Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Julie Deh
Alex de la Iglesia revient avec une petite perle d'humour noir bien frappée, d'une irrésistible subversion... Enlevé, corrosif, délicieusement cynique, sans longueurs, Le crime farpait est un bijou de comédie noire. Tout passe ici sans effort, un tour de maître si l'on considère les énormités qui jalonnent un scénario reposant sur l'excès. (...) le fantastique se mâtine de loufoque. Rafraîchissant, drôle de bout en bout, radicalement libre (...).
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Mad Movies
par Arnaud Bordas
Le Crime farpait est un exemple de comédie rythmée et déjantée, mais c'est surtout un pivot essentiel dans la carrière du plus chtarbé de tous les Ibères. (...) le dernier opus du cinéaste, en plus d'être une comédie hilarante, réglée comme une horloge et brillamment exécutée, s'avère être sa pièce la plus désespérément noire.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Paris Match
par Alain Spira
Voici le plus poilant des polars. (...) cette comédie provoque l'hilarité (...) le cinéaste espagnol Alex de la Iglesia signe ici un peit chef-d'oeuvre d'un humour qui va du noir aux teintes les plus vives. Vous avez envie de rire ? Alors, entrez dans son grand magasin. Chacun est sûr d'y trouver sa taille.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
Alex De La Iglesia partage avec Hitchcock le goût de la comédie noire et le sens de la transgression. Ici, il a simplement poussé la formule en y ajoutant des effets gore, du mauvais goût et des saillies fantastiques avec un plaisir non limitatif. Clairement, il vient de réussir son meilleur film depuis le premetteur Jour de la bête (95).
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Marco Ramius
Personne ne sort indemne du cinéma d'Alex de la Iglesia ; tous les protagonistes sont méprisables, et pourtant, il est impossible de les détester. Là réside le tour de force du réalisateur : tirer à boulets rouges sur une société avide de bien paraître sans pour autant la dénigrer puisque finalement nous en faisons tous partie. Réjouissant !
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
La première partie est un régal où se déploient burlesque échevelé et gags crépitants (...). Le souffle de la mise en scène baroque et veloutée du cinéaste, dans ce petit jeu virtuose, n'a pas d'égal. Puis vient la seconde partie (...) pastiche hitchcockien, entre thriller et comédie sexuelle Sans faiblir, le rythme du film gonfle à nouveau (...).Tout irait pour le mieux si la troisième partie ne venait à nouveau contrarier le projet. (...) Le Crime farpait s'impose malgré tout comme le chef-d'oeuvre du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
A ce jour le meilleur film d'Alex de la Iglesia, qui, malgré ses gros sabots habituels, fait preuve d'une sophistication inédite. On n'est jamais très loin de la comédie musicale dans cette oeuvre féroce, réflexion cocasse sur les paradoxes de la laideur et de la beauté. Une touche almodovarienne un peu sixties agrémente ce film, qui laisse espérer que le style du cinéaste va continuer à s'affiner.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
Bien calé sur son sujet, de la Iglesia signe une comédie macabre outrancière et, sous couvert de guignolade, propose une satire alerte dans laquelle la société de consommation comme les vilains machos qui la peuplent en prennent pour leur grade.
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Bien qu'il penche nettement plus du côté de l'humour (très) noir que du cinéma policier, "le Crime farpait" n'en a pas moins remporté le grand prix du Festival de Cognac, façon de saluer l'énergie nucéalire, le suspense ironique et l'insolence sociale qui l'irriguent de bout en bout. (...) Un peu répétitif sur la longueur, mais méchamment divertissant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) comédie gaguesque et macabre qui s'impose mine de rien comme un summum dans sa filmographie. (...) cette comédie noire fait rire jaune. (...) On dissimule mal son plaisir, on rit bruyamment et fréquemment. Malgré quelques baisses de régime et une exploitation un rien pesante de Don Antonio en conscience hachée, Le crime farpait s'impose (...) comme un délire tellement irresponsable qu'il en devient hautement recommandable.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Proche de la ferpection, l'ouverture du dernier film d'Alex de la Iglesia (...) Plutôt que de ralentir son débit jusqu'à quasi-extinction des feux, Le Crime farpait ne cesse de gagner en intensité, de multiplier vitesses et régimes (...) La suite ne manque pas d'éclat, mais la machine y demeure enrayée, dévoilant la grande limite du cinéma d'Alex de la Iglesia : problème de respiration, impossible alliance entre défilé brut des visions - et ligne claire des récits.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Alex de la Iglesia nous invite à le suivre dans le dédale d'un polar baroque et plein de rebondissements. Derrière la farce et ses personnages excessifs, il peint un monde fou, déjanté, à l'image de ses angoisses. N'ayant jamais peur du grotesque, il force le trait et s'en tire toujours avec une pirouette. Le tout est de rentrer dans son jeu. Amusant. A prendre ou à laisser.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par La rédaction
Son dernier long métrage n'échappe pas, en effet, à ce qui a fait sa renommée : personnages décalés et série B mal taillée. Dans LE CRIME FARPAIT, la première demi-heure relève de la pure jouissance. (...) Un régal ! C'est seulement après que le bât blesse. Une drôle de psychopathe obsessionnelle pousse sa proie à se retourner contre elle. Du déjà vu ! Le film tourne à vide, les personnages s'effacent et au final, Alex de la Iglesia perd pied.
Ouest France
par La rédaction
Les sourires qu'il provoque restent souvent coincés dans la lourdeur et la longueur des effets qu'ils sollicitent. Pour ne pas parler de leur bêtise. Avec indulgence, on pourra lui trouver de l'ambition, au second degré, dans une réflexion sur la relativité du beau et du laid. (...) Ici, Monica Cervera assume avec punch et jovialité son physique ingrat pour s'affirmer face à Guillermo Toledo, son bellâtre de partenaire.
Positif
par Eithne O'Neill
Comédie noire et pot-pourri mélangeant satire de moeurs et parodie du gore .[...] Or, si le châtiment et ses suites, que subit le héros-victime, introduisent une sauvagerie de la composition, du détail, c'est sans soutenir le rythme qu'il faut. En dépit de la prestation énergétique de Guillermo Toledo (...), malgré le soin accordé aux décors, les clins d'oeil cinématographiques sont gros, et les personnages sont esquissés trop superficiellement pour qu'on s'identifie à leur sort.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Frédéric Strauss
On goûte le titre, et l'intrigue a une certaine saveur aussi. (...) Inutile de dire qu'Alex de la Iglesia n'aime rien tant qu'en rajouter dans le mauvais goût et la monstruosité. Il mène avec un plaisir souvent communicatif sa comédie noire tournée avec des moyens spectaculaires. Mais la férocité s'émousse et, sur la longueur, le film finit paradoxalement par manquer de mordant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Toujours aussi corrosif, le cinéaste réussit une première partie savamment rythmée (...). Mais la baisse de régime débarque avec le basculement de l'intrigue et un enchaînement mollasson des scènes de purgatoire, malgré l'épatante Monica Cervera. Le film traîne dès lors la patte et donne au final une comédie noire et rouge bien vue, mais moins savoureuse que le must d'Iglesia, Mes chers voisins.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Isabelle Regnier
Lorsque le dragueur de supermarché assassine son rival professionnel sous les yeux de la seule vendeuse laide, la trame du récit prend un tour nauséabond. (...) S'il hésitait encore, le spectateur est contraint de se ranger du côté de l'assassin macho, artificiellement reconverti en victime. Car c'est le côté de la beauté. Envisagée comme le repoussoir absolu, la laideur physique est ici le creuset où fermentent la mesquinerie, la méchanceté, l'hystérie et la bêtise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Ecran Fantastique
Alex de la Iglesia revient avec une petite perle d'humour noir bien frappée, d'une irrésistible subversion... Enlevé, corrosif, délicieusement cynique, sans longueurs, Le crime farpait est un bijou de comédie noire. Tout passe ici sans effort, un tour de maître si l'on considère les énormités qui jalonnent un scénario reposant sur l'excès. (...) le fantastique se mâtine de loufoque. Rafraîchissant, drôle de bout en bout, radicalement libre (...).
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Mad Movies
Le Crime farpait est un exemple de comédie rythmée et déjantée, mais c'est surtout un pivot essentiel dans la carrière du plus chtarbé de tous les Ibères. (...) le dernier opus du cinéaste, en plus d'être une comédie hilarante, réglée comme une horloge et brillamment exécutée, s'avère être sa pièce la plus désespérément noire.
Paris Match
Voici le plus poilant des polars. (...) cette comédie provoque l'hilarité (...) le cinéaste espagnol Alex de la Iglesia signe ici un peit chef-d'oeuvre d'un humour qui va du noir aux teintes les plus vives. Vous avez envie de rire ? Alors, entrez dans son grand magasin. Chacun est sûr d'y trouver sa taille.
Première
Alex De La Iglesia partage avec Hitchcock le goût de la comédie noire et le sens de la transgression. Ici, il a simplement poussé la formule en y ajoutant des effets gore, du mauvais goût et des saillies fantastiques avec un plaisir non limitatif. Clairement, il vient de réussir son meilleur film depuis le premetteur Jour de la bête (95).
Score
Personne ne sort indemne du cinéma d'Alex de la Iglesia ; tous les protagonistes sont méprisables, et pourtant, il est impossible de les détester. Là réside le tour de force du réalisateur : tirer à boulets rouges sur une société avide de bien paraître sans pour autant la dénigrer puisque finalement nous en faisons tous partie. Réjouissant !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
La première partie est un régal où se déploient burlesque échevelé et gags crépitants (...). Le souffle de la mise en scène baroque et veloutée du cinéaste, dans ce petit jeu virtuose, n'a pas d'égal. Puis vient la seconde partie (...) pastiche hitchcockien, entre thriller et comédie sexuelle Sans faiblir, le rythme du film gonfle à nouveau (...).Tout irait pour le mieux si la troisième partie ne venait à nouveau contrarier le projet. (...) Le Crime farpait s'impose malgré tout comme le chef-d'oeuvre du cinéaste.
Les Inrockuptibles
A ce jour le meilleur film d'Alex de la Iglesia, qui, malgré ses gros sabots habituels, fait preuve d'une sophistication inédite. On n'est jamais très loin de la comédie musicale dans cette oeuvre féroce, réflexion cocasse sur les paradoxes de la laideur et de la beauté. Une touche almodovarienne un peu sixties agrémente ce film, qui laisse espérer que le style du cinéaste va continuer à s'affiner.
Libération
Bien calé sur son sujet, de la Iglesia signe une comédie macabre outrancière et, sous couvert de guignolade, propose une satire alerte dans laquelle la société de consommation comme les vilains machos qui la peuplent en prennent pour leur grade.
TéléCinéObs
Bien qu'il penche nettement plus du côté de l'humour (très) noir que du cinéma policier, "le Crime farpait" n'en a pas moins remporté le grand prix du Festival de Cognac, façon de saluer l'énergie nucéalire, le suspense ironique et l'insolence sociale qui l'irriguent de bout en bout. (...) Un peu répétitif sur la longueur, mais méchamment divertissant.
aVoir-aLire.com
(...) comédie gaguesque et macabre qui s'impose mine de rien comme un summum dans sa filmographie. (...) cette comédie noire fait rire jaune. (...) On dissimule mal son plaisir, on rit bruyamment et fréquemment. Malgré quelques baisses de régime et une exploitation un rien pesante de Don Antonio en conscience hachée, Le crime farpait s'impose (...) comme un délire tellement irresponsable qu'il en devient hautement recommandable.
Cahiers du Cinéma
Proche de la ferpection, l'ouverture du dernier film d'Alex de la Iglesia (...) Plutôt que de ralentir son débit jusqu'à quasi-extinction des feux, Le Crime farpait ne cesse de gagner en intensité, de multiplier vitesses et régimes (...) La suite ne manque pas d'éclat, mais la machine y demeure enrayée, dévoilant la grande limite du cinéma d'Alex de la Iglesia : problème de respiration, impossible alliance entre défilé brut des visions - et ligne claire des récits.
Le Figaroscope
Alex de la Iglesia nous invite à le suivre dans le dédale d'un polar baroque et plein de rebondissements. Derrière la farce et ses personnages excessifs, il peint un monde fou, déjanté, à l'image de ses angoisses. N'ayant jamais peur du grotesque, il force le trait et s'en tire toujours avec une pirouette. Le tout est de rentrer dans son jeu. Amusant. A prendre ou à laisser.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Son dernier long métrage n'échappe pas, en effet, à ce qui a fait sa renommée : personnages décalés et série B mal taillée. Dans LE CRIME FARPAIT, la première demi-heure relève de la pure jouissance. (...) Un régal ! C'est seulement après que le bât blesse. Une drôle de psychopathe obsessionnelle pousse sa proie à se retourner contre elle. Du déjà vu ! Le film tourne à vide, les personnages s'effacent et au final, Alex de la Iglesia perd pied.
Ouest France
Les sourires qu'il provoque restent souvent coincés dans la lourdeur et la longueur des effets qu'ils sollicitent. Pour ne pas parler de leur bêtise. Avec indulgence, on pourra lui trouver de l'ambition, au second degré, dans une réflexion sur la relativité du beau et du laid. (...) Ici, Monica Cervera assume avec punch et jovialité son physique ingrat pour s'affirmer face à Guillermo Toledo, son bellâtre de partenaire.
Positif
Comédie noire et pot-pourri mélangeant satire de moeurs et parodie du gore .[...] Or, si le châtiment et ses suites, que subit le héros-victime, introduisent une sauvagerie de la composition, du détail, c'est sans soutenir le rythme qu'il faut. En dépit de la prestation énergétique de Guillermo Toledo (...), malgré le soin accordé aux décors, les clins d'oeil cinématographiques sont gros, et les personnages sont esquissés trop superficiellement pour qu'on s'identifie à leur sort.
Télérama
On goûte le titre, et l'intrigue a une certaine saveur aussi. (...) Inutile de dire qu'Alex de la Iglesia n'aime rien tant qu'en rajouter dans le mauvais goût et la monstruosité. Il mène avec un plaisir souvent communicatif sa comédie noire tournée avec des moyens spectaculaires. Mais la férocité s'émousse et, sur la longueur, le film finit paradoxalement par manquer de mordant.
Zurban
Toujours aussi corrosif, le cinéaste réussit une première partie savamment rythmée (...). Mais la baisse de régime débarque avec le basculement de l'intrigue et un enchaînement mollasson des scènes de purgatoire, malgré l'épatante Monica Cervera. Le film traîne dès lors la patte et donne au final une comédie noire et rouge bien vue, mais moins savoureuse que le must d'Iglesia, Mes chers voisins.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Lorsque le dragueur de supermarché assassine son rival professionnel sous les yeux de la seule vendeuse laide, la trame du récit prend un tour nauséabond. (...) S'il hésitait encore, le spectateur est contraint de se ranger du côté de l'assassin macho, artificiellement reconverti en victime. Car c'est le côté de la beauté. Envisagée comme le repoussoir absolu, la laideur physique est ici le creuset où fermentent la mesquinerie, la méchanceté, l'hystérie et la bêtise.