Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Elle
par Francoise Delbecq
Le réalisateur montre une nouvelle fois qu'il s'est forgé un univers bien à lui, captant pour la circonstance et avec beaucoup de dépouillement la solitude de l'humain. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
La beauté poignante et dénudée de ce film est là, dans ce secret que le spectateur partage avec le personnage principal et que tous les autres personnages ignorent, dans ce face-à-face laïc, pudique et solitaire avec la mort.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Le cinéaste filme la peine et la peur de mourir avec une délicatesse renversante et nous bouleverse sans jamais céder aux sirènes misérabilistes.
Paris Match
par Alain Spira
On s'attache à ce personnage aux multiples facettes, magnifiquement interprété par Melvil Poupaud (...) Ce film intense n'est pas un tire-larmes. Ici, la douleur est sèche, vidée de tout superflu, essentiellement et profondément humaine.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
Comme dans le film tout entier, [François Ozon] fait preuve d'une singulière économie de paroles et d'une belle assurance pour aborder sans fard les sujets les plus délicats. En cela, Le temps qui reste marque dans son oeuvre une forme d'accomplissement qui pourrait le conduire à explorer à l'avenir de nouveaux territoires.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Stéphanie Lamome
François Ozon renverse [les codes] du mélo sans folklore médical ni pathos lacrymal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Laurence Tournier
Rares sont les films qui sans sombrer dans le mauvais mélo, se sont penchés sur la douleur d'être abruptement confronté à sa propre fin. Celui-ci est exceptionnel qui (...) invite à un voyage intime, auquel Melvil Poupaud prête une vérité et une intensité poignantes.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Philippe Piazzo
C'est aussi le film d'Ozon le plus simple, le plus direct. Le plus à nu. Sans fanstasme, ni distanciation ni expérience de mise en scène hors norme. Les comédiens y sont, comme toujours avec le cinéaste, tous exceptionnels.
Télérama
par Pierre Murat
Tout le film, à la fois linéaire et heurté, est une quête. La poursuite d'une trace que chacun veut laisser de son passage sur Terre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
(pour) Loin des clichés et de tout cynisme, le cinéaste visite les contradictions de l'affect, au plus près de son héros.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Mélange de candeur et de provocation, de rudesse et de sensibilité, cet édifice très personnel permet au cinéaste de signer son meilleur opus.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Dominique Widemann
On pleure, jamais victimes du " chantage aux larmes " que François Ozon réfute à bon droit.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C'est là le grand mérite du film, de capter ces courants intimes qui dénaturent l'esprit en même temps qu'ils bouleversent l'organisme (...) un très beau moment de cinéma : entre Melvil Poupaud, impeccable, et Jeanne Moreau, immense, sublime, l'étincelle naît, qui allume l'incendie ravageur et bouleversant d'un film qui voit ensuite son auteur retomber dans ses travers.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
C'est du minimalisme où l'émotion émane de la rigueur et de la pudeur. Et Melvil Poupaud, dont les traits s'émacient au fil du film, fait là une interprétation absolument remarquable. Un beau film grave.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Derrière l'âpreté de son sujet, Ozon traite avec naturel et vérité des fragiles égoïsmes et au-delà des trahisons du corps, des dérangements du coeur. Poupaud y est magistral, Valeria Bruni-Tedeschi profondément émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Antoine de Baecque
Ozon évite les pièges du mélodrame et du cinéma psychologique à la française, préférant cette sécheresse un peu fade et clinique de la banalité morbide.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
C'est une idée, et rarement Ozon se sera tenu aussi près du programme minimum que celle-ci promet (...) on ne s'attendait pas à ce qu'Ozon s'accomode si bien de Melvil Poupaud.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Belle simplicité, à mille lieues de l'arrogance surfaite habituelle (...) Mais d'abord précis et prêt à se déployer, ce mini-film lâche prise bien vite, les flash-back et autres embrassades remontent à la surface et l'on quitte vite fait cet encas que tout prédisposait au plat de résistance.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Il ne manque à cette accumulation de scènes délicates, intellectuellement imaginées et joliment photographiées, que l'essentiel : l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Zurban
par Yasmine Youssi
(contre) Des histoires comme ça, on en a malheureusement déjà consommé par dizaines.
Brazil
par C.G.
(...) sous la lourdeur d'un sujet usé dont tout le monde a abusé, [Ozon] s'enlise rapidement, embarquant avec lui tous ses acteurs qui, il est vrai, n'ont pas grand-chose à jouer non plus. Melvil Poupaud est transparent, les autres pas mieux.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Ouest France
par La rédaction
Melvil Poupaud, Jeanne Moreau, Daniel Duval ou Valeria Bruni-Tedeschi mettent toute leur énergie et leur conviction à défendre des personnages auxquels ils veulent croire. Mais l'entreprise à laquelle ils sont attachés ne s'ingénie qu'à nous tirer des larmes en jouant à l'exercice de style dans des recettes fatiguées.
Score
par Audrey Zeppegno
A quoi bon ? Telle est, et restera, la question...
La critique complète est disponible sur le site Score
Elle
Le réalisateur montre une nouvelle fois qu'il s'est forgé un univers bien à lui, captant pour la circonstance et avec beaucoup de dépouillement la solitude de l'humain. Bouleversant.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
La beauté poignante et dénudée de ce film est là, dans ce secret que le spectateur partage avec le personnage principal et que tous les autres personnages ignorent, dans ce face-à-face laïc, pudique et solitaire avec la mort.
MCinéma.com
Le cinéaste filme la peine et la peur de mourir avec une délicatesse renversante et nous bouleverse sans jamais céder aux sirènes misérabilistes.
Paris Match
On s'attache à ce personnage aux multiples facettes, magnifiquement interprété par Melvil Poupaud (...) Ce film intense n'est pas un tire-larmes. Ici, la douleur est sèche, vidée de tout superflu, essentiellement et profondément humaine.
Positif
Comme dans le film tout entier, [François Ozon] fait preuve d'une singulière économie de paroles et d'une belle assurance pour aborder sans fard les sujets les plus délicats. En cela, Le temps qui reste marque dans son oeuvre une forme d'accomplissement qui pourrait le conduire à explorer à l'avenir de nouveaux territoires.
Première
François Ozon renverse [les codes] du mélo sans folklore médical ni pathos lacrymal.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Rares sont les films qui sans sombrer dans le mauvais mélo, se sont penchés sur la douleur d'être abruptement confronté à sa propre fin. Celui-ci est exceptionnel qui (...) invite à un voyage intime, auquel Melvil Poupaud prête une vérité et une intensité poignantes.
TéléCinéObs
C'est aussi le film d'Ozon le plus simple, le plus direct. Le plus à nu. Sans fanstasme, ni distanciation ni expérience de mise en scène hors norme. Les comédiens y sont, comme toujours avec le cinéaste, tous exceptionnels.
Télérama
Tout le film, à la fois linéaire et heurté, est une quête. La poursuite d'une trace que chacun veut laisser de son passage sur Terre.
Zurban
(pour) Loin des clichés et de tout cynisme, le cinéaste visite les contradictions de l'affect, au plus près de son héros.
aVoir-aLire.com
Mélange de candeur et de provocation, de rudesse et de sensibilité, cet édifice très personnel permet au cinéaste de signer son meilleur opus.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
On pleure, jamais victimes du " chantage aux larmes " que François Ozon réfute à bon droit.
L'Obs
C'est là le grand mérite du film, de capter ces courants intimes qui dénaturent l'esprit en même temps qu'ils bouleversent l'organisme (...) un très beau moment de cinéma : entre Melvil Poupaud, impeccable, et Jeanne Moreau, immense, sublime, l'étincelle naît, qui allume l'incendie ravageur et bouleversant d'un film qui voit ensuite son auteur retomber dans ses travers.
Le Figaroscope
C'est du minimalisme où l'émotion émane de la rigueur et de la pudeur. Et Melvil Poupaud, dont les traits s'émacient au fil du film, fait là une interprétation absolument remarquable. Un beau film grave.
Le Parisien
Derrière l'âpreté de son sujet, Ozon traite avec naturel et vérité des fragiles égoïsmes et au-delà des trahisons du corps, des dérangements du coeur. Poupaud y est magistral, Valeria Bruni-Tedeschi profondément émouvante.
Libération
Ozon évite les pièges du mélodrame et du cinéma psychologique à la française, préférant cette sécheresse un peu fade et clinique de la banalité morbide.
Cahiers du Cinéma
C'est une idée, et rarement Ozon se sera tenu aussi près du programme minimum que celle-ci promet (...) on ne s'attendait pas à ce qu'Ozon s'accomode si bien de Melvil Poupaud.
Chronic'art.com
Belle simplicité, à mille lieues de l'arrogance surfaite habituelle (...) Mais d'abord précis et prêt à se déployer, ce mini-film lâche prise bien vite, les flash-back et autres embrassades remontent à la surface et l'on quitte vite fait cet encas que tout prédisposait au plat de résistance.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Il ne manque à cette accumulation de scènes délicates, intellectuellement imaginées et joliment photographiées, que l'essentiel : l'émotion.
Zurban
(contre) Des histoires comme ça, on en a malheureusement déjà consommé par dizaines.
Brazil
(...) sous la lourdeur d'un sujet usé dont tout le monde a abusé, [Ozon] s'enlise rapidement, embarquant avec lui tous ses acteurs qui, il est vrai, n'ont pas grand-chose à jouer non plus. Melvil Poupaud est transparent, les autres pas mieux.
Ouest France
Melvil Poupaud, Jeanne Moreau, Daniel Duval ou Valeria Bruni-Tedeschi mettent toute leur énergie et leur conviction à défendre des personnages auxquels ils veulent croire. Mais l'entreprise à laquelle ils sont attachés ne s'ingénie qu'à nous tirer des larmes en jouant à l'exercice de style dans des recettes fatiguées.
Score
A quoi bon ? Telle est, et restera, la question...