Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Score
par Yara De Lima
Véritable bijou de cette rentrée, ce film est une ode nostalgique à l'enfance. (...) Pas de doute, Michael McGowan nous offre un moment de cinéma comme on les aime (...)
La critique complète est disponible sur le site Score
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Il est certain que l'enjeu de l'histoire est tellement fort que l'on attend le dénouement de pied ferme. C'est une petite déception, mais ne boudons pas notre plaisir : ce film tendre et populaire reste attachant. Dans le genre, c'est le haut du panier.
Paris Match
par Alain Spira
Classique comme du gothique, la réalisation sait se montrer efficace en entretenant le suspense tout au long de la course héroïque menée par le petit Ralph dopé à la foi. Une chose est sûre, cet opium du peuple ne se décèle pas dans les urines...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christian Jauberty
[Le film] est émouvant, sans violons. Et contre toute attente, il peut même passer pour une comédie, caractérisée par un humour assez décapant. Bonne surprise donc.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Elle
par Patricia Gandin
Alors que c'est son premier grand rôle au cinéma, [Adam Butcher] porte le film sur ses épaules, envahit l'écran, illumine le scénario.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Avec ses naïvetés, ses clichés et ses bons sentiments, Ralph n'en est pas moins un film sympathique et vitaminé.
Libération
par Ayon
Radieux, catho, collégien, garçon, sportif et (donc) pédérastique, Ralph (Saint Ralph) est a priori répugnant, comme Saved récemment. On se laisse pourtant aller à ce "Cercle des Torless marathoniens disparus", vaporisé de caté mélo rétro.
Ouest France
par La rédaction
Un conte d'une naïveté confondante avec force convictions mystiques. C'est du cinéma d'un autre âge qui affiche sans retenue son innocence et son message. Selon lesquels pour accomplir un miracle il suffit d'y croire. La preuve, le Canadien Michael McGowan qui en est l'auteur et le metteur en scène a décroché le grand prix du festival de Paris.
Zurban
par Véronique Le Bris
Et si l'on rit autant qu'on pleure, c'est grâce au jeune Adam Butcher, boule d'énergie et véritable révélation de ce "Billy Elliott" américain.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Si "Ralph" était un club de foot, il jouerait en D2. (...) Pas une boursouflure formelle, pas un risque ni même une dégénérescence, rien, le néant on vous dit. Néant qui porte Ralph au seul rang d'accident industriel causé par excès de perfection. D'où une sorte de coolitude morte, entre Halloween de la convention et système englouti par sa propre production.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) Ralph découvre les joies du footing. Il se persuade que pour sauver sa mère du cancer qui la mine, il lui suffit de remporter le prestigieux marathon de Boston. On peut toujours rêver. Un film vicieux, qui nous fait miroiter une certaine subversion au début, avant de rentrer dans le droit chemin de manière drastique.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Après un quart d'heure de quatre cents coups, la brebis égarée rentre dans le droit chemin et devient un bon fils et un grand sportif. Ca bêle à qui mieux mieux, et on se bouche les oreilles en pensant à Jean Vigo.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Justine Malle
(...) bref, d'une absence d'inspiration et de point de vue généralisée.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Salué par de nombreux prix, ce gentil mélo sans surprise, avec trémolos et bons sentiements, doit beaucoup à l'attachante personnalité de son héros (...)
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...) derrière la belle histoire, habile et touchante, se matérialise insidieusement une espèce de tract rédigé à l'eau bénite pour convaincre le spectateur de pointer à l'église la plus proche sitôt le film terminé. Quelque chose comme le "Top gun" du mélo religieux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le réalisateur, Michael McGowan, enfonce des portes ouvertes, s'assurant de l'adhésion émotionnelle du spectateur en l'assénant de ralentis, de chansons lourdingues, et de moments dramatiques téléphonés, comme si le mélodrame pouvait être la clé du succès.
Score
Véritable bijou de cette rentrée, ce film est une ode nostalgique à l'enfance. (...) Pas de doute, Michael McGowan nous offre un moment de cinéma comme on les aime (...)
MCinéma.com
Il est certain que l'enjeu de l'histoire est tellement fort que l'on attend le dénouement de pied ferme. C'est une petite déception, mais ne boudons pas notre plaisir : ce film tendre et populaire reste attachant. Dans le genre, c'est le haut du panier.
Paris Match
Classique comme du gothique, la réalisation sait se montrer efficace en entretenant le suspense tout au long de la course héroïque menée par le petit Ralph dopé à la foi. Une chose est sûre, cet opium du peuple ne se décèle pas dans les urines...
Première
[Le film] est émouvant, sans violons. Et contre toute attente, il peut même passer pour une comédie, caractérisée par un humour assez décapant. Bonne surprise donc.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Elle
Alors que c'est son premier grand rôle au cinéma, [Adam Butcher] porte le film sur ses épaules, envahit l'écran, illumine le scénario.
Le Figaroscope
Avec ses naïvetés, ses clichés et ses bons sentiments, Ralph n'en est pas moins un film sympathique et vitaminé.
Libération
Radieux, catho, collégien, garçon, sportif et (donc) pédérastique, Ralph (Saint Ralph) est a priori répugnant, comme Saved récemment. On se laisse pourtant aller à ce "Cercle des Torless marathoniens disparus", vaporisé de caté mélo rétro.
Ouest France
Un conte d'une naïveté confondante avec force convictions mystiques. C'est du cinéma d'un autre âge qui affiche sans retenue son innocence et son message. Selon lesquels pour accomplir un miracle il suffit d'y croire. La preuve, le Canadien Michael McGowan qui en est l'auteur et le metteur en scène a décroché le grand prix du festival de Paris.
Zurban
Et si l'on rit autant qu'on pleure, c'est grâce au jeune Adam Butcher, boule d'énergie et véritable révélation de ce "Billy Elliott" américain.
Chronic'art.com
Si "Ralph" était un club de foot, il jouerait en D2. (...) Pas une boursouflure formelle, pas un risque ni même une dégénérescence, rien, le néant on vous dit. Néant qui porte Ralph au seul rang d'accident industriel causé par excès de perfection. D'où une sorte de coolitude morte, entre Halloween de la convention et système englouti par sa propre production.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
(...) Ralph découvre les joies du footing. Il se persuade que pour sauver sa mère du cancer qui la mine, il lui suffit de remporter le prestigieux marathon de Boston. On peut toujours rêver. Un film vicieux, qui nous fait miroiter une certaine subversion au début, avant de rentrer dans le droit chemin de manière drastique.
Les Inrockuptibles
Après un quart d'heure de quatre cents coups, la brebis égarée rentre dans le droit chemin et devient un bon fils et un grand sportif. Ca bêle à qui mieux mieux, et on se bouche les oreilles en pensant à Jean Vigo.
Positif
(...) bref, d'une absence d'inspiration et de point de vue généralisée.
Télé 7 Jours
Salué par de nombreux prix, ce gentil mélo sans surprise, avec trémolos et bons sentiements, doit beaucoup à l'attachante personnalité de son héros (...)
TéléCinéObs
(...) derrière la belle histoire, habile et touchante, se matérialise insidieusement une espèce de tract rédigé à l'eau bénite pour convaincre le spectateur de pointer à l'église la plus proche sitôt le film terminé. Quelque chose comme le "Top gun" du mélo religieux.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur, Michael McGowan, enfonce des portes ouvertes, s'assurant de l'adhésion émotionnelle du spectateur en l'assénant de ralentis, de chansons lourdingues, et de moments dramatiques téléphonés, comme si le mélodrame pouvait être la clé du succès.