Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par La Rédaction
La fraîcheur, l'impertinence et la vivacité des dialogues mettent en place quelques échanges d'une réjouissante vivacité, un ping-pong verbal qui fait oublier que l'on est en terrain connu et balisé, jusque dans le recours à l'artifice du film dans le film. Le plaisir des mots ne suffit pas à toujours donner de la consistance à une histoire parfois en panne de rythme, dans des scènes étirées. Mais il comble tout un générique épatant de tonus et de vitalité.
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Philippe Harel brode librement son film, illuminé par la grâce de Judith Godrèche, autour de cette Elise à qui rien ne réussit, jusqu'à son point d'orgue.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
C'est pimpant, fruité, et surtout cela épingle avec une belle fantaisie le milieu du spectacle. Dommage qu'Harel, toujours tenté de faire le malin, termine avec une mise en abyme tout à fait inutile (...).
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Aurélien Allin
le réalisateur a quasiment tout faux dans ce film. Tout commence plutôt bien, et la séquence de la cassette démo compilant les exploits d'Elise (pubs, sitcoms, etc...) est plutôt amusante, de même que la façon dont Harel se moque du parisianisme. Puis, le récit s'embourbe dans un rythme pesant, à cause duquel le spectateur a la désagréable impression que le propos ne va nulle part.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Si Philippe Harel nous avait habitué à des films plus audacieux, celui-ci se laisse regarder sans déplaisir grâce à des comédiens qui s'en donnent à coeur joie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Hélas, Philippe Harel a bâclé sa petite comédie : péripéties mollassonnes et seconds rôles prévisibles. Dommage, car il avait dans sa manche une jolie héroïne, proche de ces fausses blondes idiotes des comédies de moeurs cruelles de George Cukor.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
Une comédie inégale (...). Dommage que les bons mots soient noyés dans une traînée de longueurs, et que les situations se répètent. Reste Judith Godrèche, tout simplement parfaite dans ce rôle de bimbo décalée, parfois pleine de bon sens mais néanmoins gourdasse.
Cahiers du Cinéma
par Xavier Tresvaux
Cinéma neutre, cinéma du centre. Dans ses cadres proprets, Harel reproduit le délire modeste de la classe moyenne qui rêve encore d'hier (Les Randonneurs rejouant les Bronzés) en se dédouanant d'aujourd'hui (Extension du domaine de la lutte). (...) Il ne s'agit pas d'incarner une époque mais d'en seriner le refrain. (...) Tu vas rire... propose un traitement par injection de centre à la clinique Bayrou.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Contraint de renoncer à l'adaptation des Particules élémentaires de Michel Houellebecq, Philippe Harel s'est rabattu sur une comédie dans le vent, où le vaudeville des affamés d'aventures sexuelles voisine avec la caricature des coulisses du spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
La Godrèche joue les godiches dans cette comédie ratée sur les acteurs de seconde zone.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Stéphanie Lamome
Difficile de faire tenir toute une comédie censée avoir du rythme sur des castings ratés et des rencontres avortées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par G.D. Jones
Le premier Bridget Jones merde in France, avec sa suite de scènes convenues et conventionnelles (...) et ses sketches pas toujours très drôles. (...) C'est loin d'être honteux, juste ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Score
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Ouest France
La fraîcheur, l'impertinence et la vivacité des dialogues mettent en place quelques échanges d'une réjouissante vivacité, un ping-pong verbal qui fait oublier que l'on est en terrain connu et balisé, jusque dans le recours à l'artifice du film dans le film. Le plaisir des mots ne suffit pas à toujours donner de la consistance à une histoire parfois en panne de rythme, dans des scènes étirées. Mais il comble tout un générique épatant de tonus et de vitalité.
Télé 7 Jours
Philippe Harel brode librement son film, illuminé par la grâce de Judith Godrèche, autour de cette Elise à qui rien ne réussit, jusqu'à son point d'orgue.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
C'est pimpant, fruité, et surtout cela épingle avec une belle fantaisie le milieu du spectacle. Dommage qu'Harel, toujours tenté de faire le malin, termine avec une mise en abyme tout à fait inutile (...).
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
le réalisateur a quasiment tout faux dans ce film. Tout commence plutôt bien, et la séquence de la cassette démo compilant les exploits d'Elise (pubs, sitcoms, etc...) est plutôt amusante, de même que la façon dont Harel se moque du parisianisme. Puis, le récit s'embourbe dans un rythme pesant, à cause duquel le spectateur a la désagréable impression que le propos ne va nulle part.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Si Philippe Harel nous avait habitué à des films plus audacieux, celui-ci se laisse regarder sans déplaisir grâce à des comédiens qui s'en donnent à coeur joie.
Télérama
Hélas, Philippe Harel a bâclé sa petite comédie : péripéties mollassonnes et seconds rôles prévisibles. Dommage, car il avait dans sa manche une jolie héroïne, proche de ces fausses blondes idiotes des comédies de moeurs cruelles de George Cukor.
Zurban
Une comédie inégale (...). Dommage que les bons mots soient noyés dans une traînée de longueurs, et que les situations se répètent. Reste Judith Godrèche, tout simplement parfaite dans ce rôle de bimbo décalée, parfois pleine de bon sens mais néanmoins gourdasse.
Cahiers du Cinéma
Cinéma neutre, cinéma du centre. Dans ses cadres proprets, Harel reproduit le délire modeste de la classe moyenne qui rêve encore d'hier (Les Randonneurs rejouant les Bronzés) en se dédouanant d'aujourd'hui (Extension du domaine de la lutte). (...) Il ne s'agit pas d'incarner une époque mais d'en seriner le refrain. (...) Tu vas rire... propose un traitement par injection de centre à la clinique Bayrou.
Le Monde
Contraint de renoncer à l'adaptation des Particules élémentaires de Michel Houellebecq, Philippe Harel s'est rabattu sur une comédie dans le vent, où le vaudeville des affamés d'aventures sexuelles voisine avec la caricature des coulisses du spectacle.
Les Inrockuptibles
La Godrèche joue les godiches dans cette comédie ratée sur les acteurs de seconde zone.
Première
Difficile de faire tenir toute une comédie censée avoir du rythme sur des castings ratés et des rencontres avortées.
Score
Le premier Bridget Jones merde in France, avec sa suite de scènes convenues et conventionnelles (...) et ses sketches pas toujours très drôles. (...) C'est loin d'être honteux, juste ennuyeux.