Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
Ce film noir, somptueux et séduisant explore le côté obscur et décadent de la célébrité, de la fortune et du succès (...) La vérité nue est une merveilleuse boîte de Pandore ouverte qu'il ne faut fermer sous aucun prétexte.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
MCinéma.com
par Aurélien Allin
(critique cannoise) (...) des performances d'acteurs tout en variations et ambiguïtés, servant à merveille un propos dense et envoûtant, dont on n'aura de cesse de fouiller la profondeur.
Positif
par Philippe Rouyer
Egoyan a paré son film des couleurs mélancoliques d'un passé révolu qui a sacrifié pour toujours l'espérance de beaux lendemains.
La critique complète est disponible sur le site Positif
The Hollywood Reporter
par Ray Bennett
(critique cannoise) En élaborant, à partir du roman de Rupert Holmes, une somptueuse fable sur le cirque du show-business et la duplicité, Atom Egoyan signe un grand film policier, habile et sexy.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Paris Match
par Christine Haas
(...) Atom Egoyan broie du noir avec jubilation et une grande élégance visuelle.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Un film aussi déroutant sur la morale du secret qu'il est cinglant - on n'a pas dit "clinquant - de beauté.
Télé 7 Jours
par Laurence Tournier
(...) le cinéaste fait d'un film noir une réflexion mélancolique et complexe sur la société du spectacle (...)
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Zurban
par Charlotte Lipinska
Le sujet méritait plus de soufre et l'on reste au bord d'un gouffre dans lequel on ne demande qu'à tomber. Reste un tandem d'acteurs épatants (...)
Zurban
par Véronique Le Bris
(critique cannoise) Le duo Kevin Bacon-Colin Firth fonctionne à merveille (...) Le rôle de la journaliste est en revanche moins crédible. Malgré ce petit bémol et une musique plus que pesante (...) ce brillant exercice de style, bien rythmé, reste très agréable à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Egoyan poursuit toujours ses fantômes dans les méandres troubles d'un univers qui n'appartient qu'à lui (...) Egoyan nous a habitués à ces univers troubles, où l'on se cherche à travers l'autre, où l'on ferme à demi les yeux pour tenter de croire que les choses sont autrement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(critique cannoise) (...) le film se perd dans sa complaisance à reconduire sans génie les codes du genre (...) C'est encore avec les scènes de sexe que le cinéaste se montre le plus à l'aise (...) Comme en plus les acteurs assurent (Kevin Bacon, vraiment très bon), Where the truth lies l'emporte aux points.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Jean Roy
(...) le film d'Atom Egoyan traite d'un de ses sujets fétiches, le secret (...) un sentiment de relative déception, d'un film mineur qui prend davantage sens dans le contexte de l'oeuvre que par lui-même.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Humanité
par Dominique Widemann
(critique cannoise) Where the Truth Lies peut (...) apparaître comme une vaste manipulation, d'autant que l'action et ses retournements sont menés avec une efficacité toute hollywoodienne. Les acteurs, choisis à la perfection pour leurs emplois respectifs, réalisent ce qu'il est convenu d'appeler une performance (...)
L'Obs
par Bernard Achour
(...) les va-et-vient chronologiques font mousser le suspense de façon terriblement artificielle (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
La Vérité nue est juste un exercice de style hollywoodien, anecdotique et inutilement sophistiqué.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Florence Colombani
(critique cannoise)(...) l'exposition est ce que le film a de plus réussi, en grande partie grâce à la composition puissante de Kevin Bacon (...) Mais plus l'enquête de Karen avance, moins le mystère paraît digne d'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
(...) film curieux et fascinant (...) ce long-métrage vaut par ses remarquables interprètes masculins (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Une relecture du film noir virtuose, mais qui souffre d'un déficit de suspense et d'incarnation.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gérard Delorme
(...) La Vérité nue est un film étrange, fascinant et inconfortable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Audrey Zeppegno
Bluffant dans leur tandem de stars équivoques rogées par la célébrité, Kevin Bacon et Colin Firth déflorent brillamment la candeur d'Alison Lohman (...) manque de fantaisie d'une intrigue classique rondement menée, peut-être...
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Louis Guichard
Atom Egoyan s'empare d'un polar américain à succès en soignant l'emballage... et le suspense.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Louis Guichard
(critique cannoise) Si le film n'a pas la profondeur ni la finesse de touche de [ses opus majeurs], il recèle deux bons numéros d'acteurs (...) et assez de scènes réussies pour remplir ce contrat, jamais aussi explicite auparavant chez Egoyan, de "film d'auteur de genre".
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Le cinéma fait son beurre de récits sur l'âge d'or hollywoodien, prise dorénavant la phase sombre et confidential, remet en scène ses corps embaumés dans le technicolor (...) dans un film par ailleurs nullement préocupé par le travail et le rire, seuls ingrédients inépuisables du grand Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Jean-François Rauger
(...) l'épaisseur un peu balourde de mécanismes qui se veulent intellectuellement sophistiqués laisse la dimension banalement feuilletonesque et policière prendre le dessus. Le résultat est décevant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Péron
(critique cannoise) (...) le lent processus visant à décomposer les apparences et à télescoper dans un big bang émotionnel le désir de pureté et la dépravation fondamentale n'accouche d'aucun trouble mais distille un ennui vaguement distingué.
Variety
par Todd McCarthy
(critique cannoise) La révélation finale est, curieusement, plus pausible que tout ce qu'on nous a présenté auparavant. Surtout, il manque à Egoyan, longtemps chéri des cinéphiles, le peps qu'on attendrait de cette peinture du show-biz des années 50 (...)
La critique complète est disponible sur le site Variety
Brazil
Ce film noir, somptueux et séduisant explore le côté obscur et décadent de la célébrité, de la fortune et du succès (...) La vérité nue est une merveilleuse boîte de Pandore ouverte qu'il ne faut fermer sous aucun prétexte.
MCinéma.com
(critique cannoise) (...) des performances d'acteurs tout en variations et ambiguïtés, servant à merveille un propos dense et envoûtant, dont on n'aura de cesse de fouiller la profondeur.
Positif
Egoyan a paré son film des couleurs mélancoliques d'un passé révolu qui a sacrifié pour toujours l'espérance de beaux lendemains.
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) En élaborant, à partir du roman de Rupert Holmes, une somptueuse fable sur le cirque du show-business et la duplicité, Atom Egoyan signe un grand film policier, habile et sexy.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Paris Match
(...) Atom Egoyan broie du noir avec jubilation et une grande élégance visuelle.
Rolling Stone
Un film aussi déroutant sur la morale du secret qu'il est cinglant - on n'a pas dit "clinquant - de beauté.
Télé 7 Jours
(...) le cinéaste fait d'un film noir une réflexion mélancolique et complexe sur la société du spectacle (...)
Zurban
Le sujet méritait plus de soufre et l'on reste au bord d'un gouffre dans lequel on ne demande qu'à tomber. Reste un tandem d'acteurs épatants (...)
Zurban
(critique cannoise) Le duo Kevin Bacon-Colin Firth fonctionne à merveille (...) Le rôle de la journaliste est en revanche moins crédible. Malgré ce petit bémol et une musique plus que pesante (...) ce brillant exercice de style, bien rythmé, reste très agréable à suivre.
aVoir-aLire.com
Egoyan poursuit toujours ses fantômes dans les méandres troubles d'un univers qui n'appartient qu'à lui (...) Egoyan nous a habitués à ces univers troubles, où l'on se cherche à travers l'autre, où l'on ferme à demi les yeux pour tenter de croire que les choses sont autrement.
Chronic'art.com
(critique cannoise) (...) le film se perd dans sa complaisance à reconduire sans génie les codes du genre (...) C'est encore avec les scènes de sexe que le cinéaste se montre le plus à l'aise (...) Comme en plus les acteurs assurent (Kevin Bacon, vraiment très bon), Where the truth lies l'emporte aux points.
L'Humanité
(...) le film d'Atom Egoyan traite d'un de ses sujets fétiches, le secret (...) un sentiment de relative déception, d'un film mineur qui prend davantage sens dans le contexte de l'oeuvre que par lui-même.
L'Humanité
(critique cannoise) Where the Truth Lies peut (...) apparaître comme une vaste manipulation, d'autant que l'action et ses retournements sont menés avec une efficacité toute hollywoodienne. Les acteurs, choisis à la perfection pour leurs emplois respectifs, réalisent ce qu'il est convenu d'appeler une performance (...)
L'Obs
(...) les va-et-vient chronologiques font mousser le suspense de façon terriblement artificielle (...)
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
La Vérité nue est juste un exercice de style hollywoodien, anecdotique et inutilement sophistiqué.
Le Monde
(critique cannoise)(...) l'exposition est ce que le film a de plus réussi, en grande partie grâce à la composition puissante de Kevin Bacon (...) Mais plus l'enquête de Karen avance, moins le mystère paraît digne d'intérêt.
Le Parisien
(...) film curieux et fascinant (...) ce long-métrage vaut par ses remarquables interprètes masculins (...)
Le Point
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Les Inrockuptibles
Une relecture du film noir virtuose, mais qui souffre d'un déficit de suspense et d'incarnation.
Première
(...) La Vérité nue est un film étrange, fascinant et inconfortable.
Score
Bluffant dans leur tandem de stars équivoques rogées par la célébrité, Kevin Bacon et Colin Firth déflorent brillamment la candeur d'Alison Lohman (...) manque de fantaisie d'une intrigue classique rondement menée, peut-être...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Atom Egoyan s'empare d'un polar américain à succès en soignant l'emballage... et le suspense.
Télérama
(critique cannoise) Si le film n'a pas la profondeur ni la finesse de touche de [ses opus majeurs], il recèle deux bons numéros d'acteurs (...) et assez de scènes réussies pour remplir ce contrat, jamais aussi explicite auparavant chez Egoyan, de "film d'auteur de genre".
Cahiers du Cinéma
Le cinéma fait son beurre de récits sur l'âge d'or hollywoodien, prise dorénavant la phase sombre et confidential, remet en scène ses corps embaumés dans le technicolor (...) dans un film par ailleurs nullement préocupé par le travail et le rire, seuls ingrédients inépuisables du grand Hollywood.
Le Monde
(...) l'épaisseur un peu balourde de mécanismes qui se veulent intellectuellement sophistiqués laisse la dimension banalement feuilletonesque et policière prendre le dessus. Le résultat est décevant.
Libération
(critique cannoise) (...) le lent processus visant à décomposer les apparences et à télescoper dans un big bang émotionnel le désir de pureté et la dépravation fondamentale n'accouche d'aucun trouble mais distille un ennui vaguement distingué.
Variety
(critique cannoise) La révélation finale est, curieusement, plus pausible que tout ce qu'on nous a présenté auparavant. Surtout, il manque à Egoyan, longtemps chéri des cinéphiles, le peps qu'on attendrait de cette peinture du show-biz des années 50 (...)