Téodora est belle et gracieuse. Elle porte les vêtements noirs, rêches et sans forme du monastère de Varatec, au cœur de la Roumanie, telle une princesse du Moyen-Âge. Entourée des "petites mères" du monastère, Téodora prépare l'événement le plus important de sa vie.
Alors que les mineurs de Petrila descendent au fond de la terre pour la dernière fois, l’artiste et l’ex-mineur Ion Barbu s’emploient à préserver la mine de la ville roumaine en tant que symbole du patrimoine culturel. Mais conformément aux accords de l’UE sur la fermeture de la mine, les autorités se sont engagées à la ...
De 1840 a 1900, les premiers laboratoires photographiques s'organisent en Roumanie. La photographie reconnue comme un art, tient la chronique de la vie citadine, politique, sociale et scientifique de l'epoque.
Ce documentaire suit trois enfants roms dans un village de Transylvanie. Ils sont les premiers participants d'une initiative qui vise à les intégrer dans les écoles roumaines.
Trente ans après, un voyage à travers les méandres de la mémoire de la révolution roumaine de décembre 1989, réunissant les pièces d’un puzzle fait d’événements et de hasards qui restent à éclaircir.
L’histoire d’un lieu, de l’énergie qu’il dégage. Un des plus beaux monastères de l’Est de l’Europe, Văcărești, était transformé en prison sous le régime communiste en Roumanie.
Des jeunes gens auditionnent pour le rôle de Nicolae Ceausescu au milieu des années 1930, sans idée préconçue. Le résultat est un portrait de cette jeune génération, un aperçu de l'héritage du leader communiste roumain.
Peli et Nina sont des membres de la communauté rom. Cependant, selon la coutume locale, les deux ne peuvent rester mariés que s'ils ont un enfant mâle qui héritera du calice familial. Ils ont eu une fille.
Lena Constante est arrêtée en 1948 par les services secrets roumains. Lucretiu Patrascanu, ancien premier ministre et membre du parti communiste, est le principal accusé de ce qui va devenir le procès le plus médiatisé de l’histoire de la Roumanie.
Dans une ferme, comme dans beaucoup d’autres en Moldavie, la femme est partie travailler à l’étranger, laissant le père seul avec les enfants. Costica met un point d’honneur à bien élever ses enfants.