Hors-la-loi, El Topo défie pour l'amour d'une femme les Quatre Maîtres du Désert. Les ayant vaincus, sa conscience s'élève jusqu'à ce que sa femme le trahisse. Sa nouvelle vie d'homme saint commence alors.
Une équipe de cinéma est venue tourner un western dans un village péruvien niché dans les Andes. Une fois le film terminé, tous les Américains s’en vont, à l’exception de Kansas, l’un des cascadeurs, qui souhaite prendre du recul vis-à-vis d’Hollywood et s’installer dans la région avec Maria, une ancienne prostituée.
En 1972, à l'université Suny Binghamton, Nicholas Ray enseigne le cinéma à de jeunes étudiants en les incitant à faire un film sans scénario, mais inspiré de leurs histoires personnelles et recourant à diverses expérimentations.
Une communauté de jeunes gens traverse non sans déboires un plateau désolé des Causses. Afin de nous horrifier par la conscience de notre propre cruauté, ils égorgent successivement un sanglier, un mouton, une vache.
Des réfugiés politiques chiliens nous font partager leur existence d'exilés. Réflexion austère, mais souvent intéressante, malgré l'imprécision du contexte.
1794. Les frères Bonaparte rencontrent une jeune demoiselle répondant au nom de Désirée Clary. Très vite, celle-ci se lie d'amour avec Napoléon. Leur relation va être mise à mal par l'arrestation de l'Empereur puis par son départ pour l'Italie.
Flottant dans les mélodies organiques de Warner Jepson et les langues cosmopolites presque inaudibles, ce merveilleux trip invite au rêve érotique. Arnold invoque le vertige des sens et les délices du toucher pour un rituel hédoniste : les dérives orgiaques blasphématoires et l’exubérance costumée renvoient au Satyricon de Fellini tout autant qu’ils anticipent sur le cinéma de Ken Russell.
Un roman porno délirant réimaginé du film de Seijun Suzuki "Branded to Kill". Réalisé par Atsushi Yamatoya et scénarisé par Yôzô Tanaka, tous deux scénaristes de "Branded to Kill" et collaborateurs réguliers de Suzuki.