Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Que Carré soit parfaite, c'est devenu une habitude. Que Poelvoorde soit bouleversant, c'est une donnée avec laquelle il va dorénavant falloir vivre.
Télé 7 Jours
par Laurence Tournier
Il y a du Hitchcock chez Anne Fontaine qui, sous couvert d'un thriller, dissèque les mouvements de l'âme avec une sensibilité aiguisée (...) dont Isabelle Carré et Benoît Poelvoorde (...) sont les interprètes éblouissants.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Dominique Widemann
Anne Fontaine fait l'économie des explications psychologiques. C'est par la direction d'acteurs en pleine force, l'assurance tranquille de la caméra à balayer le quelconque, à filmer le creux d'où la violence sourd qu'elle emporte la conviction et réussit l'envoûtement.
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Un jeu de chat et de la souris entre deux personnages forts, émouvants, sur le fil du rasoir.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Le film table sur la confrontation des deux comédiens, Isabelle Carré, délicieusement opaque, et Benoît Poelvoorde, étonnant à contre-emploi. Entre ses mains suggère, avec une sagesse peut-être un rien excessive, le potentiel dérangeant d'une cinéaste dont on perçoit de plus en plus les fièvres anticonformistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
(...) Entre ses mains tient de l'exercice de style ultra-maîtrisé (...) Anne Fontaine enrichit le genre grâce à l'attention qu'elle porte aux personnages et à leurs sentiments. Si éclatante, cette tendresse ferait presque oublier qu'il s'agit d'une histoire effroyable. C'est là toute la réussite de l'entreprise.
Positif
par Olivier de Bruyn
L'intensité d'Entre ses mains repose pour l'essentiel sur la sobriété de la mise en scène, qui excelle à capter les regards, les silences, et les temps morts témoignant des failles existentielles des protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Sophie Grassin
Entre ses mains est le tango de la frayeur et de l'impuissance, un impossible pas de deux régi par le danger.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
(...) le précédent film d'Anne Fontaine intérrogeait la nature du désir, ses flux et reflux. Porté par une mise en scène dénuée d'effets et par des comédiens au service du récit (...) "Entre ses mains" pose la même question mais de façon nettement plus dérangeante. Jusqu'à un dénouement vraiment troublant.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
La relation qui s'installe entre Fabrice et Claire, malgré la mécanique assez lourde de la mise en scène de Fontaine, passe plutôt bien, en grande partie grâce à la fraîcheur de ses interprètes (...) Dommage alors que Fontaine ne puisse s'empêcher de sombrer, au moment où tout semble bien installé, dans les abîmes du faux thriller en carton (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Libération
par Isabelle Potel
Entre ses mains trouve en revanche son point d'accomplissement optimal grâce à son casting et à la conviction d'une cinéaste qui ne renonce pas à sa vision, aussi casse-gueule soit-elle.
Ouest France
par La rédaction
Elle [Anne Fontaine] reste sur un schéma très prévisible, déjà souvent servi par ce genre de scénario, qui fait souffler par alternance le chaud qui rassure et le froid qui dérange.
Paris Match
par Alain Spira
Maîtrisé, ce film noir luisant installe le spectateur dans un quotidien qui, peu à peu dérape comme une lame sur une pente d'acier.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Score
par Emmanuelle Spadacenta
(...) il [Benoît Poelvoorde] est dans son premier rôle purement dramatique, vraiment pas drôle, simplement parfait. (...) Entre ses mains vaut donc qu'on s'ennuie un peu, rien que pour voir les débuts d'un excellent acteur.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Jacques Morice
Et puis la mise en scène d'Anne Fontaine est bien trop sage pour un sujet aussi tordu. A part dans une scène de meurtre, dont la brutalité saisit, la réalisatrice ne donne jamais l'impression d'empoigner son sujet, de faire corps avec son romantisme dérangeant. C'est plutôt " du bout des doigts " qu'" entre ses mains ".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Un thriller sombre où les sentiments étouffent, sans l'éclat stylistique d'un Jacques Audiard, mais avec élégance.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Le manque de surprise, accentué par des fausses pistes un peu convenues dans la seconde partie, ne remet que partiellement en cause la bonne tenue de l'ensemble.
Brazil
par Alex Masson
Dommage qu'Entre ses mains se contente de faire son "Stéphane Bourgoin pour les Nuls", en alignant scolairement les éléments d'une fiche psychologique type d'un sérial killer.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
(...) un film où les personnes sont des fonctions coincées dans un rêve en chiasme
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Julien Gester
Un psychologisme pesant noie ses personnages et, de fait, l'unique événement du film - si minime soit-il - est la prestation de Benoît Poelvoorde pour la première fois dans un rôle dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Rolling Stone
Que Carré soit parfaite, c'est devenu une habitude. Que Poelvoorde soit bouleversant, c'est une donnée avec laquelle il va dorénavant falloir vivre.
Télé 7 Jours
Il y a du Hitchcock chez Anne Fontaine qui, sous couvert d'un thriller, dissèque les mouvements de l'âme avec une sensibilité aiguisée (...) dont Isabelle Carré et Benoît Poelvoorde (...) sont les interprètes éblouissants.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Anne Fontaine fait l'économie des explications psychologiques. C'est par la direction d'acteurs en pleine force, l'assurance tranquille de la caméra à balayer le quelconque, à filmer le creux d'où la violence sourd qu'elle emporte la conviction et réussit l'envoûtement.
Le Figaroscope
Un jeu de chat et de la souris entre deux personnages forts, émouvants, sur le fil du rasoir.
Le Monde
Le film table sur la confrontation des deux comédiens, Isabelle Carré, délicieusement opaque, et Benoît Poelvoorde, étonnant à contre-emploi. Entre ses mains suggère, avec une sagesse peut-être un rien excessive, le potentiel dérangeant d'une cinéaste dont on perçoit de plus en plus les fièvres anticonformistes.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
(...) Entre ses mains tient de l'exercice de style ultra-maîtrisé (...) Anne Fontaine enrichit le genre grâce à l'attention qu'elle porte aux personnages et à leurs sentiments. Si éclatante, cette tendresse ferait presque oublier qu'il s'agit d'une histoire effroyable. C'est là toute la réussite de l'entreprise.
Positif
L'intensité d'Entre ses mains repose pour l'essentiel sur la sobriété de la mise en scène, qui excelle à capter les regards, les silences, et les temps morts témoignant des failles existentielles des protagonistes.
Première
Entre ses mains est le tango de la frayeur et de l'impuissance, un impossible pas de deux régi par le danger.
TéléCinéObs
(...) le précédent film d'Anne Fontaine intérrogeait la nature du désir, ses flux et reflux. Porté par une mise en scène dénuée d'effets et par des comédiens au service du récit (...) "Entre ses mains" pose la même question mais de façon nettement plus dérangeante. Jusqu'à un dénouement vraiment troublant.
Chronic'art.com
La relation qui s'installe entre Fabrice et Claire, malgré la mécanique assez lourde de la mise en scène de Fontaine, passe plutôt bien, en grande partie grâce à la fraîcheur de ses interprètes (...) Dommage alors que Fontaine ne puisse s'empêcher de sombrer, au moment où tout semble bien installé, dans les abîmes du faux thriller en carton (...)
Libération
Entre ses mains trouve en revanche son point d'accomplissement optimal grâce à son casting et à la conviction d'une cinéaste qui ne renonce pas à sa vision, aussi casse-gueule soit-elle.
Ouest France
Elle [Anne Fontaine] reste sur un schéma très prévisible, déjà souvent servi par ce genre de scénario, qui fait souffler par alternance le chaud qui rassure et le froid qui dérange.
Paris Match
Maîtrisé, ce film noir luisant installe le spectateur dans un quotidien qui, peu à peu dérape comme une lame sur une pente d'acier.
Score
(...) il [Benoît Poelvoorde] est dans son premier rôle purement dramatique, vraiment pas drôle, simplement parfait. (...) Entre ses mains vaut donc qu'on s'ennuie un peu, rien que pour voir les débuts d'un excellent acteur.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Et puis la mise en scène d'Anne Fontaine est bien trop sage pour un sujet aussi tordu. A part dans une scène de meurtre, dont la brutalité saisit, la réalisatrice ne donne jamais l'impression d'empoigner son sujet, de faire corps avec son romantisme dérangeant. C'est plutôt " du bout des doigts " qu'" entre ses mains ".
Zurban
Un thriller sombre où les sentiments étouffent, sans l'éclat stylistique d'un Jacques Audiard, mais avec élégance.
aVoir-aLire.com
Le manque de surprise, accentué par des fausses pistes un peu convenues dans la seconde partie, ne remet que partiellement en cause la bonne tenue de l'ensemble.
Brazil
Dommage qu'Entre ses mains se contente de faire son "Stéphane Bourgoin pour les Nuls", en alignant scolairement les éléments d'une fiche psychologique type d'un sérial killer.
Cahiers du Cinéma
(...) un film où les personnes sont des fonctions coincées dans un rêve en chiasme
Les Inrockuptibles
Un psychologisme pesant noie ses personnages et, de fait, l'unique événement du film - si minime soit-il - est la prestation de Benoît Poelvoorde pour la première fois dans un rôle dramatique.