Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Figaro
par Emmanuèle Frois
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
On est saisi par la beauté spectrale, la gravité lapidaire des paroles écrites par Ian Curtis, poète fiévreux (...) C'est Sam Riley, jeune acteur britannique de 27 ans, qui offre ses traits à Curtis. Plus qu'une interprétation, une véritable incarnation.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Porté par les mélodies funèbres du groupe et l'interprétation bouleversante de Sam Riley, ce portrait d'une âme tourmentée envoûte, fascine et hante longtemps les mémoires.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
(...) une pudeur et une absence d'esbroufe qui collent bien à l'image du chanteur disparu.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Christophe Goffette
"Control" n'est pas racoleur, "Control" est l'antithèse des biopics à l'américaine, "Control" est une belle réussite...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Elle
par Françoise Delbecq
Certes, on assiste à des fragments de concerts, mais l'intensité dramatique soutenue par de somptueux cadrages confère à ce "Control" une émotion qui devrait toucher un public plus vaste que celui des simples fans.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Dominique Widemann
En plans larges parfaitement composés, cadrages au cordeau, Corbijn s'emploie avec une sensibilité de sismographe à retracer la vie et la mort de Ian Curtis (...)
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) Corbijn procède de façon si originale, utilisant les détails, qu'on suffoque dans le désespoir britannique du début des années Thatcher.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Axelle Ropert
Derrière le romantisme noir du mythe suicidaire Ian Curtis, le portrait prosaïque, parfois cocasse, souvent touchant, d'une personne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
(...) Le film n'incite pas particulièrement à la nostalgie. Mais il ouvre une voie vers l'énigme du temps perdu et sera probablement, pour de nombreux spectateurs contemporains de cette histoire, ados dans les années 80, une pierre de touche pour trébucher stoïquement dans la vieillesse.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
On ressort bouleversé et passionné de ce film à la narration dynamique et aérienne, au noir et blanc somptueux, aux cadres remarquablement construits, aux transitions elliptiques bien vues et à l'interprétation habitée de Sam Riley.
Ouest France
par La rédaction
(...) une biographie portée par la prestation de Sam Riley, étonnant dans la peau du leader de la formation. Il habite un film, premier long-métrage d'un photographe confirmé, qui dresse un portrait lucide d'un homme, d'un artiste et de son époque.
Positif
par Elise Domenach
La reconstitution semble habitée (...) L'harmonie entre rock et cinéma au plan de la mise en scène fait de ce drame singulier le révélateur d'un malaise propre à la jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier de Bruyn
Mis en scène à hauteur d'homme, "Control" n'est pas un biopic rock de plus, mais un drame minimal et ouaté, pudique et déchirant, qui témoigne de l'inspiration très singulière de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Un peu trop crispé sur ses partis pris esthétiques, à la limite d'une certaine préciosité formelle, il distille cependant un charme sombre, une tristesse poignante
Télérama
par Laurent Rigoulet
"Control" est un modèle de biographie musicale. (...) Les scènes de musique ne sont pas nombreuses mais figurent parmi les meilleurs instantanés rock au cinéma. Elles laissent percer ce qu'il y a d'anodin et de miraculeux dans la naissance d'un groupe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
Le portrait est séduisant mais gâché par la suspicion que ne peut éviter de soulever le point de vue de l'épouse.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Cahin-caha, le film se trouve une forme assez idéale, entre vitrification et kenloachisation du mythe, rapatriant ce dernier sur un terrain salutairement trivial.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En optant pour le noir et blanc, le cinéaste confère davantage d'impact, d'authenticité et d'esthétisme à son propos. Valeur montante du cinéma britannique, Sam Riley, 27 ans, est littéralement habité par le rôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Hubert Lizé
(...) Le photographe de rock Anton Corbijn a su restituer la noirceur post-industrielle de Manchester, la beauté sombre de la musique de Joy Division et le désespoir profond qui hantait son leader, épilectique et dépressif.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Un portrait neurasthénique du leader de Joy Divison par un artiste touche-à-tout. Estimable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Fabrice Pliskin
(...) Les plans de Corbijn ressemblent à de splendides pochettes de disques apocryphes de Joy Division (...) Quant à l'impalpable destin de Curtis, ce suicidé de la société, il semble se réduire à quelque vaudeville cold wave et à la plate infortune d'un jeune homme marié trop tôt.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
On est saisi par la beauté spectrale, la gravité lapidaire des paroles écrites par Ian Curtis, poète fiévreux (...) C'est Sam Riley, jeune acteur britannique de 27 ans, qui offre ses traits à Curtis. Plus qu'une interprétation, une véritable incarnation.
Télé 7 Jours
Porté par les mélodies funèbres du groupe et l'interprétation bouleversante de Sam Riley, ce portrait d'une âme tourmentée envoûte, fascine et hante longtemps les mémoires.
20 Minutes
(...) une pudeur et une absence d'esbroufe qui collent bien à l'image du chanteur disparu.
Brazil
"Control" n'est pas racoleur, "Control" est l'antithèse des biopics à l'américaine, "Control" est une belle réussite...
Elle
Certes, on assiste à des fragments de concerts, mais l'intensité dramatique soutenue par de somptueux cadrages confère à ce "Control" une émotion qui devrait toucher un public plus vaste que celui des simples fans.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
En plans larges parfaitement composés, cadrages au cordeau, Corbijn s'emploie avec une sensibilité de sismographe à retracer la vie et la mort de Ian Curtis (...)
Le Monde
(...) Corbijn procède de façon si originale, utilisant les détails, qu'on suffoque dans le désespoir britannique du début des années Thatcher.
Les Inrockuptibles
Derrière le romantisme noir du mythe suicidaire Ian Curtis, le portrait prosaïque, parfois cocasse, souvent touchant, d'une personne.
Libération
(...) Le film n'incite pas particulièrement à la nostalgie. Mais il ouvre une voie vers l'énigme du temps perdu et sera probablement, pour de nombreux spectateurs contemporains de cette histoire, ados dans les années 80, une pierre de touche pour trébucher stoïquement dans la vieillesse.
MCinéma.com
On ressort bouleversé et passionné de ce film à la narration dynamique et aérienne, au noir et blanc somptueux, aux cadres remarquablement construits, aux transitions elliptiques bien vues et à l'interprétation habitée de Sam Riley.
Ouest France
(...) une biographie portée par la prestation de Sam Riley, étonnant dans la peau du leader de la formation. Il habite un film, premier long-métrage d'un photographe confirmé, qui dresse un portrait lucide d'un homme, d'un artiste et de son époque.
Positif
La reconstitution semble habitée (...) L'harmonie entre rock et cinéma au plan de la mise en scène fait de ce drame singulier le révélateur d'un malaise propre à la jeunesse.
Première
Mis en scène à hauteur d'homme, "Control" n'est pas un biopic rock de plus, mais un drame minimal et ouaté, pudique et déchirant, qui témoigne de l'inspiration très singulière de son auteur.
TéléCinéObs
Un peu trop crispé sur ses partis pris esthétiques, à la limite d'une certaine préciosité formelle, il distille cependant un charme sombre, une tristesse poignante
Télérama
"Control" est un modèle de biographie musicale. (...) Les scènes de musique ne sont pas nombreuses mais figurent parmi les meilleurs instantanés rock au cinéma. Elles laissent percer ce qu'il y a d'anodin et de miraculeux dans la naissance d'un groupe.
Cahiers du Cinéma
Le portrait est séduisant mais gâché par la suspicion que ne peut éviter de soulever le point de vue de l'épouse.
Chronic'art.com
Cahin-caha, le film se trouve une forme assez idéale, entre vitrification et kenloachisation du mythe, rapatriant ce dernier sur un terrain salutairement trivial.
Le Journal du Dimanche
En optant pour le noir et blanc, le cinéaste confère davantage d'impact, d'authenticité et d'esthétisme à son propos. Valeur montante du cinéma britannique, Sam Riley, 27 ans, est littéralement habité par le rôle.
Le Parisien
(...) Le photographe de rock Anton Corbijn a su restituer la noirceur post-industrielle de Manchester, la beauté sombre de la musique de Joy Division et le désespoir profond qui hantait son leader, épilectique et dépressif.
aVoir-aLire.com
Un portrait neurasthénique du leader de Joy Divison par un artiste touche-à-tout. Estimable.
L'Obs
(...) Les plans de Corbijn ressemblent à de splendides pochettes de disques apocryphes de Joy Division (...) Quant à l'impalpable destin de Curtis, ce suicidé de la société, il semble se réduire à quelque vaudeville cold wave et à la plate infortune d'un jeune homme marié trop tôt.