Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Elle
par Elisabeth Quin
La brièveté de la vie, et l'importance d'en jouir: une "vanité", une bague à tête de mort offerte subrepticement, est le symbole de cet hymne à la vie (...). On oserait bien le mot "biblique". On s'en tiendra à "magnifique".
Première
par Christophe Narbonne
Dans son style direct si caractéristique, Berri alterne des scènes d'une intensité émotionnelle rare (...) avec des moments de pure comédie (...), renvoyant une image contrastée de l'homme, cet animal aussi attachant qu'inconstant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par G.D Jones
Berri filme avec une franchise et une violence stupéfiantes sa rage et sa douleur. Rarement un homme de pouvoir se sera autant montré en situation de faiblesse. Et c'est précisément ce qui rend cette comédie dramatique en apparence anecdotique, vertigineuse.
La critique complète est disponible sur le site Score
France Soir
par Richard Gianorio
Si le réalisateur a réussi son film, c'est sans doute parce qu'il parle de lui. Et si son film séduit, c'est parce qu'il n'a pas peur des sentiments quitte à tirer trop fort sur les cordes sensibles. Les défauts de L'Un reste, l'autre part font aussi ses qualités et sa surcharge émotionnelle est souvent touchante.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
MCinéma.com
par Caroline Collard
Entre drame et comédie, Claude Berri nous livre une chronique douce amère des amours quinquagénaires. Des amours d'autant plus touchantes que les protagonistes y sont toujours sincères, malgré des illusions forcément envolées. (...) Moins caustique et crépusculaire que LES INVASIONS BARBARES, L'UN RESTE, L'AUTRE PART pourrait cependant ressembler à un de ses cousins lointains, en plus léger. Pour un plaisir partagé.
Ouest France
par La rédaction
c'est la sincérité et l'authenticité qui d'abord imprègnent cette comédie. Tous ses interprètes l'ont bien compris qui gambadent avec entrain et chaleur sur la palette de toutes les émotions.
Paris Match
par Christine Haas
Mêlant le drame et la comédie, Claude Berri poursuit la part autobiographique de son oeuvre tout en auscultant les relations humaines. (...) La banalité de l'histoire est aussi sa plus touchante qualité.
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Cinq ans après l'échec de la Débandade, Berri divise son (auto)portrait de sexagénaire germanopratin. Et passe la main à deux stars, Arditi et Auteuil, à qui il impose la même exigence qu'à lui-même en 1999: se mettre à nu, métaphoriquement (...) ou littéralement (...). Démonstration d'(im)puissance, à quoi manque hélas l'audace avec laquelle le seigneur du cinéma français s'affichait jadis sombre et décrépit.
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
par Stéphane Lam
Les lacunes liées au manque d'épaisseur des personnages, et au manque d'audace cinématographique, sont en partie compensées par un casting inspiré et prestigieux, Berri nous offre un film dont l'ambition est, comme souvent chez lui, asymétrique et disproportionnelle à son indéniable talent de cinéaste, mais érige une forme de représentation originale de la vérité et de la beauté en faisant triompherl'Asymétrie compensante et récompensée.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
Le titre laisse entrevoir la suite. Tout cela est mené au pas du théâtre de boulevard, encore qu'à vouloir viser à la profondeur, référence Claude Sautet, le rythme en vient à faiblir. Trop de scrupule nuit, faisant regretter Labiche, Feydeau, Musset et Guitry.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Claude Berri organise un petit remue-ménage sentimental et famillial. Cela fait plus de poussière que d'étincelles. C'est banal et touchant comme une vielle rengaine, un peu facile, un peu usée, mais ravivée par des interprètes de choix.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
sans vouloir incriminer Daniel Auteuil, sans reproches, on regrette que Claude Berri ne soit pas allé jusqu'au bout de sa mise à nu, comme il l'avait fait dans La Débandade en interprétant lui-même l'homme blessé ressuscité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier PERON
Claude Berri poursuit l'étude de lui-même via une comédie dramatique où il se montre sous les traits de Daniel Auteuil. (...) Mais le film est trop soft pour toucher vraiment, et Berri reste un cinéaste trop conscient de ses limites pour oser mettre à sac les conventions qui l'étreignent.
Rolling Stone
par La Rédaction
Agréable, bien joué, sans plus.
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Suspense annoncé et résumé par le titre: lequel restera sous le toit conjugal, lequel partira à l'aventure ? Dire que tout cela nous bouleverse serait excessif. Mais Berri sachant, quand il veut, raconter une histoire et rendre ses personnages attachants, le tout se regarde sans déplaisir.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
un tableau un peu creux du nouveau désordre amoureux.
Télérama
par Louis Guichard
contrairement à Allen, Claude Berri ne mise guère sur la confusion des deux registres. Plutôt sur leur collision, qui, en fait, ne produit pas d'étincelle particulière. Le film s'appréhende donc par morceaux inégaux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
L'Un reste, l'autre part n'est pas le meilleur film de Berri. Mais c'est peut-être le plus personnel et le plus émouvant. Parce que le réalisateur abuse du vaudeville pour masquer une tragédie , aidé en cela par une éblouissante brochette d'acteurs qui font de ce film un hymne à la vie (...).
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Peu convaincant dans son écriture et dans ses choix de découpages (...), L'Un reste, l'autre part peine à donner de l'ampleur à son propos et suit sagement ces rails parallèles un peu trop figés, au gré d'une mise en scène plate, particulièrement alourdie par sa partie vaudevillesque.
Positif
par Fabien Baumann
Le cinéaste nous convie hélas à un vaudeville daté où l'on honore sa maîtresse en guêpière dans des chambres d'hôtel chic, où les épouses soupçonnent et où les les belles-soeurs épient. Daté et complaisant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Emmanuelle Cocud
Une histoire d'adultère de plus, en forme de comédie de moeurs qui cherche à nous faire pleurer et rire. Mais son réalisateur, peut-être par un manque de réflexion dû à trop de "tics", n'a fait qu'accumuler poncifs et humour gentillet sur les rapports de couple, paroles éculées d'amour et de paix.
Elle
La brièveté de la vie, et l'importance d'en jouir: une "vanité", une bague à tête de mort offerte subrepticement, est le symbole de cet hymne à la vie (...). On oserait bien le mot "biblique". On s'en tiendra à "magnifique".
Première
Dans son style direct si caractéristique, Berri alterne des scènes d'une intensité émotionnelle rare (...) avec des moments de pure comédie (...), renvoyant une image contrastée de l'homme, cet animal aussi attachant qu'inconstant.
Score
Berri filme avec une franchise et une violence stupéfiantes sa rage et sa douleur. Rarement un homme de pouvoir se sera autant montré en situation de faiblesse. Et c'est précisément ce qui rend cette comédie dramatique en apparence anecdotique, vertigineuse.
France Soir
Si le réalisateur a réussi son film, c'est sans doute parce qu'il parle de lui. Et si son film séduit, c'est parce qu'il n'a pas peur des sentiments quitte à tirer trop fort sur les cordes sensibles. Les défauts de L'Un reste, l'autre part font aussi ses qualités et sa surcharge émotionnelle est souvent touchante.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Entre drame et comédie, Claude Berri nous livre une chronique douce amère des amours quinquagénaires. Des amours d'autant plus touchantes que les protagonistes y sont toujours sincères, malgré des illusions forcément envolées. (...) Moins caustique et crépusculaire que LES INVASIONS BARBARES, L'UN RESTE, L'AUTRE PART pourrait cependant ressembler à un de ses cousins lointains, en plus léger. Pour un plaisir partagé.
Ouest France
c'est la sincérité et l'authenticité qui d'abord imprègnent cette comédie. Tous ses interprètes l'ont bien compris qui gambadent avec entrain et chaleur sur la palette de toutes les émotions.
Paris Match
Mêlant le drame et la comédie, Claude Berri poursuit la part autobiographique de son oeuvre tout en auscultant les relations humaines. (...) La banalité de l'histoire est aussi sa plus touchante qualité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Cinq ans après l'échec de la Débandade, Berri divise son (auto)portrait de sexagénaire germanopratin. Et passe la main à deux stars, Arditi et Auteuil, à qui il impose la même exigence qu'à lui-même en 1999: se mettre à nu, métaphoriquement (...) ou littéralement (...). Démonstration d'(im)puissance, à quoi manque hélas l'audace avec laquelle le seigneur du cinéma français s'affichait jadis sombre et décrépit.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Les lacunes liées au manque d'épaisseur des personnages, et au manque d'audace cinématographique, sont en partie compensées par un casting inspiré et prestigieux, Berri nous offre un film dont l'ambition est, comme souvent chez lui, asymétrique et disproportionnelle à son indéniable talent de cinéaste, mais érige une forme de représentation originale de la vérité et de la beauté en faisant triompherl'Asymétrie compensante et récompensée.
L'Express
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L'Humanité
Le titre laisse entrevoir la suite. Tout cela est mené au pas du théâtre de boulevard, encore qu'à vouloir viser à la profondeur, référence Claude Sautet, le rythme en vient à faiblir. Trop de scrupule nuit, faisant regretter Labiche, Feydeau, Musset et Guitry.
Le Figaroscope
Claude Berri organise un petit remue-ménage sentimental et famillial. Cela fait plus de poussière que d'étincelles. C'est banal et touchant comme une vielle rengaine, un peu facile, un peu usée, mais ravivée par des interprètes de choix.
Le Monde
sans vouloir incriminer Daniel Auteuil, sans reproches, on regrette que Claude Berri ne soit pas allé jusqu'au bout de sa mise à nu, comme il l'avait fait dans La Débandade en interprétant lui-même l'homme blessé ressuscité.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Claude Berri poursuit l'étude de lui-même via une comédie dramatique où il se montre sous les traits de Daniel Auteuil. (...) Mais le film est trop soft pour toucher vraiment, et Berri reste un cinéaste trop conscient de ses limites pour oser mettre à sac les conventions qui l'étreignent.
Rolling Stone
Agréable, bien joué, sans plus.
Télé 7 Jours
Suspense annoncé et résumé par le titre: lequel restera sous le toit conjugal, lequel partira à l'aventure ? Dire que tout cela nous bouleverse serait excessif. Mais Berri sachant, quand il veut, raconter une histoire et rendre ses personnages attachants, le tout se regarde sans déplaisir.
TéléCinéObs
un tableau un peu creux du nouveau désordre amoureux.
Télérama
contrairement à Allen, Claude Berri ne mise guère sur la confusion des deux registres. Plutôt sur leur collision, qui, en fait, ne produit pas d'étincelle particulière. Le film s'appréhende donc par morceaux inégaux.
Zurban
L'Un reste, l'autre part n'est pas le meilleur film de Berri. Mais c'est peut-être le plus personnel et le plus émouvant. Parce que le réalisateur abuse du vaudeville pour masquer une tragédie , aidé en cela par une éblouissante brochette d'acteurs qui font de ce film un hymne à la vie (...).
Les Inrockuptibles
Peu convaincant dans son écriture et dans ses choix de découpages (...), L'Un reste, l'autre part peine à donner de l'ampleur à son propos et suit sagement ces rails parallèles un peu trop figés, au gré d'une mise en scène plate, particulièrement alourdie par sa partie vaudevillesque.
Positif
Le cinéaste nous convie hélas à un vaudeville daté où l'on honore sa maîtresse en guêpière dans des chambres d'hôtel chic, où les épouses soupçonnent et où les les belles-soeurs épient. Daté et complaisant.
aVoir-aLire.com
Une histoire d'adultère de plus, en forme de comédie de moeurs qui cherche à nous faire pleurer et rire. Mais son réalisateur, peut-être par un manque de réflexion dû à trop de "tics", n'a fait qu'accumuler poncifs et humour gentillet sur les rapports de couple, paroles éculées d'amour et de paix.