Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Paris Match
par Christine Haas
Jessica Hausner jongle adroitement avec les indices et raconte une histoire effrayante, sans fournir d'explication rationelle. Le climat visuel et sonore se veut dérangeant.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Hausner excelle dans le registre de l'indécision et du trouble, tout comme elle nous invite à méditer sur les forces secrètes qui travaillent notre quotidien le plus familier, en pointant du doigt une question propre à chacun : sommes-nous manipulés par des forces obscures ? Et à cette question, elle répond par la décapitation en bonne et due forme des codes du thriller horrifique.
Ciné Live
par Emmanuel Girodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Jessica Hausner est spécialiste des jeunes filles mal dans leur peau. [...] Dans Hôtel, c'est l'environnement qui provoque l'angoisse. La cinéaste entend faire ressentir au spectateur, d'une façon hypnotique, l'impersonnalité et la froideur des lieux. [...] Curieux [...] a lui aussi un petit défaut : il est trop systématique.
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier Péron
Comme on dit, le film possède les qualités de ses défauts. L'intrigue ne bouge pas, comme tétanisée d'entrée de jeu, à l'image du visage figé d'Irène. Mais cette immobilité est aussi tout le pari de la cinéaste, faire tenir en haleine et sur le qui-vive un spectateur qui ne peut espérer être délivré de ses craintes par aucune décharge spectaculaire (...) Efficace.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Il n'y pas forcément grand chose à comprendre, l'essentiel est de se laisser envoûter par l'atmosphère glaciale et le charisme de l'actrice principale, tout aussi froid. Pas d'effets " bouh " dans cet HOTEL. Le but n'est pas de faire sursauter bêtement.
Positif
par Vincent Thabourey
L'absence délibérée d'explications censée nous faire appréhender toute la complexité du monde aboutit cependant à une oeuvre désincarnée dont le feulement final nous laisse bien pensifs.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
En creux, un portrait de l'identité nationale autrichienne que la réalisatrice réduit en confettis [...] Envoûtant.
Télérama
par Jacques Morice
Si l'on veut, un conte de Grimm pour adultes, qui regorge de symboles sur le refoulement sexuel, la pulsion de mort, la volonté de se surpasser. Empreint d'un imaginaire très germanophone, Hôtel impressionne par sa maîtrise, même s'il se complaît parfois dans la répétition abstraite.
Cahiers du Cinéma
par Xavier Tresvaux
En appliquant strictement la recette "moins on en fait, plus ça fait peur", Hausner donne l'impression de laver pendant 80mn le même tee-shirt dans un bain d'encre.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Résultat, Hôtel est une sorte d'objet frigide, déplaisante hybridation entre un formalisme ultra-prétentieux, une radinerie à la Haneke et les épouvantables chroniques sociales cyniques du coin qui inondaient récemment les écrans.
Elle
par Elisabeth Quin
Ce film est un peu le marché Saint-Pierre du fétichisme lynchien. [...] La barbe.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
La peur n'a pas d'objet, telle est l'idée, pas franchement révolutionnaire, avancée par la réalisatrice, qui fait ici étalage d'un savoir faire stérile, nous baladant, non sans complaisance, le long de parois lisses et ennuyeuses qui, à l'image du couloir exploré par la jeune femme, cachent, derrière une obscurité sans fond, une impasse.
Ouest France
Très stylisé jusqu'à en être glacé. L'ennui remplace trop vite les frissons. Ça n'était pas le but recherché.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Ambiance anxiogène, malaise diffus, angoisse exponentielle... un film élégamment stylisé, sans doute métaphorique, mais à la finalité floue.
Zurban
par Claire Vassé
Jessica Hausner sait créer une atmosphère entremêlant rigidité et sensualité. Hélas une atmosphère ne suffit pas à créer un bon film, surtout quand elle donne l'impression de faire du surplace. Très vite ce n'est plus du tout mystère du monde dont bruisse le film mais de sa vacuité.
Paris Match
Jessica Hausner jongle adroitement avec les indices et raconte une histoire effrayante, sans fournir d'explication rationelle. Le climat visuel et sonore se veut dérangeant.
aVoir-aLire.com
Hausner excelle dans le registre de l'indécision et du trouble, tout comme elle nous invite à méditer sur les forces secrètes qui travaillent notre quotidien le plus familier, en pointant du doigt une question propre à chacun : sommes-nous manipulés par des forces obscures ? Et à cette question, elle répond par la décapitation en bonne et due forme des codes du thriller horrifique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Jessica Hausner est spécialiste des jeunes filles mal dans leur peau. [...] Dans Hôtel, c'est l'environnement qui provoque l'angoisse. La cinéaste entend faire ressentir au spectateur, d'une façon hypnotique, l'impersonnalité et la froideur des lieux. [...] Curieux [...] a lui aussi un petit défaut : il est trop systématique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Comme on dit, le film possède les qualités de ses défauts. L'intrigue ne bouge pas, comme tétanisée d'entrée de jeu, à l'image du visage figé d'Irène. Mais cette immobilité est aussi tout le pari de la cinéaste, faire tenir en haleine et sur le qui-vive un spectateur qui ne peut espérer être délivré de ses craintes par aucune décharge spectaculaire (...) Efficace.
MCinéma.com
Il n'y pas forcément grand chose à comprendre, l'essentiel est de se laisser envoûter par l'atmosphère glaciale et le charisme de l'actrice principale, tout aussi froid. Pas d'effets " bouh " dans cet HOTEL. Le but n'est pas de faire sursauter bêtement.
Positif
L'absence délibérée d'explications censée nous faire appréhender toute la complexité du monde aboutit cependant à une oeuvre désincarnée dont le feulement final nous laisse bien pensifs.
Première
En creux, un portrait de l'identité nationale autrichienne que la réalisatrice réduit en confettis [...] Envoûtant.
Télérama
Si l'on veut, un conte de Grimm pour adultes, qui regorge de symboles sur le refoulement sexuel, la pulsion de mort, la volonté de se surpasser. Empreint d'un imaginaire très germanophone, Hôtel impressionne par sa maîtrise, même s'il se complaît parfois dans la répétition abstraite.
Cahiers du Cinéma
En appliquant strictement la recette "moins on en fait, plus ça fait peur", Hausner donne l'impression de laver pendant 80mn le même tee-shirt dans un bain d'encre.
Chronic'art.com
Résultat, Hôtel est une sorte d'objet frigide, déplaisante hybridation entre un formalisme ultra-prétentieux, une radinerie à la Haneke et les épouvantables chroniques sociales cyniques du coin qui inondaient récemment les écrans.
Elle
Ce film est un peu le marché Saint-Pierre du fétichisme lynchien. [...] La barbe.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
La peur n'a pas d'objet, telle est l'idée, pas franchement révolutionnaire, avancée par la réalisatrice, qui fait ici étalage d'un savoir faire stérile, nous baladant, non sans complaisance, le long de parois lisses et ennuyeuses qui, à l'image du couloir exploré par la jeune femme, cachent, derrière une obscurité sans fond, une impasse.
Ouest France
Très stylisé jusqu'à en être glacé. L'ennui remplace trop vite les frissons. Ça n'était pas le but recherché.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Ambiance anxiogène, malaise diffus, angoisse exponentielle... un film élégamment stylisé, sans doute métaphorique, mais à la finalité floue.
Zurban
Jessica Hausner sait créer une atmosphère entremêlant rigidité et sensualité. Hélas une atmosphère ne suffit pas à créer un bon film, surtout quand elle donne l'impression de faire du surplace. Très vite ce n'est plus du tout mystère du monde dont bruisse le film mais de sa vacuité.