Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Brazil
par Sam Lowry
Une oeuvre forte, remarquable en ces temps de formatage tous azimuts et aux sous textes bien dessinés. A défendre...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Un film collectif particulièrement réussi autour du motif ferroviaire, dominé par un très bel Olmi.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean A. Gili
Si la dernière partie de Tickets marque un fléchissement, elle ne retire pas au film sa force narrative, son balancement entre ceux qui restent et ceux qui partent, ceux qui découvrent le monde et ceux qui ferment les yeux pour éviter de devoir prendre parti.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Un train en route vers Rome sert d'unité d'action à ce beau film à sketches, évoquant le mélancolique élan amoureux (...)
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Les trois cinéastes ici présents se baladent donc avec plus ou moins de bonheur, et le segment de Ken Loach sort du lot (...) A côté de lui, Ermanno Olmi et Abbas Kiarostami semblent un peu endormis et figés dans l'exercice de style (...)
Télérama
par Jacques Morice
Voilà un objet né d'un projet vraiment original (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Bien peu de réussites parsèment la longue histoire des films conçus par addition de courts-métrages mobilisant de grandes signatures. Et ce n'est certainement pas Tickets qui améliorera le score.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Première
par La rédaction
Le programme est séduisant, mais l'ensemble, malgré quelques sursauts épars, frappe surtout par son aspect composite et son effet terriblement soporifique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
La brièveté du format forçant ces trois immenses cinéastes à synthétiser leur style, le film finit par manquer d'espace de création et reste théorique dans ses articulations.
Brazil
Une oeuvre forte, remarquable en ces temps de formatage tous azimuts et aux sous textes bien dessinés. A défendre...
Les Inrockuptibles
Un film collectif particulièrement réussi autour du motif ferroviaire, dominé par un très bel Olmi.
Positif
Si la dernière partie de Tickets marque un fléchissement, elle ne retire pas au film sa force narrative, son balancement entre ceux qui restent et ceux qui partent, ceux qui découvrent le monde et ceux qui ferment les yeux pour éviter de devoir prendre parti.
Le Monde
Un train en route vers Rome sert d'unité d'action à ce beau film à sketches, évoquant le mélancolique élan amoureux (...)
MCinéma.com
Les trois cinéastes ici présents se baladent donc avec plus ou moins de bonheur, et le segment de Ken Loach sort du lot (...) A côté de lui, Ermanno Olmi et Abbas Kiarostami semblent un peu endormis et figés dans l'exercice de style (...)
Télérama
Voilà un objet né d'un projet vraiment original (...).
Cahiers du Cinéma
Bien peu de réussites parsèment la longue histoire des films conçus par addition de courts-métrages mobilisant de grandes signatures. Et ce n'est certainement pas Tickets qui améliorera le score.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Le programme est séduisant, mais l'ensemble, malgré quelques sursauts épars, frappe surtout par son aspect composite et son effet terriblement soporifique.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
La brièveté du format forçant ces trois immenses cinéastes à synthétiser leur style, le film finit par manquer d'espace de création et reste théorique dans ses articulations.