A l’ouverture du testament de son grand-père russe, Sacha reçoit pour tout héritage un carnet alors que ses deux sœurs se partagent la fortune familiale. Mais le calepin est vierge : les pages, de 1 à 100 sont blanches. Sur la couverture, une phrase en russe « un souvenir par page » plonge Sacha au cœur d’un mystère…