Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Brazil
par Caroline Vié
Une oeuvre forte qui ne connaît aucune baisse de rythme (...) Le charisme inoui de Kitano emporte le morceau. On reste scotché devant la puissance de sa performance, une incarnation sans concession (...) Depuis le légendaire Eric von Stronheim, on n'avait pas adoré hair quelqu'un à ce point-là!
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Où comment le génie d'un acteur arrive à transcender un film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Score
par Pete Wakefield
En été, difficile de trouver plus plombant que le soleil. Sur un rythme implacable, et en restant dans le décor d'un petit pâté de maison, Yoichi Sai est pourtant un astre cinématographique capable, avec sa force mélodramatique, d'accabler à l'égal.
La critique complète est disponible sur le site Score
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Ici, tout coup de boule ou de poing se donne en son direct, cascades live, baston vériste. La plus mémorable oppose Kim à son fils caché, au passé louche, revenu de son père pour lui soutirer de l'argent.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
La folie qui s'empare de Kim contamine la maison, la rue, le pays, le film, jusqu'à composer une sorte d'opéra malade, une danse brute et de brute.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Julie Deh
Long mais captivant. Dur mais franc. Blood and Bones a la puissance, le charisme, la violence de son personnage principal incarné par Takeshi Kitano.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Si la mise en place du récit est un peu laborieuse, on se trouve pris bientôt par la logique infernale d'un personnage dont la sauvagerie apparaît d'autant plus terrifiante qu'elle est pour partie raisonnée et n'est, en tout cas, jamais motivée ni justifiée par le film.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
Confit dans la méchanceté, le personnage introduit, grâce à son interprète principal, une dimension obscure, opaque, nihiliste, qui devient l'enjeu principal d'un récit qui contrarie, dès lors, la machine a priori bien huilée de la chronique historique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Azoury
C'est toutefois de cette folie que Kitano et son sbire tirent toute la force malade de l'entreprise : ne reposer que sur du cramé, de la terreur, des chairs putréfiées.
MCinéma.com
par Camille Brun
Comme le montre la mise en scène très (trop ?) classique mais qui a l'immense mérite de ne pas en rajouter par des effets visuels, la provocation et la volonté de choquer n'est pas l'unique ambition du réalisateur Yoichi Sai.
Paris Match
par Christine Haas
La mise en scène de cette amère réflexion sur la condition humaine est un peu académique. Mais l'interprétation de l'acteur-réalisateur Takeshi Kitano est d'une force émotionnelle stupéfiante.
Première
par Gérard Delorme
Kitano (...) livre ici sa performance la plus intense dans une carrière qui n'en manque pourtant pas.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Philippe Piazzo
Derrière le portrait brutal d'un homme sans états d'âme, réduit à l'état de bête, Yoichi Sai semble ainsi mettre à lindex toutes les formes de tyrannie, celles des sociétés générant parfois ses propres monstres.
Télérama
par Pierre Murat
L'astuce du réalisateur, c'est d'avoir précisément conçu sa fresque comme un feuilleton, une suite d'épisodes émouvants ou spectaculaires. L'imagerie l'emporte sur la marche du destin. Mais l'imagerie est superbe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Un film intense et audacieux.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
On a beau préférer les films de Kitano, mêlant la violence à une poésie quasi mallarméenne, le bougre se démène ici avec une conviction telle qu'il emporte le morceau.
Positif
par Pascal Sennequier
Il manque seulement la manière qui eût donné à l'ensemble un caractère manifeste.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Charlotte Lipinska
Kitano est d'une densité corporelle effrayante, quasi-animale. Mais son opacité psychologique dresse un mur infranchissable contre lequel bute (...) le spectateur.
Ouest France
par La rédaction
Difficile de se sentir touché ou concerné par un être monolithique, qui n'évolue pas et ne se montre jamais fragile ou vulnérable sous l'emprise du doute.
Brazil
Une oeuvre forte qui ne connaît aucune baisse de rythme (...) Le charisme inoui de Kitano emporte le morceau. On reste scotché devant la puissance de sa performance, une incarnation sans concession (...) Depuis le légendaire Eric von Stronheim, on n'avait pas adoré hair quelqu'un à ce point-là!
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Où comment le génie d'un acteur arrive à transcender un film.
Score
En été, difficile de trouver plus plombant que le soleil. Sur un rythme implacable, et en restant dans le décor d'un petit pâté de maison, Yoichi Sai est pourtant un astre cinématographique capable, avec sa force mélodramatique, d'accabler à l'égal.
Cahiers du Cinéma
Ici, tout coup de boule ou de poing se donne en son direct, cascades live, baston vériste. La plus mémorable oppose Kim à son fils caché, au passé louche, revenu de son père pour lui soutirer de l'argent.
Chronic'art.com
La folie qui s'empare de Kim contamine la maison, la rue, le pays, le film, jusqu'à composer une sorte d'opéra malade, une danse brute et de brute.
Fluctuat.net
Long mais captivant. Dur mais franc. Blood and Bones a la puissance, le charisme, la violence de son personnage principal incarné par Takeshi Kitano.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Si la mise en place du récit est un peu laborieuse, on se trouve pris bientôt par la logique infernale d'un personnage dont la sauvagerie apparaît d'autant plus terrifiante qu'elle est pour partie raisonnée et n'est, en tout cas, jamais motivée ni justifiée par le film.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Confit dans la méchanceté, le personnage introduit, grâce à son interprète principal, une dimension obscure, opaque, nihiliste, qui devient l'enjeu principal d'un récit qui contrarie, dès lors, la machine a priori bien huilée de la chronique historique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
C'est toutefois de cette folie que Kitano et son sbire tirent toute la force malade de l'entreprise : ne reposer que sur du cramé, de la terreur, des chairs putréfiées.
MCinéma.com
Comme le montre la mise en scène très (trop ?) classique mais qui a l'immense mérite de ne pas en rajouter par des effets visuels, la provocation et la volonté de choquer n'est pas l'unique ambition du réalisateur Yoichi Sai.
Paris Match
La mise en scène de cette amère réflexion sur la condition humaine est un peu académique. Mais l'interprétation de l'acteur-réalisateur Takeshi Kitano est d'une force émotionnelle stupéfiante.
Première
Kitano (...) livre ici sa performance la plus intense dans une carrière qui n'en manque pourtant pas.
TéléCinéObs
Derrière le portrait brutal d'un homme sans états d'âme, réduit à l'état de bête, Yoichi Sai semble ainsi mettre à lindex toutes les formes de tyrannie, celles des sociétés générant parfois ses propres monstres.
Télérama
L'astuce du réalisateur, c'est d'avoir précisément conçu sa fresque comme un feuilleton, une suite d'épisodes émouvants ou spectaculaires. L'imagerie l'emporte sur la marche du destin. Mais l'imagerie est superbe.
aVoir-aLire.com
Un film intense et audacieux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
On a beau préférer les films de Kitano, mêlant la violence à une poésie quasi mallarméenne, le bougre se démène ici avec une conviction telle qu'il emporte le morceau.
Positif
Il manque seulement la manière qui eût donné à l'ensemble un caractère manifeste.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Kitano est d'une densité corporelle effrayante, quasi-animale. Mais son opacité psychologique dresse un mur infranchissable contre lequel bute (...) le spectateur.
Ouest France
Difficile de se sentir touché ou concerné par un être monolithique, qui n'évolue pas et ne se montre jamais fragile ou vulnérable sous l'emprise du doute.