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Parmi les adaptations cinématographiques de BD issues de la culture franco-belge, on a certes connu mieux mais également pire. Ce film se situe donc dans la moyenne voire légèrement au-dessus. Gosnell décide de conserver l'essence même de Peyo et de son incroyable univers. Les Schtroumpfs correspondent à ce que l'on a toujours connu, entre drôlerie et tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Les péripéties relèvent plus du rituel touristique que de l'art du scénario. Cela se manifeste par l'accumulation de gags gentiment scatologiques, l'un des piliers de l'humour enfantin américain. On finit par avoir hâte que les petits êtres bleus regagnent leur pays natal et se remettent à dire "schtroumpf" à tout bout de champ.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'inattendue alliance entre gags burlesques et humour ironique, parodiant avec malice l'univers mielleux des Schtroumpfs, sauve l'ensemble de l'aller simple au pays des nanars.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Excessif
Parmi les adaptations cinématographiques de BD issues de la culture franco-belge, on a certes connu mieux mais également pire. Ce film se situe donc dans la moyenne voire légèrement au-dessus. Gosnell décide de conserver l'essence même de Peyo et de son incroyable univers. Les Schtroumpfs correspondent à ce que l'on a toujours connu, entre drôlerie et tendresse.
La Croix
Le film renouvelle - sans les trahir - l'image des petits personnages bleus de Peyo.
Le Monde
Les péripéties relèvent plus du rituel touristique que de l'art du scénario. Cela se manifeste par l'accumulation de gags gentiment scatologiques, l'un des piliers de l'humour enfantin américain. On finit par avoir hâte que les petits êtres bleus regagnent leur pays natal et se remettent à dire "schtroumpf" à tout bout de champ.
Le Point
Voir lepoint.fr
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
L'Ecran Fantastique
Les personnages vivants sont plus lisses qu'un galet (...) mais Sony n'est pas Pixar.
Le Journal du Dimanche
La 3D est festive, mais le scénario n'évite pas la guimauve. A réserver aux tout-petits.
Télé 7 Jours
Si les petites créatures bleues en images de synthèse sont plutôt séduisantes, le scénario et le niveau de l'humour, eux, frisent l'indigence.
TéléCinéObs
L'inattendue alliance entre gags burlesques et humour ironique, parodiant avec malice l'univers mielleux des Schtroumpfs, sauve l'ensemble de l'aller simple au pays des nanars.