Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Monde
par Florence Colombani
Dans les champs de bataille porte bien son titre. Pas un corps mutilé, pas une scène de combat dans ce film de guerre, et pourtant la réalisatrice ne cesse de monter au front. Asphyxie, (...) et donc ivresse exquise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par François Gorin
Danielle Arbid (...) donne à l'exercice une touche personnelle qui tient moins à son contexte particulier qu'à un sens aigu des contrastes : éloquence des scènes mutiques, rage comprimée des moments d'insouciance. Et justesse plutôt que vérisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Le jeune cinéma libanais continue de fasciner par la tension maintenue entre captation sensuelle du présent et arrière-goût du désastre.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
par Elisabeth Quin
Cette vision de la mort qui exaspère l'envie de jouir, et du champ de bataille familial comme métaphore de la guerre du Liba, est (...) unique. Nourrie de peintures orientalistes et de photo contemporaine. Parfois affectée. Mais très prenante. Il y a quelques années, la guerre du Liban vécue par un gamin avait forgé le succès du roublard West Beyrouth. Ce film est autrement plus subtil.
L'Humanité
par Jean Roy
En temps de guerre, on peut rire et pleurer, aimer et grandir, comme en temps de paix. Les choses sont juste plus exacerbées, fragiles, éphémères. C'est ce que nous dit la petite musique de ce premier long métrage de fiction, découvert en mai à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes et qui trouve enfin le chemin des salles après avoir glané une demi-douzaine de prix ici et là entre-temps.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Beau film que celui-là, sensuel et violent, complexe et limpide.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Philippe AZOURY
Ces champs sont ceux d'une jalousie abominable et naturelle ayant poussé dans un regard que seules les images qui lui sont surdimensionnées arrêtent. La guerre, dans ce film-serrure qui se transformera bientôt en fissure, ce n'est jamais que cela : une danse en désordre, une ronde infinie où l'on trahit ceux qu'on aime pour mieux trahir ses sentiments.
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Danielle Arbid réalise avec son premier film de fiction une oeuvre forte, mêlant romanesque et document. (...) Les femmes sont au centre du film et donnent lieu à de formidables portraits, de la jeune héroïne à la tante tyrannique, de la mère en révolte à la bonne éprise de liberté.
Ouest France
par La rédaction
Le premier film, en grande partie autobiographique, d'une cinéaste qui a jusque-là travaillé dans le documentaire. Des interprètes d'une forte présence, dans une chronique conduite avec une vigueur efficacement mesurée. Une belle maîtrise pour une histoire à la fois forte dans l'absolu, et ordinaire là-bas.
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Un premier film mi-figue mi-raisin. Soucieuse de ne pas couler ce cruel apprentissage de la vie dans un moule académique, Danielle Arbid dissémine, entre pudeur et frilosité, des plans (...) abstraits et intériorisés.
Première
par Gaël Golhen
La documentariste Danielle Arbid évoque le quotidien d'une gamine dans le Beyrouth de la guerre civile. Laquelle est donnée à entendre (explosions d'obus et tubes de rock FM) plus qu'à voir, dans un fatras émotionnel chaotique. Parce qu'à 12 ans, la guerre, c'est surtout un obstacle à la découverte des garçons.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Claire Vassé
De l'attraction à la répudiation, le trajet de Dans les champs de bataille dessine avec beaucoup de vigueur l'ambivalence d'une adolescente tiraillée entre son désir et sa peur de devenir une femme.
Le Monde
Dans les champs de bataille porte bien son titre. Pas un corps mutilé, pas une scène de combat dans ce film de guerre, et pourtant la réalisatrice ne cesse de monter au front. Asphyxie, (...) et donc ivresse exquise.
Télérama
Danielle Arbid (...) donne à l'exercice une touche personnelle qui tient moins à son contexte particulier qu'à un sens aigu des contrastes : éloquence des scènes mutiques, rage comprimée des moments d'insouciance. Et justesse plutôt que vérisme.
Cahiers du Cinéma
Le jeune cinéma libanais continue de fasciner par la tension maintenue entre captation sensuelle du présent et arrière-goût du désastre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Cette vision de la mort qui exaspère l'envie de jouir, et du champ de bataille familial comme métaphore de la guerre du Liba, est (...) unique. Nourrie de peintures orientalistes et de photo contemporaine. Parfois affectée. Mais très prenante. Il y a quelques années, la guerre du Liban vécue par un gamin avait forgé le succès du roublard West Beyrouth. Ce film est autrement plus subtil.
L'Humanité
En temps de guerre, on peut rire et pleurer, aimer et grandir, comme en temps de paix. Les choses sont juste plus exacerbées, fragiles, éphémères. C'est ce que nous dit la petite musique de ce premier long métrage de fiction, découvert en mai à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes et qui trouve enfin le chemin des salles après avoir glané une demi-douzaine de prix ici et là entre-temps.
L'Obs
Beau film que celui-là, sensuel et violent, complexe et limpide.
Libération
Ces champs sont ceux d'une jalousie abominable et naturelle ayant poussé dans un regard que seules les images qui lui sont surdimensionnées arrêtent. La guerre, dans ce film-serrure qui se transformera bientôt en fissure, ce n'est jamais que cela : une danse en désordre, une ronde infinie où l'on trahit ceux qu'on aime pour mieux trahir ses sentiments.
MCinéma.com
Danielle Arbid réalise avec son premier film de fiction une oeuvre forte, mêlant romanesque et document. (...) Les femmes sont au centre du film et donnent lieu à de formidables portraits, de la jeune héroïne à la tante tyrannique, de la mère en révolte à la bonne éprise de liberté.
Ouest France
Le premier film, en grande partie autobiographique, d'une cinéaste qui a jusque-là travaillé dans le documentaire. Des interprètes d'une forte présence, dans une chronique conduite avec une vigueur efficacement mesurée. Une belle maîtrise pour une histoire à la fois forte dans l'absolu, et ordinaire là-bas.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un premier film mi-figue mi-raisin. Soucieuse de ne pas couler ce cruel apprentissage de la vie dans un moule académique, Danielle Arbid dissémine, entre pudeur et frilosité, des plans (...) abstraits et intériorisés.
Première
La documentariste Danielle Arbid évoque le quotidien d'une gamine dans le Beyrouth de la guerre civile. Laquelle est donnée à entendre (explosions d'obus et tubes de rock FM) plus qu'à voir, dans un fatras émotionnel chaotique. Parce qu'à 12 ans, la guerre, c'est surtout un obstacle à la découverte des garçons.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
De l'attraction à la répudiation, le trajet de Dans les champs de bataille dessine avec beaucoup de vigueur l'ambivalence d'une adolescente tiraillée entre son désir et sa peur de devenir une femme.