop ...
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Bon et bien tout le talent est là. Au bout de 4 opus la réussite est toujours au rendez-vous. Si le film peine à trouver son rythme lors des 20 premières minutes et ce malgré une sublime séquence d’ouverture impeccable sur le plan technique, les doutes qu’on avait lors de la bande annonce s’évaporent très vite. En presque 25 ans et pas loin de 10 ans après le chapitre 3, Toy Stroy touche encore petits et grands et clos sa franchise ...
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Très fun dans son parti pris, Rocketman s’avère une suite de séquences musicales qui relatent les moments forts et autodestructeurs de la vie d’Elton John. Devant l’impossibilité de tout résumer en deux heures, défauts de certains biopics dont le récent Bohemian Rhapsody, Dexter Fletcher propose avec originalité une autre version du genre. Fun et assumé, conjugué à l’interprétation du génial Taron Egerton, le spectacle est ...
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C’est confirmé nous avons définitivement perdu Neil Jordan ! Point. Mais on le savait depuis des années. Reste l’interprétation d’Isabelle Huppert…requiemovies.over-blog.com/
Le travail sur la colorisation est époustouflant et impose au film une notion immersive impressionnante. On ressort un peu bousculé par cette note réaliste, par la forme donc, mais également par les images de cette époque qui nous rappelle la dureté de la guerre. Bouleversant de réalisme. requiemovies.over-blog.com/
Avec Robert Redford à la production Nevada trouve une certaine note americana touchante sur cette histoire tirée de faits réels. Loin du film de prison classique le film parle des hommes, et de leur capacité à aller au fond d’eux-mêmes. Evitant tous les pièges du genre, le pathos ou la fable écolo n’est pas au rendez-vous pour faire genre. Et navigue entre réalisme et moments naturalistes où le rapport entre l’homme est l’animal ...
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Pitch sympa. Et si Superman avait été un bad guy !? Résultat ? foireux !
Hormis quelques scènes gores et originales, tout le reste n’est que prétexte à rendre ce film sans intérêt. Pas spécialement mauvais, juste vide dans sa démonstration dramatique tout comme, sa prestation graphique (mal filmé et photo passe partout). requiemovies.over-blog.com/
Hormis quelques scènes gores et originales, tout le reste n’est que prétexte à rendre ce film sans intérêt. Pas spécialement mauvais, juste vide dans sa démonstration dramatique tout comme, sa prestation graphique (mal filmé et photo passe partout). requiemovies.over-blog.com/
Pur film graphique, à la dramaturgie ultra classique, (« mais si ! vous connaissez la fin ») qui a la mérite de traiter son sujet pour ce qu’il est et de ne pas jouer dans sa mise en scène, comme dans son récit, à « qui va gagner ?! » Assumé de bout en bout, le premier film du fils d’Anthony Minghella (Le Patient Anglais) est plutôt une belle surprise dans sa forme. Evidemment la présence d’Elle Fanning couronne l’ensemble. ...
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Si les deux premiers chapitres semblaient originaux de par leurs récits presque utopiques, ils laissaient un arrière-goût assez répétitif dans la mise en scène, là où le charme pouvait cependant opérer pour les fans d’action et du genre.
Perdu un tant soit peu dans un montage plutôt raté, l’épique chapitre deux laissait vraiment sur sa fin et se rapprochait plus du jeu vidéo.
Étonnamment et un peu contre toute attente ...
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Si les décors et les costumes sont les atouts principaux de cette adaptation live du classique de Disney, Guy Ritchie perd un peu de sa patte pour se glisser dans le costume du bon faiseur de film dans les mains de Disney. On retrouve les ingrédients qui avaient fait le succès de la version animée mais le manque de panache se veut évident. Peu de prise de risque ou d’originalité mais les fans de comédies musicales devraient être ravis ...
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Nous avions découvert Bong Joon-ho avec Barking Dog, suivi du cultissime Memories of Murder, The Host, Mother, Snowpiercer, Okja…bref un chef d’œuvre (sinon une belle réussite) par réalisation.
Cette consécration cannoise autour de Parasite n’est que justifiée, tant l’ensemble du travail du metteur en scène se retrouve concentré en une seule œuvre. Bong Joon-ho mêle avec une habileté confondante fond et forme, satire sociale, ...
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Un seul mot, gênant ! Qu’est venu faire la plupart du casting dans cette suite sans intérêt. Sans doute le plus mauvais X-Men (Wolverine inclus) depuis L’affrontement fin al. Voire le plus mauvais X-Men tout court. Loin, très loin du potentiel énorme des comics sur le personnage concerné. requiemovies.over-blog.com/
Il est difficile de faire la fine bouche quand un film français revient aux bases du film de genre. Le travail technique sur Le chant du loup est digne des films gros budgets US (mention spéciale pour le son, post produit là-bas d’ailleurs), où la réalisation tire principalement son jeu. On mettra plus de parenthèses sur le casting. Là où Mathieu Kassovitz s’en sort une fois de plus très bien (n’en déplaise à ses détracteurs) ...
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La romcom Made in USA, avec son cahier des charges très formel à fréquemment surfé sur la même vague. Petite bouffée d’air frais avec Séduis-moi si tu peux ! , titre immonde dont on préférera la version originale Long Shot, et ses dialogues percutants, tout comme ses personnages plus « humains » et réalistes qu’à l’accoutumée. Porté par ses deux comédiens principaux le potentiel du film sous une telle forme s’avère ...
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Emouvant à travers un sujet fort, mais au-delà de la performance des comédiens sur laquelle le film semble reposer, il manque ce petit supplément d’âme cinématographique qui en ferait un film vraiment prenant. S’ajoute à l’ensemble ce pendant « histoire vraie » qui rend Boy Erased touchant, mais pas forcément prenant. requiemovies.over-blog.com/
On pensait retrouver un Tim Burton en très grande forme eues aux premiers échos du film mais c’était sans compter sur la mainmise de Disney. Dumbo reste alors un film à la maîtrise technique merveilleuse et éblouissante mais très gentillet et propre sur lui. Le rythme est très scolaire et les effets de manches plutôt prévisibles. La poésie du réalisateur est assez présente mais s’inscrit encore trop peu dans la notion « freaks ...
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Nous étions restés un peu de marbre face au succès de Get Out tant le film recelait de nombreux défauts. Ressemblant alors plus à un épisode de La Quatrième Dimension, bien fait mais prévisible. Us s’avère plus cauchemardesque que son premier film, plus sérieux et terriblement efficace pour qui fera face à un dénouement non pas brumeux, mais plutôt tiré par les cheveux. Peu importe l’effet est là, la reconstruction d’un genre ...
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Au moins cette fois, dans le titre, la couleur est annoncée.
Un film Marvel parmi tant d’autres dans une franchise qui n’en finit plus de s’agrandir. Ni mieux ni moins bon que les précédents et récents opus de la franchise. L’originalité de l’histoire et les twists intéressants sont contrebalancés par de grosses ficelles lors de la dernière demi-heure. Captain Marvel se veut cependant plus intéressant que la plupart des films ...
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Adam Mc Kay déjà géniteur du ludique et éducatif The Big Short, avait réussi le pari d’être instructif et divertissant à la fois pour nous expliquer la crise financière et trouver une narration légère et des dialogues précis mais compréhensibles sur un tel sujet. Il utilise à nouveau la même méthode et grammaire cinématographique pour mettre en scène Vice, biopic sur Dick Cheney.
Regard acide sur la politique US ...
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Nous étions restés un peu circonspect avec le précédent film de Barry Jenkins, Moonlight, quant à l’émotion que le film tendait à déployer ; notre attention ayant plus retenue l’interprétation des comédiens que les vrais enjeux du film. Ici, avec une ascendance très formelle et stylée, il met en scène une histoire d’amour qui traverse les différences haineuses et sociales. Le film s’habille alors dans sa mise en scène ...
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Rares sont les trilogies qui savent prendre acte de leur potentiel et le développer avec intérêt sur 3 chapitres. Dragons 3 – Le monde caché s’inscrit dans cet ordre et Dean DeBlois arrive une nouvelle fois à nous émerveiller et nous emporter dans ce spectacle à la beauté encore plus éblouissante que dans les premiers volets. Son scénario très bien écrit, s’adresse aussi bien aux adultes qu’aux enfants, et apporte son lot de ...
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La mauvaise presse (et réputation) du cinéma de Robert Rodriguez se verra-t-elle sublimée par le talent et le bagage historique (XXL) de James Cameron au cœur même du genre SF ?
Sur le papier, le film apparaît bancal, Cameron est là certes, mais Rodriguez peine à séduire son monde depuis une bonne décennie ; Planet Terror et Sin City, derniers bon films, remontent quand même à plus de 12 ans.
Forcé d’avouer que le résultat ...
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A défaut de prendre un chemin purement cinématographique, Félix Van Groeningen réalisateur de The Broken Circle Breakdown, La Mertitude des Choses et plus récemment Belgica, tend vers un réalisme profond et s’empare de son sujet de façon dramatique et quasi pédagogique. Oui l’addiction n’est pas un choix mais une maladie. Le réalisateur prend cependant un risque dans le choix de sa mise en scène. Fait d’allers et retours des ...
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A l’initiative du projet, Ryan Coogler (Creed, Fruitvale Station) devait reprendre les rênes de cette suite. Faute d’un planning chargé il laisse la main à Steven Caple Jr. (l’intéressant The Land / BO top au passage) qui n’a évidemment pas son passif de metteur en scène et qui vient se greffer à la franchise. Et fort de l’univers construit sur plusieurs années et renforcé par le Creed (entreprise mercantile), n’est pas le ...
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Long, trop long, hélas. Le jeu d’Amandla Stenberg éblouit l’ensemble du film qui vise un peu trop à instruire avec maladresse. Ce didactisme forcé n’en efface pas totalement les qualités, retrouvées ici et là, parsemées tout au long du récit. Assez émouvant mais un peu juste quand il s’agit d’emprunter les chemins du réalisme que le sujet du film demandait, surtout lorsque la violence policière et toutes les formes ...
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Film très « oscarisable » malgré un manque de prise de risque, et très prévisible, The Green Book s’octroie ce charme désuet des films hollywoodiens au goût de « bons sentiments » où chacun évolue au rythme du parcours que le roadtrip movie impose. Feel good movie à l’ancienne, qui prend le large grâce à l’alchimie parfaite entre Mortensen et Ali et où leur interprétation finit par remporter le match à la fin dans un ...
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Eastwood…88 ans. Rares sont ceux qui ont encore les armes pour s’offrir à la caméra tout en réalisant, du moins de cette génération. Pas vraiment un testament comme pouvait l’être Gran Torino, La Mule garde pourtant ce côté introspectif que Clint Eastwood aime tant à filmer (où à être filmé, Une nouvelle chance). On ne fera pas 500 détours pour parler de son dernier né mais encore une fois, sous des airs de petit film se ...
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Après Incassable et Split, M.Night Shyamalan vient clore sa trilogie avec Glass, et comme souvent, Shyamalan, on aime, ou pas. La presse US a rejeté le film en masse (36% sur Rottentomatoes… sic.) et au regard de ce chapitre final, on peut le comprendre, sans pour autant être d’accord. On se rappelle alors aux bons souvenirs de La Jeune fille de l’eau film « ego trip » mais diablement bien écrit, loufoque et féérique, tout en ...
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Yann Demange avait plutôt impressionné avec son précédent long métrage 71’, fort d’un réalisme soutenu narrant le passé irlandais lors de ses années les plus lourdes. Passionnant et maîtrisé, l’interprétation de Jack O’Connell suivant le même chemin dans son intensité de jeu.
On attendait donc beaucoup de Undercover – Une histoire vraie (White Boy Rick en V.O.) sachant que Matthew McConaughey était au casting. Pour ...
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Comme dans ses dernières réalisations, Robert Zemeckis se livre de plus en plus, fonçant tête baissée dans le fantastique, le rêve et l’innovation technologique, tout en inscrivant toujours plus son statut d’auteur. Comme-ci seul Zemeckis et deux trois autres auteurs du genre (Cameron, Spielberg, Jackson) avaient le secret de ces films d’une autre époque, mais de notre temps.
Evidemment Bienvenue à Marwen ne peut plus être pris ...
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Divertissement familiale faisant clairement écho aux années 80, honnête, parfaitement copié/collé dans ce qui se faisait à l’époque, et parfois même capable de délivrer sa dose d’émotions. Sans doute le meilleur volet de la franchise Transfomers, meilleur car très éloigné de ses prédécesseurs par son traitement comme son sujet (prequel du personnage en titre). Travis Knight à la réalisation (Kubo) n’y est certainement pas ...
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D’une kitcherie poussée mais assumée, James Wan tire de son film, et ce contre toute attente, une sorte d’objet cinématographique ultra rythmé, qui à la surprise générale procure une sorte de plaisir coupable. Les effets spéciaux ne sont pas toujours parfaits mais vu leur nombre et le milieu aquatique qui compose principalement le film, on ne fera pas trop la fine bouche. Jason Momoa et Amber Heard (kitch on a dit) s’intègrent ...
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Première réalisation de Paul Dano (Looper, Youth, There will be blood et actuellement dans l’excellente série Escape at Dannemora) et première réussite. Il filme avec maestria ce drame conjugal et dirige ses deux comédiens avec panache et finesse. Carey Mulligan, impériale comme toujours trouve ici son meilleur rôle entre froideur et dureté, et Jake Gyllenhaal ne fait que confirmer l’immense talent qu’on lui connait dans tous les ...
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Avec le trop méconnu Bon baisers de Bruges, Martin McDonagh avait fait son petit (sinon grand effet) suivi du brouillon et foutraque 7 Psychopathes qui mélangeait trop les genres.
Peu importe, le charme de son premier long-métrage, le pitch et le casting de 3 Billboards, Les panneaux de la vengeance amenait à une certaine curiosité, auréolée des avis public et presse Outre-Atlantique. Son succès aux derniers Golden Globes ne faisant que ...
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Le fameux duo Fran Walsh Peter Jackson offre son adaptation de l’œuvre post-ado Mécaniques Fatales. Et quand bien même Christian Rivers (responsable des effets visuels et storyboarder des précédents Peter Jackson) est à la manœuvre, c’est bien une touche Jackson’s productions qui émerge du film. Totalement ? non, car si Mortal Engines séduit par son univers steampunk et post-apocalyptique à la sauce Mad Max pour ado, on dénote un ...
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Tant qu’à exploiter les filons qui fonctionnent de super-héros, essorés à tout va, autant faire également un détour vers l’animation. Sauf qu’ici, là où on l’attendait encore moins, Spider-Man :New Generation vient nous surprendre avec surprise et fun. Fort de son graphisme original et dingue par sa dynamique d’animation (sauf sur un point, nous y reviendrons) Spidey s’avère au final un des meilleurs films de super-héros ...
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