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Bahman Kiarostami retrouve le héros du "Passager" réalisé en 1974 par son père Abbas Kiarostami. -
Quatre personnes séropositives, deux visions à plusieurs milliers de kilomètres l’une de l’autre. Deux personnes en Iran et deux en France, nous racontent leur combat quotidien contre la maladie. -
Kiarostami, cinéaste emblématique, appréhendé à travers le prisme de ses premiers travaux (Le Pain et la Rue, 1970) et surtout de l’un de ses premiers longs métrages (Le Rapport, 1977). Des exemples paradigmatiques de son cinéma, permettant de percevoir les chemins poétiques et humanistes qu’il emprunte. -
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Dans une classe, un élève chahute. Personne ne dénonce le coupable. Le professeur expulse sept garçons, dont le coupable, pendant une semaine. Cas numéro 1 : l’un d’entre eux finit par dénoncer son camarade. Cas numéro 2 : personne ne dénonce le fautif. Le cinéaste projette ces deux cas à des adultes et recueille leurs avis.
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Une histoire d’amour, deux croyances différentes, une famille dans la tourmente de l’histoire moderne de l’Iran.
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Sara Shahverdi, 37 ans, motarde, propriétaire terrienne, ancienne sage-femme devenue militante citoyenne et récemment divorcée, vient de remporter une élection dans son village iranien reculé et tout le monde a une opinion à ce sujet.
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Sur une colline, des hommes, des femmes en tchador et des enfants déambulent dans un vaste musée en plein air dressé en mémoire des martyrs de la guerre Iran-Irak. C'est le nouvel an iranien, nous sommes près de la frontière irakienne...
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L'histoire de Mohammad, un petit garcon de dix ans qui vit dans un village au bord de la mer Caspienne entre un père alcoolique et une mère malade.
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Programme de cinq courts métrages (1995-2015).
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Né en 1981, Ehsan Khoshbakht n’a connu le film farsi que par le biais de VHS illégales aux copies catastrophiques, alors qu’il avait été déclaré hors-la-loi depuis des années. Historien et co-directeur de Il Cinema Ritrovato, le prestigieux festival du film restauré de Bologne, il est donc parti à la recherche du cinéma perdu, évoquant son histoire, de ses origines à sa fin entre 1953 et 1979. Il dresse un panorama exhaustif illustré par de nombreuses archives et analyse tous les paradoxes thématiques d’un cinéma populaire pas vraiment progressiste mais « scandaleux » dans sa représentation, encore plus aux yeux d’un pouvoir islamiste qui l’éradiqua.
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Dans le Bucarest des années 1970, Zahra et Maria se lient d'une profonde amitié alors qu'elles étudient ensemble à l'université. Alors que l'Iran est en proie à des troubles politiques, Zahra est contrainte de rentrer chez elle, laissant Maria derrière elle. Au cours de la décennie suivante, elles maintiennent leur lien par le biais d'une série de lettres, relatant leurs luttes en tant que femmes se battant pour se faire entendre et leurs pays respectifs évoluant dans des directions divergentes. Malgré la distance et les obstacles, leur désir de se retrouver ne se tarit pas.
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Une jeune fille iranienne de 18 ans face à un dilemme : choisir entre son père et ses études.
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Deux petits garçons regardent un dessin animé sur les animaux. À chaque scène, l’un des deux dit « Moi aussi, je peux » et mime les actions des animaux représentés, jusqu’au moment où l’on voit s’envoler un oiseau…
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Plongé dans la vie et le travail de Fereydoun Ave,
artiste polyvalent iranien, le documentaire explore
sa créativité déployée à travers divers médias, du
théâtre à la peinture en passant par le design.
Malgré son succès et sa renommée, Ave refuse les
étiquettes simplistes telles qu’artiste, designer ou
galeriste. Son œuvre, imprégnée d'une sensibilité théâtrale unique, excelle dans la création de décors, de costumes, d'intérieurs domestiques et de meubles, tout en explorant régulièrement le domaine du graphisme. Le film le trouve à Syros, une île grecque où il se retire chaque été depuis 40 ans, loin des contraintes de la vie urbaine. -
A la rencontre de la jeunesse iranienne.
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Composé de témoignages recueillis de 1970 à 1983, le film retrace l'itinéraire des juifs polonais réfugiés en Iran au moment de la Seconde Guerre Mondiale. Episode peu connue, le film évoque leur passage par un camp de réfugiés en Sibérie avant de trouver asile en Iran.
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Le 8 septembre 1978, la police armée du Shah charge les manifestants rassemblés Place Jaleh à Téhéran. Les déclarations officielles parlent de 200 morts, mais le jour suivant la tragédie, les habitants évoquent des centaines de corps transportés au cimetière de Behesht-e- Zahra. Très vite, on découvre que la majeure partie des cadavres ...
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Bâbâdjoun, mon cher papa, à quoi ressemble l’Iran
maintenant ? Et si j’y allais ? La grande Histoire a
redistribué les cartes de notre histoire personnelle,
créant des nœuds et des lacunes. Aller en Iran
serait un retour vers toi, tant absent de ma vie.
Mais suis-je capable de me rendre dans ce pays
que tu as quitté ? Dans la mémoire de mon cœur,
résonnent les vers d’un poème persan que tu m’as
enseigné : “Rien ne reste, tout passe, tout change,
alors vis dans la joie”. Bâbâdjoun, saurons-nous
rattraper le temps perdu avant de disparaître ? -
Nasseredin, Shah d’Iran qui a 84 femmes et 200 enfants déteste le cinéma jusqu’au jour où il découvre le premier film parlant iranien La fille de Lor. Il tombe éperdument amoureux de Golnar, l’héroïne du film. Sa passion est si forte qu’il est prêt à̀ renoncer à̀ son royaume et à son harem. Pour sa bien-aimée, il devient acteur.
