Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Figaroscope
par Geneviève Joublin
Cette radiographie du monde rural n'a pas le souffle épique de Lagaan, mais en a la force de la conviction. Gowariker aborde les problèmes les plus vitaux de son pays d'une manière simple, frontale et douce, sans cynisme, à l'indienne, avec une capacité permanente d'émerveillement et une émotion toujours à fleur d'image.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Fantastikindia
par Dahlia & Didi
Durant ce séjour prolongé, Mohan va se trouver confronté aux réalités socioculturelles de l'Inde rurale : l'immobilisme, la soumission au fatalisme, la ségrégation sociale des basses castes, entre autres.
La critique complète est disponible sur le site Fantastikindia
Libération
par Samuel Douhaire
(...) avec Swades, c'est comme si le néoréalisme s'invitait dans l'univers enchanté de Bollywood (...) Cette combinaison harmonieuse de divertissement et de message social est l'oeuvre d'un pur produit de Bollywood.
Ouest France
par La rédaction
En musique et en grands sentiments, le cinéma indien dans toute sa richesse et sa singularité. Plein de spectacle et de sensations.
Positif
par Hubert Niogret
Un film généreux, jamais paternaliste, mais emporté par l'énergie du réalisateur que l'on connaît depuis Lagaan, dans un mouvement suffisamment fort pour que le film se suive sans relâche pendant 3h20.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Laurence Tournier
(...) Trois heures et demie d'un réquisitoire contre le système des castes, le sexisme, l'analphabétisme et la misère : une entreprise idéaliste mais jubilatoire, d'autant que, fidèle à la tradition bollywoodienne, Gowariker émaille sa diatribe de ballets et de chants, de grains de fantaisie et d'épices de la passion.
Télérama
par Ophélie Wiel
Loin de la mise en scène tape-à-l'oeil à laquelle le genre nous a habitués, Ashutosh Gowariker filme le temps qui s'écoule, la beauté de chaque mouvement avec une fluidité et une tranquillité jamais ennuyeuses. Discret mais adroit, il prouve que le " cinéma masala ", souvent décrié pour son univers naïf, est aussi capable du meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
Délaissant kitsch et saris colorés, Gowariker se concentre sur l'intrigue et offre une vision bien plus proche de la réalité. Une fresque captivante malgré sa durée et son côté didactique.
MCinéma.com
par Camille Brun
Swades est juste une comédie romantique au scénario assez habile mais un bien gentillet discours social. (...) Et comme en plus, tourné presque entièrement en grand angle, avec un plan flou sur deux, le film ne vaut rien d'un point de vue technique, on a beaucoup de mal à se laisser charmer. On supporte les 3h30 pas franchement énervé mais gentiment ennuyé.
Première
par Gaël Golhen
Même en intégrant un peu de critique sociale et de réalisme, le film multiplie les embardées soap et se termine sur une haute leçon de vie. De quoi rallier les amateurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Benoît Deschodt
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Swades se regarde avec plaisir et c'est toute son ambiguïté. L'Inde est en pleine mutation et le discours d'Ashutosh Gowariker va aussi dans le sens de la politique nationale. Mais il lui aurait sans doute fallu plus de détermination (...), plus d'implication pour en faire un film militant. Il reste une fresque esthétique et tendre, un conte de fées auquel on ne croit pas une seconde.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Comment allier cinéma social et comédie musicale ? C'est ce que tente Ashutosh Gowariker (...) Infiniment louable, mais naïf.Le plus ridicule reste le héros, ingénieur américanisé, qui semble découvrir que l'Inde n'est pas le pays de cocagne. Mieux vaut en rire, à condition de tenir 3 h 30.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Il ne faudra pas moins de trois heures et demie au jeune homme pour retrouver la passion pour son peuple et sa terre et rentrer au pays. Pour un message aussi régressif, mis en scène de surcroît avec une apparente désinvolture, c'est un peu long.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Tentative peu convaincante de mêler spectacle bollywoodien et cinéma social, rendez-nous Mrinal Sen qui a traité ces thèmes avec une vraie acuité !
Score
par Iris Steensma
On aurait aimé que Gowariker n'ait pas la fesse droite posée sur la fresque sociologique lourde et la fesse gauche sur la légèreté intelligente.
La critique complète est disponible sur le site Score
Le Figaroscope
Cette radiographie du monde rural n'a pas le souffle épique de Lagaan, mais en a la force de la conviction. Gowariker aborde les problèmes les plus vitaux de son pays d'une manière simple, frontale et douce, sans cynisme, à l'indienne, avec une capacité permanente d'émerveillement et une émotion toujours à fleur d'image.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fantastikindia
Durant ce séjour prolongé, Mohan va se trouver confronté aux réalités socioculturelles de l'Inde rurale : l'immobilisme, la soumission au fatalisme, la ségrégation sociale des basses castes, entre autres.
Libération
(...) avec Swades, c'est comme si le néoréalisme s'invitait dans l'univers enchanté de Bollywood (...) Cette combinaison harmonieuse de divertissement et de message social est l'oeuvre d'un pur produit de Bollywood.
Ouest France
En musique et en grands sentiments, le cinéma indien dans toute sa richesse et sa singularité. Plein de spectacle et de sensations.
Positif
Un film généreux, jamais paternaliste, mais emporté par l'énergie du réalisateur que l'on connaît depuis Lagaan, dans un mouvement suffisamment fort pour que le film se suive sans relâche pendant 3h20.
Télé 7 Jours
(...) Trois heures et demie d'un réquisitoire contre le système des castes, le sexisme, l'analphabétisme et la misère : une entreprise idéaliste mais jubilatoire, d'autant que, fidèle à la tradition bollywoodienne, Gowariker émaille sa diatribe de ballets et de chants, de grains de fantaisie et d'épices de la passion.
Télérama
Loin de la mise en scène tape-à-l'oeil à laquelle le genre nous a habitués, Ashutosh Gowariker filme le temps qui s'écoule, la beauté de chaque mouvement avec une fluidité et une tranquillité jamais ennuyeuses. Discret mais adroit, il prouve que le " cinéma masala ", souvent décrié pour son univers naïf, est aussi capable du meilleur.
Zurban
Délaissant kitsch et saris colorés, Gowariker se concentre sur l'intrigue et offre une vision bien plus proche de la réalité. Une fresque captivante malgré sa durée et son côté didactique.
MCinéma.com
Swades est juste une comédie romantique au scénario assez habile mais un bien gentillet discours social. (...) Et comme en plus, tourné presque entièrement en grand angle, avec un plan flou sur deux, le film ne vaut rien d'un point de vue technique, on a beaucoup de mal à se laisser charmer. On supporte les 3h30 pas franchement énervé mais gentiment ennuyé.
Première
Même en intégrant un peu de critique sociale et de réalisme, le film multiplie les embardées soap et se termine sur une haute leçon de vie. De quoi rallier les amateurs.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Swades se regarde avec plaisir et c'est toute son ambiguïté. L'Inde est en pleine mutation et le discours d'Ashutosh Gowariker va aussi dans le sens de la politique nationale. Mais il lui aurait sans doute fallu plus de détermination (...), plus d'implication pour en faire un film militant. Il reste une fresque esthétique et tendre, un conte de fées auquel on ne croit pas une seconde.
L'Humanité
Comment allier cinéma social et comédie musicale ? C'est ce que tente Ashutosh Gowariker (...) Infiniment louable, mais naïf.Le plus ridicule reste le héros, ingénieur américanisé, qui semble découvrir que l'Inde n'est pas le pays de cocagne. Mieux vaut en rire, à condition de tenir 3 h 30.
Le Monde
Il ne faudra pas moins de trois heures et demie au jeune homme pour retrouver la passion pour son peuple et sa terre et rentrer au pays. Pour un message aussi régressif, mis en scène de surcroît avec une apparente désinvolture, c'est un peu long.
Les Inrockuptibles
Tentative peu convaincante de mêler spectacle bollywoodien et cinéma social, rendez-nous Mrinal Sen qui a traité ces thèmes avec une vraie acuité !
Score
On aurait aimé que Gowariker n'ait pas la fesse droite posée sur la fresque sociologique lourde et la fesse gauche sur la légèreté intelligente.