Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Marseille mérite qu'on s'y arrête, qu'on se laisse porter par son rythme lent et surprendre par ses audaces de narration.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La nécessité de l'expansion territoriale, l'insupportable exigence de l'unité communautaire, la soudaine remise en question de sa légitimité au contact de l'étranger, la tentation meurtrière qui répond à cette menace : autant de questions qui, sans qu'ils s'y réduisent pour autant, taraudent ces films et semblent remettte sur le métier du jeune cinéma allemand de vieilles hantises qu'on dit aujourd'hui enterrées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Marseille a les défauts de ses qualités, une légère complaisance dans la distanciation et l'aléatoire. Mais cela fait du bien dans un monde où les films sont scotchés au déterminisme et à la causalité.
Synopsis
par Arnaud Malherbe
Angela Schanelec la filme, elle, Sophie, photographiant d'autres sujets. Incroyable audace cinématographique dont la réalisatrice semble se contenter, dont elle se repaît indéfiniment. [...] Grâce soit rendue à la photo (du film) et aux élégants mouvements d'appareils (...), emballage sans objet, mais salvateur.
TéléCinéObs
par François Forrestier
Une odyssée poétique dont le charme est prenant.
Télérama
par Jacques Morice
Extrêmement réfléchie, la mise en scène d'Angela Schanelec, qui signe là son quatrième film, est un modèle de rigueur jamais étouffante. Au contraire. (...) Marseille aboutit à la sensation d'une liberté contrainte, impossible sans les autres et la violence qu'ils exercent. C'est dire si son calme apparent regorge de tension et d'agitation. Mais tout y est révélé finement, de manière à peine perceptible (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
le cheminement du personnage trouve à s'incarner, enfin on a l'impression d'explorer et d'accompagner une intériorité, et pas simplement de la voir illustrée par de beaux plans.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Marseille (...) frôle l'expérimental, en suivant le parcours d'une photographe qui séjourne à Marseille et vit dans une solitude profonde entrecoupée par des rencontres éphémères. Oeuvre déconstruite, cadrage rigoureux, sens poussé du coq-à-l'âne qui fait la part belle aux ellipses spatio-temporelles.
Libération
par Gérard LEFORT
on a sans cesse l'impression que sa belle lenteur pourrait s'arrêter, tel un modèle errant suspend son pas, ayant enfin trouvé la position qui convient aux yeux d'un peintre. Cet art de la stase n'a rien à voir avec la pause, mais avec la science du voyage sur place.
Première
par Gaël Golhen
Cette version allemande du Dogme (DV, errance et refus de toute psychologie) finit par lasser, malgré des instants inspirés (notamment dans Marseille).
Cahiers du Cinéma
Marseille mérite qu'on s'y arrête, qu'on se laisse porter par son rythme lent et surprendre par ses audaces de narration.
Le Monde
La nécessité de l'expansion territoriale, l'insupportable exigence de l'unité communautaire, la soudaine remise en question de sa légitimité au contact de l'étranger, la tentation meurtrière qui répond à cette menace : autant de questions qui, sans qu'ils s'y réduisent pour autant, taraudent ces films et semblent remettte sur le métier du jeune cinéma allemand de vieilles hantises qu'on dit aujourd'hui enterrées.
Les Inrockuptibles
Marseille a les défauts de ses qualités, une légère complaisance dans la distanciation et l'aléatoire. Mais cela fait du bien dans un monde où les films sont scotchés au déterminisme et à la causalité.
Synopsis
Angela Schanelec la filme, elle, Sophie, photographiant d'autres sujets. Incroyable audace cinématographique dont la réalisatrice semble se contenter, dont elle se repaît indéfiniment. [...] Grâce soit rendue à la photo (du film) et aux élégants mouvements d'appareils (...), emballage sans objet, mais salvateur.
TéléCinéObs
Une odyssée poétique dont le charme est prenant.
Télérama
Extrêmement réfléchie, la mise en scène d'Angela Schanelec, qui signe là son quatrième film, est un modèle de rigueur jamais étouffante. Au contraire. (...) Marseille aboutit à la sensation d'une liberté contrainte, impossible sans les autres et la violence qu'ils exercent. C'est dire si son calme apparent regorge de tension et d'agitation. Mais tout y est révélé finement, de manière à peine perceptible (...).
Zurban
le cheminement du personnage trouve à s'incarner, enfin on a l'impression d'explorer et d'accompagner une intériorité, et pas simplement de la voir illustrée par de beaux plans.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Marseille (...) frôle l'expérimental, en suivant le parcours d'une photographe qui séjourne à Marseille et vit dans une solitude profonde entrecoupée par des rencontres éphémères. Oeuvre déconstruite, cadrage rigoureux, sens poussé du coq-à-l'âne qui fait la part belle aux ellipses spatio-temporelles.
Libération
on a sans cesse l'impression que sa belle lenteur pourrait s'arrêter, tel un modèle errant suspend son pas, ayant enfin trouvé la position qui convient aux yeux d'un peintre. Cet art de la stase n'a rien à voir avec la pause, mais avec la science du voyage sur place.
Première
Cette version allemande du Dogme (DV, errance et refus de toute psychologie) finit par lasser, malgré des instants inspirés (notamment dans Marseille).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com