Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Parisien
par Marie Sauvion
Tavernier signe une oeuvre forte et vraie, qui va droit au coeur. Très documenté, le scénario raconte un bouleversant parcours du combattant mais offre aussi, voire surtout, un magnifique portrait de couple.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Danièle Heymann
Assez vite, on cesse de résister, de s'irriter, on s'embarque pour ce voyage où la misère est présente et l'espérance est violente (...). Holy Lola devient un film très fort sur le désir d'enfant viscéral, total.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Bertrand Tavernier filme ce temps de latence, de doute puis de reconnaissance avec une justesse infinie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Un Tavernier troublant de vérité. (...) Holy Lola porte la marque profonde, décisive, d'une expérience vécue à vif, sans réticence, à l'écoute des autres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Jean Roy
Face à une telle volonté d'exhaustivité, les ronchons ne manqueront pas de voir là une introduction à des Dossiers de l'écran davantage qu'une oeuvre de l'esprit : on pourra au moins leur répondre que tout procède ici de la démonstration et jamais du chantage aux sentiments. Pourtant, c'est bien au coeur que s'adresse, comme toujours, Bertrand Tavernier, dans un élan de générosité évident qui vise davantage à comprendre ses semblables qu'à les juger.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Par moments, le point de vue du consommateur s'impose, (...) le film peut alors susciter la gêne. L'enjeu est ailleurs (...) : qu'est-ce que cela signifie de tourner aujourd'hui un film dans un pays martyrisé, dans un ville où chaque visage, chaque regard porte la marque de l'horreur vécue (...) : Holy Lola contient la réponse à la question, le film est la réponse, et au-delà de sa qualité documentaire, (...) il relève de l'autoportrait : qui sommes-nous, nous qui en passant considérons cette réalité-là ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
" Holy Lola " est une oeuvre sur la douleur : douleur des couples qui n'ont pas d'enfants, malheur des petits orphelins, désespérance d'un pays massacré. Beaucoup d'émotions, donc. Peut-être trop. On se passerait volontiers des dernières péripéties qu'endure le couple. Mais Bertrand Tavernier signe là néanmoins un film foisonnant, sincère, avec un couple formidable : Jacques Gamblin et Isabelle Carré.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Les scènes filmées caméra sur l'épaule transfusent ses sentiments. Elles sont au diapason de l'élan rythmique apporté par le compositeur Henri Texier, de la sincérité d'un cinéaste qui, d'un film à l'autre, se remet en question. Holy Lola est peut-être un film mineur dans la carrière de ce bouillant insurgé. Il y libère néanmoins, comme jamais, cette émotion qui est sa marque de fabrique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Camille Brun
Bertrand Tavernier n'est plus cinéaste, mais reporter pour " Madame Figaro " ! C'est en tout cas ce que laissent présager les premières minutes de HOLY LOLA. (...) Pourtant, petit à petit, HOLY LOLA, long métrage habile, dévoile tous ses charmes. (...) Cela, on le doit en partie à la mise en scène de Bertrand Tavernier, pas sublime mais, au plus près des personnages, efficace. Et surtout à Isabelle Carré et Jacques Gamblin, saisissants de naturel et de charisme.
Positif
par Jean A. Gili
Holy Lola est un film déroutant, à mi-chemin entre le documentaire et la fiction, à mi-chemin entre le récit traditionnel, avec les ressorts dramatiques qui entretiennent le suspense, et la chronique ordinaire d'une recherche sans cesse entravée et sans cesse recommencée pour parvenir à adopter un enfant.
Première
par Sophie Grassin
On est submergé par la lame de fond d'une émotion intense, le flirt entre documentaire (...) et fiction, l'intelligence spontanée des acteurs, la lumière sublime, les symboles fragiles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Isabelle Danel
Comme souvent chez Tavernier, le scénario est très documenté, parfois trop -ça déborde de notations d'anecdotes, là où parfois, un silence en dit plus long. (...) Et puis (...) Tavernier réussit l'impossible : il capte les abîmes secrets.
Zurban
par Eric Quéméré
Si le résultat n'est pas exempt de maladresses, notamment dans la volonté du cinéaste de se montrer aussi exhaustif que possible, Holy Lola parvient pourtant à livrer le portrait bouleversant de protagonistes dont le désir d'enfant est si fort qu'il les poussera à affronter les pires embûches.
Aden
par Philippe Piazzo
Ce qui gâche ce bel élan, c'est le récit, le scénario qui se charge de nous expliquer ce que la mise en scène fait passer intuitivement. (...) Dans cette chronique (façon Une semaine de vacances ou Ça commence aujourd'hui) à l'autre bout du monde, ce qui porte le film à bout de bras, quitte à se sentir ballotté, c'est la fougue du cinéaste. Sa détermination. On aime toujours autant son pas de charge, un peu moins l'itinéraire très fléché qu'il a pris ce coup-ci.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Phillipe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Alex Masson
Film pesant et didactique sur le Cambodge, malgré quelques trouées documentaires sous l'influence Rithy Panh.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
Tout au long de cette fiction documentée, voire documentarisée, Bertrand Tavernier a trop souvent le cri de colère lourdaud dans sa volonté de ne rien oublier de ce qu'il veut dénoncer en dressant son état des lieux. (...) On y ressent comme une pesanteur qui ralentit quelque peu le rythme de cette épopée. Et pourtant, (...) c'est quand même l'expression des sentiments qui prévaut toujours tout au long de cette histoire qui pourrait être vraie.
aVoir-aLire.com
par Nicolas Journet
Le scénario écrit par Tiffany Tavernier et Dominique Sampiero préfère se lancer dans la démonstration, la construction d'un film à thème voire à thèse. Ce désir aurait pu s'exprimer avec force dans un documentaire, mais s'enlise dans la lourdeur au contact de la fiction.Dommage pour Jacques Gamblin et Isabelle Carré qui forment un bien joli couple (...). Dommage pour Bertrand Tavernier qui est loin d'être un mauvais réalisateur.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Un mot dit tout ça : cinéma démago. Une crainte le résume : attendre, tout au long de ces deux longues heures de métrage, que surgisse d'un pousse-pousse Philippe Torreton venu redresser les torts, héros positifs venu remonter le moral des autres héros positifs -imparfaits, humains quoi, mais positifs. Ça n'arrive pas, mais c'était moins une.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Parisien
Tavernier signe une oeuvre forte et vraie, qui va droit au coeur. Très documenté, le scénario raconte un bouleversant parcours du combattant mais offre aussi, voire surtout, un magnifique portrait de couple.
Marianne
Assez vite, on cesse de résister, de s'irriter, on s'embarque pour ce voyage où la misère est présente et l'espérance est violente (...). Holy Lola devient un film très fort sur le désir d'enfant viscéral, total.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Bertrand Tavernier filme ce temps de latence, de doute puis de reconnaissance avec une justesse infinie.
Télérama
Un Tavernier troublant de vérité. (...) Holy Lola porte la marque profonde, décisive, d'une expérience vécue à vif, sans réticence, à l'écoute des autres.
L'Humanité
Face à une telle volonté d'exhaustivité, les ronchons ne manqueront pas de voir là une introduction à des Dossiers de l'écran davantage qu'une oeuvre de l'esprit : on pourra au moins leur répondre que tout procède ici de la démonstration et jamais du chantage aux sentiments. Pourtant, c'est bien au coeur que s'adresse, comme toujours, Bertrand Tavernier, dans un élan de générosité évident qui vise davantage à comprendre ses semblables qu'à les juger.
L'Obs
Par moments, le point de vue du consommateur s'impose, (...) le film peut alors susciter la gêne. L'enjeu est ailleurs (...) : qu'est-ce que cela signifie de tourner aujourd'hui un film dans un pays martyrisé, dans un ville où chaque visage, chaque regard porte la marque de l'horreur vécue (...) : Holy Lola contient la réponse à la question, le film est la réponse, et au-delà de sa qualité documentaire, (...) il relève de l'autoportrait : qui sommes-nous, nous qui en passant considérons cette réalité-là ?
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
" Holy Lola " est une oeuvre sur la douleur : douleur des couples qui n'ont pas d'enfants, malheur des petits orphelins, désespérance d'un pays massacré. Beaucoup d'émotions, donc. Peut-être trop. On se passerait volontiers des dernières péripéties qu'endure le couple. Mais Bertrand Tavernier signe là néanmoins un film foisonnant, sincère, avec un couple formidable : Jacques Gamblin et Isabelle Carré.
Le Monde
Les scènes filmées caméra sur l'épaule transfusent ses sentiments. Elles sont au diapason de l'élan rythmique apporté par le compositeur Henri Texier, de la sincérité d'un cinéaste qui, d'un film à l'autre, se remet en question. Holy Lola est peut-être un film mineur dans la carrière de ce bouillant insurgé. Il y libère néanmoins, comme jamais, cette émotion qui est sa marque de fabrique.
MCinéma.com
Bertrand Tavernier n'est plus cinéaste, mais reporter pour " Madame Figaro " ! C'est en tout cas ce que laissent présager les premières minutes de HOLY LOLA. (...) Pourtant, petit à petit, HOLY LOLA, long métrage habile, dévoile tous ses charmes. (...) Cela, on le doit en partie à la mise en scène de Bertrand Tavernier, pas sublime mais, au plus près des personnages, efficace. Et surtout à Isabelle Carré et Jacques Gamblin, saisissants de naturel et de charisme.
Positif
Holy Lola est un film déroutant, à mi-chemin entre le documentaire et la fiction, à mi-chemin entre le récit traditionnel, avec les ressorts dramatiques qui entretiennent le suspense, et la chronique ordinaire d'une recherche sans cesse entravée et sans cesse recommencée pour parvenir à adopter un enfant.
Première
On est submergé par la lame de fond d'une émotion intense, le flirt entre documentaire (...) et fiction, l'intelligence spontanée des acteurs, la lumière sublime, les symboles fragiles.
Rolling Stone
Comme souvent chez Tavernier, le scénario est très documenté, parfois trop -ça déborde de notations d'anecdotes, là où parfois, un silence en dit plus long. (...) Et puis (...) Tavernier réussit l'impossible : il capte les abîmes secrets.
Zurban
Si le résultat n'est pas exempt de maladresses, notamment dans la volonté du cinéaste de se montrer aussi exhaustif que possible, Holy Lola parvient pourtant à livrer le portrait bouleversant de protagonistes dont le désir d'enfant est si fort qu'il les poussera à affronter les pires embûches.
Aden
Ce qui gâche ce bel élan, c'est le récit, le scénario qui se charge de nous expliquer ce que la mise en scène fait passer intuitivement. (...) Dans cette chronique (façon Une semaine de vacances ou Ça commence aujourd'hui) à l'autre bout du monde, ce qui porte le film à bout de bras, quitte à se sentir ballotté, c'est la fougue du cinéaste. Sa détermination. On aime toujours autant son pas de charge, un peu moins l'itinéraire très fléché qu'il a pris ce coup-ci.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Film pesant et didactique sur le Cambodge, malgré quelques trouées documentaires sous l'influence Rithy Panh.
Ouest France
Tout au long de cette fiction documentée, voire documentarisée, Bertrand Tavernier a trop souvent le cri de colère lourdaud dans sa volonté de ne rien oublier de ce qu'il veut dénoncer en dressant son état des lieux. (...) On y ressent comme une pesanteur qui ralentit quelque peu le rythme de cette épopée. Et pourtant, (...) c'est quand même l'expression des sentiments qui prévaut toujours tout au long de cette histoire qui pourrait être vraie.
aVoir-aLire.com
Le scénario écrit par Tiffany Tavernier et Dominique Sampiero préfère se lancer dans la démonstration, la construction d'un film à thème voire à thèse. Ce désir aurait pu s'exprimer avec force dans un documentaire, mais s'enlise dans la lourdeur au contact de la fiction.Dommage pour Jacques Gamblin et Isabelle Carré qui forment un bien joli couple (...). Dommage pour Bertrand Tavernier qui est loin d'être un mauvais réalisateur.
Chronic'art.com
Un mot dit tout ça : cinéma démago. Une crainte le résume : attendre, tout au long de ces deux longues heures de métrage, que surgisse d'un pousse-pousse Philippe Torreton venu redresser les torts, héros positifs venu remonter le moral des autres héros positifs -imparfaits, humains quoi, mais positifs. Ça n'arrive pas, mais c'était moins une.