Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Comme son personnage, le film affirme sa singularité avec naturel et sobriété, ne demandant de compte à personne, ne réclamant pas qu'on l'aime ou qu'on le déteste. Il a la force et la fragilité de n'exister que pour lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
"Un año sin amor" trouve un équilibre parfait grâce à ce centre de gravité bouleversant qu'est Pablo, un personnage finalement assez opaque.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
L'une des grandes beautés du film consiste en l'absence d'un catalyseur narratif, l'indifférence qu'il oppose à toute forme de légitimation du récit. Pas de scoop. Ni de mise en marche sensationnelle vers la mort.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Traiter d'un fléau comme le Sida sans tomber dans le mélo larmoyant ou l'hédonisme rebelle tient de l'exploit. "Un ano sin amor" reste (...) une belle réussite et révèle une cinéaste dont le parcours est à suivre.
Positif
par Paul-Louis Thirard
Ce petit film est convaincant par sa simplicité, son style d'image (...), l'aspect vécu de cette méditation sur l'Eros et le Thanatos, maladie plus Internet et traitement de texte.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Zurban
par Eric Quéméré
Ce film vaut surtout par la manière dont le personnage affronte le VIH. Il est moins convaincant dans sa description un peu appliquée d'une sexualité "hors normes".
aVoir-aLire.com
Situant son regard entre la fiction douloureuse et le documentaire biographique, (Anahi Berneri) nous offre une magistrale leçon d'espoir loin d'être insoutenable et malsaine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Dominique Widemann
Travail d'écriture cinématographique, "Un ano sin amor" est documenté par de nombreux fragments (...) Suffisamment reconnaissables pour permettre l'identification, ils ancrent le film dans le réel tout en l'éloignant du strict documentaire.
Studio Magazine
par Benoit Deschodt
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...) il y a une telle candeur dans le regard de l'acteur Juan Minujin que son chemin de croix, aussi pénible soit-il, dégage une sorte de pureté que n'aurait pas reniée Pasolini.
Télérama
par Frédéric Strauss
[Anahi Berneri] filme cette chronique avec une sobriété bienvenue, attachée avant tout à la rigueur de la forme.Elle montre ainsi sans convulsions des choses qui prennent aux tripes (...) On frôle l'excès de contrôle, mais ça marche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Benjamin Mallet
(...) à trop se distancier des émotions de son héros, la réalisatrice livre un portrait sans âme qui peine à susciter davantage qu'un vague intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Isabelle Regnier
Hésitant entre une position militante, qui consisterait à banaliser un quotidien communément jugé scandaleux, et une fascination voyeuriste pour son sujet, [Anahi Berneri] navigue à vue sans jamais trouver la bonne distance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Score
par Emmanuelle Spadacenta
L'image est crado, l'ambiance poisseuse. C'est lourd. Très lourd.
La critique complète est disponible sur le site Score
Cahiers du Cinéma
Comme son personnage, le film affirme sa singularité avec naturel et sobriété, ne demandant de compte à personne, ne réclamant pas qu'on l'aime ou qu'on le déteste. Il a la force et la fragilité de n'exister que pour lui-même.
Fluctuat.net
"Un año sin amor" trouve un équilibre parfait grâce à ce centre de gravité bouleversant qu'est Pablo, un personnage finalement assez opaque.
Les Inrockuptibles
L'une des grandes beautés du film consiste en l'absence d'un catalyseur narratif, l'indifférence qu'il oppose à toute forme de légitimation du récit. Pas de scoop. Ni de mise en marche sensationnelle vers la mort.
MCinéma.com
Traiter d'un fléau comme le Sida sans tomber dans le mélo larmoyant ou l'hédonisme rebelle tient de l'exploit. "Un ano sin amor" reste (...) une belle réussite et révèle une cinéaste dont le parcours est à suivre.
Positif
Ce petit film est convaincant par sa simplicité, son style d'image (...), l'aspect vécu de cette méditation sur l'Eros et le Thanatos, maladie plus Internet et traitement de texte.
Zurban
Ce film vaut surtout par la manière dont le personnage affronte le VIH. Il est moins convaincant dans sa description un peu appliquée d'une sexualité "hors normes".
aVoir-aLire.com
Situant son regard entre la fiction douloureuse et le documentaire biographique, (Anahi Berneri) nous offre une magistrale leçon d'espoir loin d'être insoutenable et malsaine.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Travail d'écriture cinématographique, "Un ano sin amor" est documenté par de nombreux fragments (...) Suffisamment reconnaissables pour permettre l'identification, ils ancrent le film dans le réel tout en l'éloignant du strict documentaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) il y a une telle candeur dans le regard de l'acteur Juan Minujin que son chemin de croix, aussi pénible soit-il, dégage une sorte de pureté que n'aurait pas reniée Pasolini.
Télérama
[Anahi Berneri] filme cette chronique avec une sobriété bienvenue, attachée avant tout à la rigueur de la forme.Elle montre ainsi sans convulsions des choses qui prennent aux tripes (...) On frôle l'excès de contrôle, mais ça marche.
Première
(...) à trop se distancier des émotions de son héros, la réalisatrice livre un portrait sans âme qui peine à susciter davantage qu'un vague intérêt.
Le Monde
Hésitant entre une position militante, qui consisterait à banaliser un quotidien communément jugé scandaleux, et une fascination voyeuriste pour son sujet, [Anahi Berneri] navigue à vue sans jamais trouver la bonne distance.
Score
L'image est crado, l'ambiance poisseuse. C'est lourd. Très lourd.