Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Fabienne Andrevon
Un premier film rondement mené, efficace et surprenant, qui nous entraîne sur le territoire du fantasme sexuel, en nous promenant du romantisme à la perversité et de l'humour à l'horreur. Cocktail au goût pervers.
Les Inrockuptibles
par la rédaction
Un film d'horreur angoissant avec une poupée en guest-star.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Romain DUCHESNES
Love Object fonctionne donc moins comme un thriller psychologique aussi réjouissantes qu'en soient les implications, on ne croit pas vraiment à cette idylle de plastique que comme un thriller tout court. Sur ce plan, il bénéficie d'un scénario machiavélique, froidement satisfaisant dans ses partis pris jusqu'au-boutistes, et qui force la sympathie.
Première
par Gérard Delorme
Love object est un vrai film d'horreur qui préfère s'amuser avec son sujet plutôt que d'en faire une thèse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Robert Parigi signe un thriller érotique convaincant qui tout en fleurtant avec le fantastique, garde un réalisme froid et une psychologie quasi clinique. De cette ambiguité entre réalité et fantasme naît l'inquiétante étrangeté du film.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Un thriller bancal mais futé sur la frustration sexuelle, avec une conclusion audacieuse.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
La propension du réalisateur à stigmatiser ce qu'il semble considérer comme des déviances sexuelles détruit peu à peu la construction subtile et brillante de la première partie d'un film audacieux. Dommage.
Aden
par Philippe Piazzo
Le plus horrible est le traitement que le réalisateur inflige à son scénario (et au spectateur) : effets prévisibles, effroi au rabais, étrangeté épinglée sur le front de l'acteur... Ed Wood, dors tranquille, la relève est assurée.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Ophélie Wiel
C'est (...) lors de la première confrontation entre le héros et la poupée -aboutissant à la consommation expéditive de la marchandise- que Love object acquiert son identité de film laid. Au bout du compte, Love object n'est qu'une accumulation d'idées avortées ou ratées.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Ecran Fantastique
Un premier film rondement mené, efficace et surprenant, qui nous entraîne sur le territoire du fantasme sexuel, en nous promenant du romantisme à la perversité et de l'humour à l'horreur. Cocktail au goût pervers.
Les Inrockuptibles
Un film d'horreur angoissant avec une poupée en guest-star.
Libération
Love Object fonctionne donc moins comme un thriller psychologique aussi réjouissantes qu'en soient les implications, on ne croit pas vraiment à cette idylle de plastique que comme un thriller tout court. Sur ce plan, il bénéficie d'un scénario machiavélique, froidement satisfaisant dans ses partis pris jusqu'au-boutistes, et qui force la sympathie.
Première
Love object est un vrai film d'horreur qui préfère s'amuser avec son sujet plutôt que d'en faire une thèse.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Robert Parigi signe un thriller érotique convaincant qui tout en fleurtant avec le fantastique, garde un réalisme froid et une psychologie quasi clinique. De cette ambiguité entre réalité et fantasme naît l'inquiétante étrangeté du film.
aVoir-aLire.com
Un thriller bancal mais futé sur la frustration sexuelle, avec une conclusion audacieuse.
MCinéma.com
La propension du réalisateur à stigmatiser ce qu'il semble considérer comme des déviances sexuelles détruit peu à peu la construction subtile et brillante de la première partie d'un film audacieux. Dommage.
Aden
Le plus horrible est le traitement que le réalisateur inflige à son scénario (et au spectateur) : effets prévisibles, effroi au rabais, étrangeté épinglée sur le front de l'acteur... Ed Wood, dors tranquille, la relève est assurée.
Chronic'art.com
C'est (...) lors de la première confrontation entre le héros et la poupée -aboutissant à la consommation expéditive de la marchandise- que Love object acquiert son identité de film laid. Au bout du compte, Love object n'est qu'une accumulation d'idées avortées ou ratées.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr