Une jeune femme nommée Maria trouve refuge dans une maison après avoir échappé à une secte de fanatiques religieux allemands au Chili. Comme dans un rêve, la maison réagit aux émotions de Maria et transforme son séjour en cauchemar.
PEDRO est un sans-abri. Il veut faire un film pour comprendre le cinéma. AYA est une réalisatrice débutante. Elle accepte de l’aider. Mais AYA est en proie au doute. Que cache le projet de film de PEDRO ?
Troisième volet de la trilogie : La fin d'une relation amoureuse en trois parties : L’amour, la merde et le sperme. Partant d'un récit personnel d'une relation amoureuse, accompagné d'images qui représentent des bribes de mémoire, le spectateur est ensuite plongé dans l'univers des 120 Journées de Sodome du Marquis de Sade.
Le soleil ne se lève plus sur l’Atlas algérien. Après les guerres, sur cette terre où résonne encore l’écho d’une menace, Lamine marche dans la steppe. Un enfant, à la présence rassurante l’accompagne. Que fuient-ils ensemble ?
A bord d'un baleinier japonais dans la baie de Nagasaki, une énigmatique sculpture de vaseline est tenue par des barrières pour en préserver la forme. Le vaisseau est pris dans un orage. La sculpture perd sa forme et la vaseline se répand...
Depuis l’enfance, j’ai eu la chance de traverser deux mini dépressions de bonheur et j’attends, tout à fait serein, la troisième. Ça me suffit pour croire en une certaine beauté de la vie et avoir le plaisir de tenter de la filmer sous toutes ses formes : arbres, animaux, dieux, humains…
Sillonnant la campagne thaïlandaise, une équipe de tournage demande aux personnes rencontrées en chemin de prendre la parole devant la caméra. Sur le principe du cadavre exquis, chacun invente successivement les péripéties d'un conte étrange.
Ida, une femme d'une quarantaine d'années, vit avec un équipage de cinq personnes sur un voilier. Lors d'une permission à Marseille, la Légion étrangère française attire l'attention d'Ida, qui se fixe un nouvel objectif : traverser la Méditerranée pour se rendre dans la ville algérienne de Sidi Bel Abbès, siège de la Légion jusqu'à l'indépendance du pays en 1962.
"Quarantaines" est un film collectif réalisé au moment du premier confinement de 2020. Dix réalisateurs internationaux, dix regards qui se croisent dans une même période, avec leurs univers authentiques et plus atypiques les uns que les autres. Une œuvre qui rassemble dans l’isolement et qui exprime l’impalpable. Ce film est un chalenge, un pari : celui de la création qui subsiste malgré tout dans les contraintes de la crise sanitaire.
Une communauté de jeunes gens traverse non sans déboires un plateau désolé des Causses. Afin de nous horrifier par la conscience de notre propre cruauté, ils égorgent successivement un sanglier, un mouton, une vache.
Dans un décor de western, un couple de prisonniers gît à terre... Un soldat nordiste monte la garde... Plus tard, le soldat traîne un indien attaché à une corde tandis que des comédiens se maquillent... Une grève. Le délégué parle et ment. Les minorités agissantes face à la répression. La grève active et l'état policier. De nouvelles formes de luttes. La liaison avec les masses et la théorie. L'assemblée générale de tous les participants du film. Critique et autocritique. Explications et réflexions. Le cinéma et l'image en question. L'autogestion et la lutte armée.
En 1972, à l'université Suny Binghamton, Nicholas Ray enseigne le cinéma à de jeunes étudiants en les incitant à faire un film sans scénario, mais inspiré de leurs histoires personnelles et recourant à diverses expérimentations.