Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Il y a quelque chose de blessé et de pur dans ce film dont on sait paradoxalement dès la première image, qu'il sera rassurant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Porté par le jeu profond et nuancé de Michel Bouquet, il s'en dégage une lumière, une énergie et un espoir qui font que l'on ressort du film heureux et ému.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-Luc Drouin
Il fallait un grand acteur comme Michel Bouquet pour incarner ce personnage solitaire et secret. (...) Il fallait aussi une comédienne de la trempe de Florence Loiret Caille pour lui faire face comme elle le fait, à sa façon si attachante d'Arletty d'aujourd'hui (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
Une histoire simple pour un grand premier film aux situations intenses et aux dialogues justes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur l'Express.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Sans éviter quelques débordements mélodramatiques, cette fable simple vaut pour la rencontre entre ces deux personnages à la fois tendres et revêches, proches et lointains.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
D'une certaine façon, le film a du charme en jouant habilement sur la corde sensible (...). Ce qui est énervant, c'est que les réalisatrices se cantonnent à l'intemporalité et à une certaine indifférence géographique (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Félix Gatier
Pour leur premier long métrage, Stéphanie Chuat et Véronique Reymond jouent avec les codes cinématographiques et accouchent d'une "Petite Chambre" émouvante ajointant trame mélodramatique et comédie du mariage transgénérationnelle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
Bancal mais courageux, ce premier long traite de faits de société peu spectaculaires mais essentiels.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Stéphanie Chuat et Véronique Reymond, deux nouvelles venues, réussissent à distiller une véritable émotion en jouant avec subtilité leur petite musique (de chambre).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Juliette Bénabent
La trame est très classique : le sauvetage mutuel de deux êtres que tout oppose. (...) Peu à peu, leur duo s'ajuste, comme dans une danse, et l'émotion qu'il dégage permet d'accepter un happy end trop évident.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Franck Unimon
Il n'y a rien à reprocher aux intentions de "La Petite chambre". C'est dans l'action que ça se gâte...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Critikat.com
par Benoit Smith
Un drame souffrant de reposer essentiellement sur une mécanique de scénario un peu sèche, caractéristique qui n'a jamais favorisé l'expression sincère des émotions.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par La rédaction
(...) l'adjonction d'un second scénario (...) alourdit sensiblement le film.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Devant une telle absence d'invention, on reste désarmé par l'application toute scolaire des réalisatrices pour tenter, en vain, de conférer un peu de dignité à l'ensemble.
Le Parisien
Il y a quelque chose de blessé et de pur dans ce film dont on sait paradoxalement dès la première image, qu'il sera rassurant.
Le Figaroscope
Porté par le jeu profond et nuancé de Michel Bouquet, il s'en dégage une lumière, une énergie et un espoir qui font que l'on ressort du film heureux et ému.
Le Monde
Il fallait un grand acteur comme Michel Bouquet pour incarner ce personnage solitaire et secret. (...) Il fallait aussi une comédienne de la trempe de Florence Loiret Caille pour lui faire face comme elle le fait, à sa façon si attachante d'Arletty d'aujourd'hui (...).
Paris Match
Une histoire simple pour un grand premier film aux situations intenses et aux dialogues justes.
L'Express
Voir la critique sur l'Express.fr
Le Journal du Dimanche
Sans éviter quelques débordements mélodramatiques, cette fable simple vaut pour la rencontre entre ces deux personnages à la fois tendres et revêches, proches et lointains.
Les Inrockuptibles
D'une certaine façon, le film a du charme en jouant habilement sur la corde sensible (...). Ce qui est énervant, c'est que les réalisatrices se cantonnent à l'intemporalité et à une certaine indifférence géographique (...).
Libération
Pour leur premier long métrage, Stéphanie Chuat et Véronique Reymond jouent avec les codes cinématographiques et accouchent d'une "Petite Chambre" émouvante ajointant trame mélodramatique et comédie du mariage transgénérationnelle.
Première
Bancal mais courageux, ce premier long traite de faits de société peu spectaculaires mais essentiels.
TéléCinéObs
Stéphanie Chuat et Véronique Reymond, deux nouvelles venues, réussissent à distiller une véritable émotion en jouant avec subtilité leur petite musique (de chambre).
Télérama
La trame est très classique : le sauvetage mutuel de deux êtres que tout oppose. (...) Peu à peu, leur duo s'ajuste, comme dans une danse, et l'émotion qu'il dégage permet d'accepter un happy end trop évident.
Brazil
Il n'y a rien à reprocher aux intentions de "La Petite chambre". C'est dans l'action que ça se gâte...
Critikat.com
Un drame souffrant de reposer essentiellement sur une mécanique de scénario un peu sèche, caractéristique qui n'a jamais favorisé l'expression sincère des émotions.
Positif
(...) l'adjonction d'un second scénario (...) alourdit sensiblement le film.
Cahiers du Cinéma
Devant une telle absence d'invention, on reste désarmé par l'application toute scolaire des réalisatrices pour tenter, en vain, de conférer un peu de dignité à l'ensemble.