Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Très fort d'arriver à fabriquer des personnages aussi contraints sans les priver de liberté, et donc de responabilité morale. Très fort que tout puisse advenir dans l'étroit sillon formel à quoi on les rive. C'est le miracle de cette oeuvre, dont pour cette raison on peut admettre qu'elle soit si vite agencée en oeuvre. Un miracle d'ici-bas.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(critique cannoise) (...) l'Enfant réussit brillamment ce que Ken Loach ne parvient plus à toucher depuis dix ans. Moins manichéen que La Promesse, plus dense et rythmé que Rosetta, plus souple que Le Fils, L'Enfant est autant un saut qualitatif dans la carrière des Dardenne qu'une hallucinante bouffée d'oxygène pour le cinéma social.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Dominique Widemann
Jean-Pierre et Luc Dardenne, après Rosetta et le Fils, claquent une fois encore les portes de la prédestination, ouvrant au contraire à leurs personnages autant de possibles qu'ils en possèdent.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
L'Enfant naît de la rencontre du cinéma le plus pur, parce que le plus exigeant avec lui-même et de la brutalité d'un monde dont il recrée à chaque instant l'humanité terrible et bouleversante.
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
L'Enfant, c'est un récit dense et déchirant, filmé dans le style documentaire avec une écriture sèche (...) Une oeuvre magistrale interprétée avec grâce par Jérémy Renier et Deborah François.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les cinéastes élargissent leur palette de plans, de mouvements et donnent un film fluide, tumultueux jusqu'à sa conclusion apaisée, hommage explicite au Pickpocket de Robert Bresson.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gérard Lefort
(critique cannoise) (...) les frères sont des cinéastes vrais de vrais, puisque, une fois de plus, ils contrarient leur savoir-faire quand il menace de dégénérer en un académisme maison, et surtout inquiètent leur propre morale.
Ouest France
par La rédaction
Le réalisme auquel [Les Dardenne] restent attachés, proche du sordide et de la désolation, se suffit à lui-même.
Positif
par Vincent Thabourey
Nul besoin de références cinéphiliques (...) pour apprécier la grandeur et la beauté de "L'enfant" (...) car "L'enfant" se voit nu, dans sa rage et sa colère.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
L'Enfant n'a pas volé sa Palme d'or à Cannes (...) mais sa puissance morale et émotionnelle secoue bien au-delà des zones cinéphiliques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Yara De Lima
Les frères Dardenne renouvellent une fois de plus leur allégance au cinéma social et confirment aisni leur affection pour genre docu-fiction.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Plus puissant, plus lumineux, encore, que "Rosetta", un grand film humain plutôt qu'humaniste, fondamentalement politique. Un morceau de cinéma brut.
Télérama
par Marine Landrot
Comme dans tous leurs films, les frères Dardenne osent prôner le pardon, sans jamais tomber dans l'angélisme bien-pensant de la leçon de catéchisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Scott Foundas
(critique cannoise) Maîtres du réalisme minimaliste, les frères Dardenne signent de nouveau un conte remarquablement interprété et d'une grande finesse d'observation.
Zurban
par N.T Binh
Le pari des Dardenne est de nous attacher au protagoniste (...) Un quart des spectateurs ne leur pardonnera pas, sans doute. Le reste aura droit à une époustouflante leçon de cinéma.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Florence Ben Sadoun
(...) dérangeant et chavirant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(critique cannoise) Il y a un style Dardenne, vif, rapide, effréné, qui érige le refus du temps mort en principe, en osmose avec le propos. C'est un cinéma voué à l'urgence et à l'authentique, qui cible des parcours pathétiques en refusant fermement le pathos, la psychologie, le compassionnel édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Le cinéma des frères Dardenne est physique, on s'y accroche, on s'y cogne. (...) ce film révèle (...) une comédienne lumineuse, au jeu à la fois rude et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par La rédaction
C'est un tour de force. Leur cinéma met en branle des fictions qui doivent très peu à l'imagination. Leurs films assistent à une terreur muette, à une dégradation de l'humain, dont ils appellent le réveil.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Christine Haas
Lucides, mais rédempteurs aussi, les frères Dardenne commettent une oeuvre morale d'une grande humanité, où l'amour retrouvé offre la plus belle des consolations
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Pas de place au pathos dans ce cinéma exigeant mais accessible. Admirable d'authenticité, de fragilité brute, Jérémie Regnier porte cet "Enfant" sur ses épaules.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Pierre Murat
(critique cannoise) Le corps du film – ou plutôt son coeur -, ce sont les longues scènes où Bruno (...) abandonne son fils dans l'appartement d'un immeuble. Puis celles où, devant le désespoir de Sonia, il le recupère auprès de malfrats (...) On retrouve, alors, les mises en scènes frémissantes des précédents films des Dardenne.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) la maîtrise et la robustesse de l'intrigue impressionnent. (...) les frères édifient un authentique suspense social avec une vraie tension dramatique. Les grands moments de cinéma ne manquent pas..
L'Humanité
par Dominique Widemann
(critique cannoise) Exploit renouvelé des deux réalisateurs, la curiosité pour le destin de leurs personnages l'emporte une fois de plus sur les agacements qu'ils produisent tant les plans serrés, mobiles, racontent sans fioritures leur modeste humanité (...) Pour autant, cette fois, quelle est vraiment la question ?
MCinéma.com
par Philippe Descottes
(critique cannoise) Ce qui distingue un film des deux frères, c'est (...) une façon de réaliser singulière et rigoureuse. L'Enfant n'échappe pas à la règle. D'où une déception relative à la fin de la projection et cette impression de déjà vu qui s'en dégage.
Brazil
par Caroline Vié
On est pris aux tripes, touché au coeur par ce portrait d'enfants du siècle, brossé par petites touches pudiques.
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
Tout semble convenu, attendu. Cette part d'incertitude et d'opacité qui faisait le prix de leurs précédents films a ici totalement disparu.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
The Hollywood Reporter
par Ray Bennett
(critique cannoise) Pas ou peu de tension dans ces scènes, qui nous montrent la plupart du temps le jeune homme désoeuvré en train de réfléchir à ce qui lui arrive. Le film développe à l'évidence l'idée que ce père et cette mère sont eux-même des enfants, mais le spectateur n'a qu'une envie, leur donner une bonne gifle.
Cahiers du Cinéma
Très fort d'arriver à fabriquer des personnages aussi contraints sans les priver de liberté, et donc de responabilité morale. Très fort que tout puisse advenir dans l'étroit sillon formel à quoi on les rive. C'est le miracle de cette oeuvre, dont pour cette raison on peut admettre qu'elle soit si vite agencée en oeuvre. Un miracle d'ici-bas.
Chronic'art.com
(critique cannoise) (...) l'Enfant réussit brillamment ce que Ken Loach ne parvient plus à toucher depuis dix ans. Moins manichéen que La Promesse, plus dense et rythmé que Rosetta, plus souple que Le Fils, L'Enfant est autant un saut qualitatif dans la carrière des Dardenne qu'une hallucinante bouffée d'oxygène pour le cinéma social.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Jean-Pierre et Luc Dardenne, après Rosetta et le Fils, claquent une fois encore les portes de la prédestination, ouvrant au contraire à leurs personnages autant de possibles qu'ils en possèdent.
L'Obs
L'Enfant naît de la rencontre du cinéma le plus pur, parce que le plus exigeant avec lui-même et de la brutalité d'un monde dont il recrée à chaque instant l'humanité terrible et bouleversante.
Le Figaroscope
L'Enfant, c'est un récit dense et déchirant, filmé dans le style documentaire avec une écriture sèche (...) Une oeuvre magistrale interprétée avec grâce par Jérémy Renier et Deborah François.
Le Monde
Les cinéastes élargissent leur palette de plans, de mouvements et donnent un film fluide, tumultueux jusqu'à sa conclusion apaisée, hommage explicite au Pickpocket de Robert Bresson.
Libération
(critique cannoise) (...) les frères sont des cinéastes vrais de vrais, puisque, une fois de plus, ils contrarient leur savoir-faire quand il menace de dégénérer en un académisme maison, et surtout inquiètent leur propre morale.
Ouest France
Le réalisme auquel [Les Dardenne] restent attachés, proche du sordide et de la désolation, se suffit à lui-même.
Positif
Nul besoin de références cinéphiliques (...) pour apprécier la grandeur et la beauté de "L'enfant" (...) car "L'enfant" se voit nu, dans sa rage et sa colère.
Première
L'Enfant n'a pas volé sa Palme d'or à Cannes (...) mais sa puissance morale et émotionnelle secoue bien au-delà des zones cinéphiliques.
Score
Les frères Dardenne renouvellent une fois de plus leur allégance au cinéma social et confirment aisni leur affection pour genre docu-fiction.
TéléCinéObs
Plus puissant, plus lumineux, encore, que "Rosetta", un grand film humain plutôt qu'humaniste, fondamentalement politique. Un morceau de cinéma brut.
Télérama
Comme dans tous leurs films, les frères Dardenne osent prôner le pardon, sans jamais tomber dans l'angélisme bien-pensant de la leçon de catéchisme.
Variety
(critique cannoise) Maîtres du réalisme minimaliste, les frères Dardenne signent de nouveau un conte remarquablement interprété et d'une grande finesse d'observation.
Zurban
Le pari des Dardenne est de nous attacher au protagoniste (...) Un quart des spectateurs ne leur pardonnera pas, sans doute. Le reste aura droit à une époustouflante leçon de cinéma.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
(...) dérangeant et chavirant.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(critique cannoise) Il y a un style Dardenne, vif, rapide, effréné, qui érige le refus du temps mort en principe, en osmose avec le propos. C'est un cinéma voué à l'urgence et à l'authentique, qui cible des parcours pathétiques en refusant fermement le pathos, la psychologie, le compassionnel édifiant.
Le Parisien
Le cinéma des frères Dardenne est physique, on s'y accroche, on s'y cogne. (...) ce film révèle (...) une comédienne lumineuse, au jeu à la fois rude et sensible.
Libération
C'est un tour de force. Leur cinéma met en branle des fictions qui doivent très peu à l'imagination. Leurs films assistent à une terreur muette, à une dégradation de l'humain, dont ils appellent le réveil.
Paris Match
Lucides, mais rédempteurs aussi, les frères Dardenne commettent une oeuvre morale d'une grande humanité, où l'amour retrouvé offre la plus belle des consolations
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Pas de place au pathos dans ce cinéma exigeant mais accessible. Admirable d'authenticité, de fragilité brute, Jérémie Regnier porte cet "Enfant" sur ses épaules.
Télérama
(critique cannoise) Le corps du film – ou plutôt son coeur -, ce sont les longues scènes où Bruno (...) abandonne son fils dans l'appartement d'un immeuble. Puis celles où, devant le désespoir de Sonia, il le recupère auprès de malfrats (...) On retrouve, alors, les mises en scènes frémissantes des précédents films des Dardenne.
aVoir-aLire.com
(...) la maîtrise et la robustesse de l'intrigue impressionnent. (...) les frères édifient un authentique suspense social avec une vraie tension dramatique. Les grands moments de cinéma ne manquent pas..
L'Humanité
(critique cannoise) Exploit renouvelé des deux réalisateurs, la curiosité pour le destin de leurs personnages l'emporte une fois de plus sur les agacements qu'ils produisent tant les plans serrés, mobiles, racontent sans fioritures leur modeste humanité (...) Pour autant, cette fois, quelle est vraiment la question ?
MCinéma.com
(critique cannoise) Ce qui distingue un film des deux frères, c'est (...) une façon de réaliser singulière et rigoureuse. L'Enfant n'échappe pas à la règle. D'où une déception relative à la fin de la projection et cette impression de déjà vu qui s'en dégage.
Brazil
On est pris aux tripes, touché au coeur par ce portrait d'enfants du siècle, brossé par petites touches pudiques.
Fluctuat.net
Tout semble convenu, attendu. Cette part d'incertitude et d'opacité qui faisait le prix de leurs précédents films a ici totalement disparu.
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) Pas ou peu de tension dans ces scènes, qui nous montrent la plupart du temps le jeune homme désoeuvré en train de réfléchir à ce qui lui arrive. Le film développe à l'évidence l'idée que ce père et cette mère sont eux-même des enfants, mais le spectateur n'a qu'une envie, leur donner une bonne gifle.