Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film, de surcroît assez effrayant par moments, peut aussi être vu comme la description d'un deuil impossible. Une bonne surprise, donc.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Cinéastes
par Hendy Bicaise
Plutôt bien fichu, La Voix des Morts a néanmoins le défaut de ne pas tenir la promesse tenue dans son titre : être le premier film d'horreur à ne terrifier qu'en titillant l'ouïe de son spectateur, avec des voix étranges, des distorsions sonores, etc. Trop vite, Sax se sentira obligé d'ajouter des images vidéo et même de véritables spectres à sa tambouille.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Sur le sujet basique de la communication avec les morts, une variation techno efficace...Si le scénario hésite entre plusieurs pistes pour finalement n'en explorer à fond aucune [...] sa mise en images demeure très efficace, même si elle revient en permanence sur des effets identiques : étincelles et écrans livides se détachant sur une nuit oppressante. Quant à savoir ce qu'il y a de l'autre côté, on reste dans le brouillard. Mais, à l'avoir entraperçu, sans doute cela vaut-il mieux.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Franz Miceli
La Voix des Morts s'avère rapidement bourré de clichés et tombe dans un profond manichéisme. Les personnages se révèlent insipides, le spectateur les voyant passer du rire aux larmes avec indifférence. En fait, seules trente minutes situées au milieu du film captent notre attention. Si on sursaute plus par réflexe qu'autre chose, quelques plans fichent effectivement la frousse.
Score
par Marco Ramius
Il y avait là matière à faire un thriller surnaturel palpitant et, aussi, de rendre justice à un Michael Keaton très convaincant dans le rôle-titre. Sauf qu'à force de vouloir mettre sous tension le spectateur pour mieux le secouer par des chocs visuels soudains, Geoffrey Sax finit par lasser.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un thriller au scénario convenu, sauvé -à l'exception d'une fin grandiloquente plutôt ratée- par une réalisation nerveuse, évitant la surenchère d'effets. Raisonnablement flippant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Gilles Grand
La première réalisation hors TV de l'Anglais Geoffrey Sax se focalise sur le personnage et laisse aux écoutes instrumentées tout leur mystère. [...]L'ambiguïté appréciable est entièrement contenue dans une phrase répétée par la défunte "Pars, maintenant !"
L'Humanité
par Vincent Ostria
C'est n'importe quoi, traité par un transfuge besogneux de la télé british, qui dans les moments intenses se contente d'imiter Seven, X-Files et tutti quanti.
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Film d'horreur jouant sur la suggestion et les effets sonores jusqu'à une chute parfaitement ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Alexandre Bustillo
Vous avez vu la bande-annonce ? Vous avez tout vu. Regarder Michael Keaton (au demeurant excellent) régler une radio, c'est drôle, mais quand ça dure plus de deux bobines, ça devient vite lassant, voire stressant.
Ouest France
par La Rédaction
C'est plutôt raté, parce que cette histoire n'avance pas bien vite, question de rythme et de consistance, jusqu'à une banale démystification qui dégonfle une intrigue faussement emberlificotée.
Première
par Christian Jauberty
Les auteurs se contentent de placer ici et là des vieux trucs pour faire sursauter. Le plus effrayant est de voir ce qui est arrivé à la carrière de Michael Keaton.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le bizarre vire au polar sans qu'on cesse de trouver ça téléphoné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
Caméra prétentieuse, direction d'acteurs appuyée, le réalisateur meuble comme il peut ce navet.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Ce film a le malheur de nous la jouer prétentieux sur un thème surexploité et de foirer tout ce qu'il entreprend. L'absence d'humour dénote une fâcheuse propension à se prendre au sérieux alors que le second degré, sans nécessairement être cynique, aurait rendu plus digeste toute cette succession de situations risibles.
Le Monde
Le film, de surcroît assez effrayant par moments, peut aussi être vu comme la description d'un deuil impossible. Une bonne surprise, donc.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Plutôt bien fichu, La Voix des Morts a néanmoins le défaut de ne pas tenir la promesse tenue dans son titre : être le premier film d'horreur à ne terrifier qu'en titillant l'ouïe de son spectateur, avec des voix étranges, des distorsions sonores, etc. Trop vite, Sax se sentira obligé d'ajouter des images vidéo et même de véritables spectres à sa tambouille.
L'Ecran Fantastique
Sur le sujet basique de la communication avec les morts, une variation techno efficace...Si le scénario hésite entre plusieurs pistes pour finalement n'en explorer à fond aucune [...] sa mise en images demeure très efficace, même si elle revient en permanence sur des effets identiques : étincelles et écrans livides se détachant sur une nuit oppressante. Quant à savoir ce qu'il y a de l'autre côté, on reste dans le brouillard. Mais, à l'avoir entraperçu, sans doute cela vaut-il mieux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
La Voix des Morts s'avère rapidement bourré de clichés et tombe dans un profond manichéisme. Les personnages se révèlent insipides, le spectateur les voyant passer du rire aux larmes avec indifférence. En fait, seules trente minutes situées au milieu du film captent notre attention. Si on sursaute plus par réflexe qu'autre chose, quelques plans fichent effectivement la frousse.
Score
Il y avait là matière à faire un thriller surnaturel palpitant et, aussi, de rendre justice à un Michael Keaton très convaincant dans le rôle-titre. Sauf qu'à force de vouloir mettre sous tension le spectateur pour mieux le secouer par des chocs visuels soudains, Geoffrey Sax finit par lasser.
TéléCinéObs
Un thriller au scénario convenu, sauvé -à l'exception d'une fin grandiloquente plutôt ratée- par une réalisation nerveuse, évitant la surenchère d'effets. Raisonnablement flippant.
Cahiers du Cinéma
La première réalisation hors TV de l'Anglais Geoffrey Sax se focalise sur le personnage et laisse aux écoutes instrumentées tout leur mystère. [...]L'ambiguïté appréciable est entièrement contenue dans une phrase répétée par la défunte "Pars, maintenant !"
L'Humanité
C'est n'importe quoi, traité par un transfuge besogneux de la télé british, qui dans les moments intenses se contente d'imiter Seven, X-Files et tutti quanti.
Les Inrockuptibles
Film d'horreur jouant sur la suggestion et les effets sonores jusqu'à une chute parfaitement ridicule.
Mad Movies
Vous avez vu la bande-annonce ? Vous avez tout vu. Regarder Michael Keaton (au demeurant excellent) régler une radio, c'est drôle, mais quand ça dure plus de deux bobines, ça devient vite lassant, voire stressant.
Ouest France
C'est plutôt raté, parce que cette histoire n'avance pas bien vite, question de rythme et de consistance, jusqu'à une banale démystification qui dégonfle une intrigue faussement emberlificotée.
Première
Les auteurs se contentent de placer ici et là des vieux trucs pour faire sursauter. Le plus effrayant est de voir ce qui est arrivé à la carrière de Michael Keaton.
Télérama
Le bizarre vire au polar sans qu'on cesse de trouver ça téléphoné.
Zurban
Caméra prétentieuse, direction d'acteurs appuyée, le réalisateur meuble comme il peut ce navet.
aVoir-aLire.com
Ce film a le malheur de nous la jouer prétentieux sur un thème surexploité et de foirer tout ce qu'il entreprend. L'absence d'humour dénote une fâcheuse propension à se prendre au sérieux alors que le second degré, sans nécessairement être cynique, aurait rendu plus digeste toute cette succession de situations risibles.