En suivant le parcours d’Anatoly, militant du Parti national-bolchevique, la cinéaste éclaire une face sombre de la Russie d’aujourd’hui, populiste et xénophobe.
Soviet Hippies revient sur l’histoire d’une sous-culture qui a émergé de Tallinn à Saint-Pétersbourg dans les sixties, et qui comme à l’Ouest, avait sa part de sex, de drugs et de rock’n’roll. À l’Ouest comme à l’Est, les mêmes réflexes.