Octobre 2001. Au monastère de Kopan, au Népal, on procède à l'incinération du lama Geshe Konchog, révéré comme un maître spirituel par les bouddhistes tibétains. Au cours de la cérémonie, plusieurs signes - perles réchappées des flammes, trace dans les cendres... - indiquent qu'il n'aurait pas définitivement quitté ce monde. Son ...
Pionnier de l’art contemporain par sa renommée et l’abondance de son œuvre, Jean-Michel Basquiat a produit une œuvre des plus riches en un temps très court. Tamra Davis, rend ici hommage à l’artiste qu’elle a très bien connu...
La route 66 ? Ce n’est pas une route, c’est « la » route ! De Chicago à Los Angeles, elle vous emmène au cœur de l’Amérique, au cœur de son histoire, au plus profond de son âme. En traversant 8 états, elle reflète la diversité d’un pays et nous entraine à la découverte de la culture américaine. La 66 représente beaucoup plus ...
Yoganda s'est fait connaitre dans les années 20 en apportant la spiritualité et la méditation en Occident.Son livre « Autobiographie d’un Yogi », best seller mondial a été une source d’inspiration pour d’innombrable personnalités comme George Harrison, Russell Simmons ou encore Steve Jobs.
Sur les terres sauvages de l'Empire du Milieu, les destins de trois familles d'animaux s'entrecroisent : le Panda majestueux, l'astucieux Singe Doré et l'insaisissable Panthère des Neiges.
Studio 54 était l’épicentre de l’hédonisme des années 70 – un lieu qui non content de redéfinir le concept de nightclub, est parvenu à symboliser toute une époque. Aujourd’hui, 39 ans après que le cordon de velours ait été posé sur son seuil sacré pour la première fois, un film documentaire raconte la véritable histoire du meilleur club de tous les temps.
Réalisé par Laura Farber, le documentaire revient vingt ans après sur le massacre de Columbine où deux étudiants ont ouvert le feu sur leurs camarades de classe. Quatres anciens élèves, aujourd'hui eux-mêmes parents, reviennent sur les lieux de la tragédie pour la première fois...
Publié aux Etats-Unis en 1997, le livre «Misha: A Mémoire of the Holocaust Years» («Survivre avec les loups» en français), raconte comment une petite fille juive traverse seule l’Europe de la Seconde Guerre mondiale pour retrouver sa mère. Elle survit notamment parce qu’elle est adoptée et protégée par une meute de loups. Présenté comme un récit autobiographique, l’ouvrage est en fait une imposture littéraire. Interrogeant ses principaux protagonistes, dont des proches de Misha Defonseca et son éditrice, le réalisateur revient sur cette histoire étonnante.
Stéphane Aubier et Vincent Patar se sont rencontrés lorsqu'ils étaient étudiants aux Beaux-Arts dans les années 80. C'est le point départ d'une belle amitié qui s'est transformée en aventure cinématographique, avec désormais tout un collectif qui gravite autour du duo. Fabrice du Welz retrace l'histoire du tandem et de son cinéma, de "Panique au village" à "Ernest et Célestine". Les réalisateurs reviennent sur leur parcours et évoquent leur façon de travailler, leur style et leur humour si particulier. Une plongée à la fois intime et réjouissante au coeur du travail de deux fleurons du cinéma d'animation belge.
Fils de Garches est l’histoire d’un mauvais souvenir. Des passages réguliers à l’hôpital lorsque j’étais enfant ont marqué ma vie et celle des enfants qui avaient mon handicap. Tordre un petit peu pour essayer de me remettre droit. C’est donc une histoire de mémoire et de corps différents.
Le documentaire s'attardera sur un investisseur qui a perdu son emploi pendant la pandémie de coronavirus et a tout risqué en investissant après avoir vu les WallStreetBets.
Été 2018, nord de la Thaïlande. Les 13 jeunes membres d'une équipe de football se perdent dans un dédale de grottes où ils vont rester coincés pendant 17 jours. Il faudra les efforts concertés de sauveteurs du monde entier pour sortir les enfants du souterrain après les avoir endormis dans le cadre d'une mission spectaculaire comptant plus de 90 plongeurs. Ce documentaire raconte l'histoire exclusivement du point de vue des garçons et de leur entraîneur.
Cet homme, c’est Kim Tschang-yeul. L’un de ses fils co-réalise ce film avec Brigitte Bouillot en forme de vibrant hommage à son aîné, décédé en 2021. Kim Tschang-yeul est un des artistes sud-coréens les plus réputés (il existe un musée à son nom dans la ville de Jeju en Corée du Sud) et il fait partie de cette catégories d’artistes qu’on pourrait qualifier d’obsessionnels. En effet, après avoir réalisé des tableaux variés, l’artiste va réaliser sa première goutte d’eau en 1971. Par la suite, toutes ses oeuvres figureront des gouttes d’eau, et ce, jusqu’à la fin de sa vie. Le film, en plus de filmer l’homme de son quotidien de vieil homme voué à la pratique de l’art et de la méditation, raconte son parcours absolument chaotique en tant qu’adolescent. L’art est aussi et bien souvent un remède aux traumatismes que la vie peut créer chez les gens. « Jamais je n’ai pensé que mon père peignait des larmes »...
Ce documentaire raconte la rivalité à Roland-Garros entre deux monstres sacrés : Nadal et Djokovic. Ils ont un palmarès similaire et pourtant tout les oppose. Leurs styles, leurs origines, leurs caractères. Ils n’ont pas la même histoire non plus.
Dans le royaume peul du Fouta-Toro, entre le Sénégal et la Mauritanie, des villages isolés subsistent sans électricité. Une ONG forme les femmes à l’utilisation de l’énergie solaire, encore faut-il les laisser partir à la ville pendant de longues semaines. Les hommes résistent. mais emmenées par Néné, la cinquantaine, une dizaine d’épouses bravent l’interdiction. En prenant leur destin en main, c’est aussi le sort du village qui en sera changé.