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    Sin City
    Note moyenne
    3,6
    34 titres de presse
    • Chronic'art.com
    • L'Ecran Fantastique
    • Le Figaro
    • Le Figaroscope
    • MCinéma.com
    • Paris Match
    • Score
    • Studio Magazine
    • aVoir-aLire.com
    • Brazil
    • Cahiers du Cinéma
    • Ciné Live
    • Cinéastes
    • L'Express
    • Ouest France
    • Première
    • Rolling Stone
    • Variety
    • Chronic'art.com
    • Elle
    • Libération
    • Libération
    • Mad Movies
    • Positif
    • TéléCinéObs
    • Télérama
    • Télérama
    • Zurban
    • Fluctuat.net
    • L'Humanité
    • Le Monde
    • Le Point
    • Les Inrockuptibles
    • The Hollywood Reporter

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    34 critiques presse

    Chronic'art.com

    par Vincent Malausa

    (...) voici Sin city, vrai grand film, modeste et sans le moindre effet de petit malin, immense dans sa géniale nudité.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    L'Ecran Fantastique

    par Julie Deh

    (...) un film d'un genre nouveau, à la fois atypique, novateur et non reproductible - un spectacle rare à l'ambiance prégnante.

    Le Figaro

    par Dominique Borde

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Figaroscope

    par Jean-Luc Wachthausen

    Sin city : un brillant exercice de style doublé d'un hommage virtuose au film noir, à son esthétique et à son univers impitoyable où la mort et l'amour rôdent (...)Tout s'enchaîne à un rythme d'enfer et devient prétexte à des scènes d'action hallucinantes (...) Sin City, un vrai " pulp movie " qui marque le mariage réussi du septième et du neuvième art, ce qui n'a jamais été évident.

    MCinéma.com

    par Aurélien Allin

    (critique cannoise) (...)la symbiose entre la BD et son adaptation est totale. C'est justement cette identité profonde qui fait de Sin city une oeuvre extraordinaire et intimement originale, créant jouissance et fascination. Au final, ce film qui en rebutera plus d'un, est un monolithe imposant qui marquera son temps par sa singularité et le jusqu'au boutisme de sa démarche.

    Paris Match

    par Alain Spira

    Choc visuel, électrochoc sensoriel, exercice de style éblouissant, mais aussi film d'action tarantinesque, Sin city reste fidèle à l'univers tragico-trash de Frank Miller, qui révolutionna l'art des comics au début des années 90, et à sa dimension littéraire.

    Score

    par Pete Wakefield

    L'esthétique noir et blanc est cadrée avec juste ce qu'il faut d'exagération pour être "comics", et le montage dose parfaitement les mouvements rugueux et âpres des histoires. [...] Reste cet infime, mais constant, voile de second degré, une ambiance de fête "entre copains"... C'est énervant mais il faut savoir s'incliner devant une telle volonté sans compromis.

    La critique complète est disponible sur le site Score

    Studio Magazine

    par Jean-Pierre Lavoignat

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    aVoir-aLire.com

    par Romain Le Vern

    Robert Rodriguez parvient par la concentration de ses moyens et la généreuse collaboration de Frank Miller au story-board et au scénario à signer ce qui ressemble à ce jour comme son film-gadget le plus ambitieux et le plus réussi.

    Brazil

    par Christophe Goffette

    "Sin City" est une belle surprise, au sens graphique du terme. Réellement proche du comics du même nom [...] un film très réussit quoiqu'un peu longuet par instants.

    Cahiers du Cinéma

    par Stéphane Delorme

    Fidélité parfaite à trois histoires originales du grand romancier Miller, fidélité parfaite aux angles déjà cinéphiles du grand dessinateur Miller, le monde de Sin City retourne à son inspiration première : le film noir (...) Ce ne sont pas des fans qui rendent des hommages, mais des fanatiques qui posent des bombes. Et si les bombes explosent avec tact, c'est qu'au coeur de la tourmente, des personnages résistent et avancent toujours (...)

    La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma

    Ciné Live

    par Emmanuel Girode

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

    Cinéastes

    par Izumi Gautier

    La vraie qualité de Sin City, c'est qu'à défaut de réfléchir sur le support dont il est né, il s'en sert (...) Sin City ne représente pas pour autant une ouverture dans l'adaptation de bande-dessinée ; sa valeur, il la doit au fait qu'il soit unique, que son univers soit farouchement innovant et différent. Ironique pour un genre qui est aussi caractérisé par les suites...

    La critique complète est disponible sur le site Cinéastes

    L'Express

    par Julien Welter

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Ouest France

    par La rédaction

    Robert Rodriguez et Frank Miller ont essentiellement privilégié la démonstration visuelle. Elle est époustouflante, dans une recherche esthétique de toutes les images. Un noir et blanc constant, seulement troué de quelques rares éclairs de rouge, de vert ou de bleu. On est bluffé par la réussite de cette recherche qui installe une vraie complicité des deux univers du cinéma et de la bande dessinée. (...) Si Bruce Willis s'y complaît dans un registre monotone et monocorde qui lui est trop habituel, le reste du casting est plus convaincant. Avec une place à part pour Mickey Rourke. Masqué et grimé, il se livre à une pathétique composition qui fait regretter de ne pas le voir plus souvent à l'affiche.

    Première

    par Gérard Delorme

    Les qualités du film surpassent ses défauts. "Sin city" capture l'essence même du film noir en isolan ses éléments les plus représentatifs et en les amplifiant.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Rolling Stone

    par Grégory Alexandre

    Robert Rodriguez réalise sans conteste l'adaptation BD-ciné la plus plastiquement osée... et aboutie. [...] Le truc =, c'est que si le tourbillon visuel fascine, tout comme le casting insensé ou l'exacerbation des personnalités [...] c'est parfois au détriment d'une intrigue filandreuse et un chouïa bavarde [...] un petit bémol au détriment de cet hallucinant OVNI.

    Variety

    par Todd McCarthy

    (critique cannoise) Outre une formidable énergie, la première partie contient un humour sardonique et une douceur qui font ensuite cruellement défaut (...)[Rodriguez] est brillant ; sa réalisation (...) synthétise de manière sublime les influences du roman graphique et du film noir (...) A tous points de vue (scénario, interprétation, technologie), le résultat est plus satisfaisant que Sky Captain, film aux prétentions comparables sorti l'an dernier.

    Chronic'art.com

    par Guillaume Loison

    (critique cannoise) (...) comme toujours chez le prolifique bricoleur qu'est Robert Rodriguez surnage une énergie, une candeur franchement sympathique pouvant gommer ça et là le tissage de fil blanc de son cinéma (....) le film est atrocement lisse et prévisible, condamnant les personnages (malgré les acteurs) au rang de vignette inanimée, évacuant une ironie aux petits pieds.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    Elle

    par Elisabeth Quin

    Tout cela est du beau boulot d'as de l'informatique. Mais totalement crétin sur le fond [...] le scénario est dangereusement dénué de substance et les péchés promis plutôt véniels.

    Libération

    par Bayon

    Sin City est demeuré, comme la BD en général, sous-culture préfigurant celle du story-board, mais pas mal. A condition de ne se soucier ni de l'intrigue, ni du fascisme de fond (...), on regarde les trois courts métrages de la "Ville du Mal", emboîtés à la Kill Fiction. Deux raisons à cette complaisance : le maniérisme noir et blanc incrusté de couleur fluo à la Captain Sky récent, en reprint de Rumble Fish qui copiait Jacques Tati (Jour de fête) ; et la distribution - sans compter le cul.

    Libération

    par Marie-Noëlle Tranchant

    Il y a là une virtuosité formelle étincelante (...) au service d'une sublimation clip des atmosphères du film noir (...) Selon les tempéraments et les cultures, ou bien on se sentira transporté au septième ciel au milieu de ces prouesses visuelles qui composent un enfer abstrait et sophistiqué, ou on trouvera assez vite fastidieuse cette poésie artificieuse (...)

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Mad Movies

    par Stéphane Moïssakis

    Ce n'est pas tant le nom de Robert Rodriguez associé au projet que nous pouvions craindre [...] mais plutôt sa volonté absurde de reprendre les intrigues telles quelles et de simplement les interpréter pour le cinéma. [...] En outre cerataines séquences se distinguent aussi quand elles ne sont pas "shot&cut" par Rodriguez himself (LA séquence de Tarantino). Certes ce n'est pas grand chose mais c'est ce qui nous permet de voir le verre à moitié plein.

    La critique complète est disponible sur le site Mad Movies

    Positif

    par Pierre Eisenreich

    Dénué de personnalité, Sin City apparaît comme un objet d'une belle facture technique, dont l'intérêt bien mince, repose sur la performance surprenante de Mickey Rourke et sur la communauté des prostituées faisant la loi dans la Old Town.

    La critique complète est disponible sur le site Positif

    TéléCinéObs

    par Xavier Leherpeur

    Les époustouflantes qualités formelles du film (...) ne parviennent pas (...) à masquer la faiblesse du scénario (trois histoires à la connexion peu convaincante) et une ambiguë apologie de la violence et de la loi du talion.

    La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs

    Télérama

    par Pierre Murat

    On est dans un somptueux Guignol noir et numérique, dont la perfection technique force l'admiration. Même si le rythme en permanence survolté finit, à la longue, par provoquer un ennui poli. Et si on se lasse, par moments, de voir des comédiens talentueux s'efforcer de donner un peu de chair à des esquisses très caricaturales.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Télérama

    par Pierre Murat

    (critique cannoise) Tout cela est somptueusement imaginé et réalisé. Si l'on excepte les Batman réalisés par Tim Burton, c'est la première fois qu'une B.D. conserve, à l'écran, 100 % de sa force et de son invention. La réussite est évidente, même si une lassitude finit par naître de ce rythme survolté et survitaminé, de ces comédiens talentueux qui tentent, tant bien que mal, de donner chair à des esquisses de personnages.

    Zurban

    par Véronique le Bris

    Le noir et blanc rehaussé de couleurs crues est sublime, le casting étourdissant, même s'il n'est pas toujours utilisé au mieux (Mickey Rourke est de loin le plus méconnaissable et le plus passionnant). Dommage qu'un tel travail artistique soit au service d'un vide narratif aussi abyssal. Tellement fidèle à l'original que seuls les fans de la BD apprécieront. Les autres risquent de se lasser sur la durée, une fois le plaisir des yeux assouvi.

    Fluctuat.net

    par Jérôme Dittmar

    Alors que faire, penser, voir devant Sin City, le film ? Pas grand-chose. Un bombardement monochrome d'images mouchetées ou tachées de couleurs sature le cerveau jusqu'à annihilation de la perception. On croule sous une nostalgie obsessionnelle et adolescente du pulp, transformant le néo-noir en variations de vignettes où les jeux d'ombres se succèdent jusqu'à la confusion.

    L'Humanité

    par Michel Guilloux

    (critique cannoise) (...) adapter une bande dessinée semble avoir fourni l'alibi parfait d'un déluge de violence spectaculaire, forcément désamorcée, hein, puisque c'est du second degré (...) Dans le genre, on aura préféré El Mariachi et Desperado, premiers films du même Robert Rodriguez, dans lesquels l'absence d'argent était comblée par une créativité plus éclatante.

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    (critique cannoise) Engoncés dans leurs stéréotypes, dissimulés sous leur maquillage et le traitement digital de la couleur, les acteurs se contentent d'animer des silhouettes en deux dimensions (...) La vanité du projet serait totale s'il ne permettait pas de constater à quel point le cinéma et la bande dessinée (...) sont irréductibles l'un à l'autre.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Point

    par François-Guillaume Lorrain

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    (...) ce film est une surface plane et lisse (malgré ses scènes gore), privée de profondeur et d'incarnation, un assemblage peu convaincant de grumeaux d'histoires, de bribes de pauses et d'attitudes, de clichés de roman noir poussés dans le rouge. Ce film est au film noir ce que certains groupes de heavy-metal sont au blues : une copie un peu ridicule à force de surgonflette, faisant certes beaucoup de bruit mais totalement dépourvue de sensualité ou de mystère.

    The Hollywood Reporter

    par Kirk Honeycutt

    (critique cannoise)Le problème majeur est qu'au bout de dix minutes, on a vu toutes les astuces du film (...) Le pessimisme, voire le nihilisme, ont certes toujours traversé la littérature et le cinéma. Mais ici, cette attitude sonne faux, ressemble davantage à une pose branchouille qu'à une conviction sincère.

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