Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Brazil
par Christophe Lemaire
Naviguant entre le théâtre de boulevard tendance Alex de la Iglesia (avec une galerie de personnages assez fous) et l'amour pur pour le cinéma (le protagoniste rêve d'être le nouveau Ingmar Bergman), Torremolinos 73 est le meilleur film de ce 15 juin.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Alex Masson
Torremolinos 73, odyssée du ridicule d'un gentil couple, place rapidement dans l'inconfortable position de voyeur devant tant de misère humaine. Le film est plus proche de certaines comédies italiennes des 70's que du style Almodovar, le cynisme d'un Dino Risi en moins. Pas le mordant. Torremolinos 73 est un film teigneux s'accrochant aux demi-teintes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
La vraie originalité de cette comédie, où il se passe toujours quelque chose, c'est de manier le paradoxe et de prendre toujours le contre-pied des idées reçues. Voici une fable décoiffante, plutôt salée avec une pincée de trash et une bonne dose de tendresse.
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert & Jade Sou
Un premier long-métrage burlesque hilarant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Alain Spira
Drôle, sexy, triste et profond, ce premier film rend hommage aussi bien à l'univers d'Almodovar qu'à celui de Bergman. Un mariage contre-nature qui donne un charme particulier à ce film espagnol très olé-olé.
Positif
par D.M.
Une comédie douce-amère empreinte de nostalgie, en forme d'hommage à l'unique film d'Alfredo Lopez, à l'époque classé S et tombé dans l'oubli. (...) Un moment de nostalgie drôle et agréable.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gaël Golhen
Est-ce qu'on peut vivre sa vie par procuration, derrière l'écran de sa télé ou le viseur de sa caméra ? La question se résout dans une scène douloureuse qui laisse un sale goût dans la bouche. C'est le principal mérite du film : réussir un grand écart ahurissant en passant de la comédie pastiche au drame intimiste avec une même aisance. Gueule de bois assurée pour le spectateur qui se marre souvent, avant d'étouffer son rire pour mieux dissimuler sa gêne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par V. McKey
Berger vise souvent plus juste que P.T. Anderson en étant moins cynique que l'Américain vis-à-vis de ses personnages. Comme le démontre un final à l'image du film : aussi poignant que tendre.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bi. A.
Ce premier long-métrage a tout du film culte : scénario délirant, répliques choc, univers visuel kitsch des années 70's, et acteurs de renom. C'est bourré d'idées, avec un vrai sens de la mise en scène.
Télérama
par Mathilde Blottière
Avec un sens du détail étonnant, le réalisateur installe son récit (un peu alourdi par une certaine complaisance pour les scènes de sexe) dans l'ambiance seventies : intérieurs psychédéliques, bande-son idoine et costumes cintrés. Plus qu'une chronique acide et drôle sur une époque et ses fantasmes, Torremolinos 73 est une histoire d'amour entre deux personnages qui poursuivent chacun leur rêve d'accomplissement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Grâce à son thème croustillant, et bien traité, et son duo d'acteurs audacieux (...), ce film est une franche réussite. Dommage que ce premier essai du réalisateur n'ait pas disposé de plus gros moyens.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur (...) sait faire vivre ses personnages et les mettre dans des situations cocasses, drôles ou déroutantes, et l'on se prend à s'imaginer dans leur peau, mi-gêné, mi-émoustillé par des expériences non voulues mais finalement pas si désagréables. Le film regorge de sujets, plus ou moins graves. C'est d'ailleurs là que se situe le léger reproche qu'on peut lui adresser : au sein de cette prolifération, on aimerait parfois que certains d'entre eux soient davantage fouillés.
Elle
par Elisabeth Quin
Imprégnation du kitsch almodovarien (...), esprit farceur (...). La misère humaine, et pas seulement sexuelle, est le sujet de cette comédie morne, hideusement décorée mais parfaitement unique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Thomas Sotinel
Torremolinos 73, qui doit son titre à la station balnéaire bétonnée et au millésime de son intrigue, est gentiment coquin (mais qui s'intéresse encore à la coquinerie ?) avant de se faire un peu prétentieux dans ses dernières séquences.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Cette comédie manque un peu de tonus pour nous convaincre, jouant plus facilement sur une sorte de nostalgie de ces années (...) L'ensemble du casting ne se prend pas au sérieux, et c'est tant mieux. Pourtant quelque chose manque dans ce film, malgré les loufoques partis pris de départ. Un petit grain de fantaisie, voire même de folie, quelque chose qui ferait déraper une histoire un peu trop huilée et prévisible. Il s'agit donc d'un film que l'on regarde sans déplaisir, mais sans enthousiasme.
Télé 7 Jours
par Laurence Tournier
Plongeant dans un passé pas si lointain, la fin du franquisme, Pablo Berger ressuscite chaque détail avec une précision maniaque, au point de faire de cette satire sociale un tableau édifiant mais figé. Reste l'histoire d'un amour : une chronique douce-amère.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Brazil
Naviguant entre le théâtre de boulevard tendance Alex de la Iglesia (avec une galerie de personnages assez fous) et l'amour pur pour le cinéma (le protagoniste rêve d'être le nouveau Ingmar Bergman), Torremolinos 73 est le meilleur film de ce 15 juin.
Chronic'art.com
Torremolinos 73, odyssée du ridicule d'un gentil couple, place rapidement dans l'inconfortable position de voyeur devant tant de misère humaine. Le film est plus proche de certaines comédies italiennes des 70's que du style Almodovar, le cynisme d'un Dino Risi en moins. Pas le mordant. Torremolinos 73 est un film teigneux s'accrochant aux demi-teintes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
La vraie originalité de cette comédie, où il se passe toujours quelque chose, c'est de manier le paradoxe et de prendre toujours le contre-pied des idées reçues. Voici une fable décoiffante, plutôt salée avec une pincée de trash et une bonne dose de tendresse.
Les Inrockuptibles
Un premier long-métrage burlesque hilarant.
Paris Match
Drôle, sexy, triste et profond, ce premier film rend hommage aussi bien à l'univers d'Almodovar qu'à celui de Bergman. Un mariage contre-nature qui donne un charme particulier à ce film espagnol très olé-olé.
Positif
Une comédie douce-amère empreinte de nostalgie, en forme d'hommage à l'unique film d'Alfredo Lopez, à l'époque classé S et tombé dans l'oubli. (...) Un moment de nostalgie drôle et agréable.
Première
Est-ce qu'on peut vivre sa vie par procuration, derrière l'écran de sa télé ou le viseur de sa caméra ? La question se résout dans une scène douloureuse qui laisse un sale goût dans la bouche. C'est le principal mérite du film : réussir un grand écart ahurissant en passant de la comédie pastiche au drame intimiste avec une même aisance. Gueule de bois assurée pour le spectateur qui se marre souvent, avant d'étouffer son rire pour mieux dissimuler sa gêne.
Score
Berger vise souvent plus juste que P.T. Anderson en étant moins cynique que l'Américain vis-à-vis de ses personnages. Comme le démontre un final à l'image du film : aussi poignant que tendre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Ce premier long-métrage a tout du film culte : scénario délirant, répliques choc, univers visuel kitsch des années 70's, et acteurs de renom. C'est bourré d'idées, avec un vrai sens de la mise en scène.
Télérama
Avec un sens du détail étonnant, le réalisateur installe son récit (un peu alourdi par une certaine complaisance pour les scènes de sexe) dans l'ambiance seventies : intérieurs psychédéliques, bande-son idoine et costumes cintrés. Plus qu'une chronique acide et drôle sur une époque et ses fantasmes, Torremolinos 73 est une histoire d'amour entre deux personnages qui poursuivent chacun leur rêve d'accomplissement.
Zurban
Grâce à son thème croustillant, et bien traité, et son duo d'acteurs audacieux (...), ce film est une franche réussite. Dommage que ce premier essai du réalisateur n'ait pas disposé de plus gros moyens.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur (...) sait faire vivre ses personnages et les mettre dans des situations cocasses, drôles ou déroutantes, et l'on se prend à s'imaginer dans leur peau, mi-gêné, mi-émoustillé par des expériences non voulues mais finalement pas si désagréables. Le film regorge de sujets, plus ou moins graves. C'est d'ailleurs là que se situe le léger reproche qu'on peut lui adresser : au sein de cette prolifération, on aimerait parfois que certains d'entre eux soient davantage fouillés.
Elle
Imprégnation du kitsch almodovarien (...), esprit farceur (...). La misère humaine, et pas seulement sexuelle, est le sujet de cette comédie morne, hideusement décorée mais parfaitement unique.
Le Monde
Torremolinos 73, qui doit son titre à la station balnéaire bétonnée et au millésime de son intrigue, est gentiment coquin (mais qui s'intéresse encore à la coquinerie ?) avant de se faire un peu prétentieux dans ses dernières séquences.
MCinéma.com
Cette comédie manque un peu de tonus pour nous convaincre, jouant plus facilement sur une sorte de nostalgie de ces années (...) L'ensemble du casting ne se prend pas au sérieux, et c'est tant mieux. Pourtant quelque chose manque dans ce film, malgré les loufoques partis pris de départ. Un petit grain de fantaisie, voire même de folie, quelque chose qui ferait déraper une histoire un peu trop huilée et prévisible. Il s'agit donc d'un film que l'on regarde sans déplaisir, mais sans enthousiasme.
Télé 7 Jours
Plongeant dans un passé pas si lointain, la fin du franquisme, Pablo Berger ressuscite chaque détail avec une précision maniaque, au point de faire de cette satire sociale un tableau édifiant mais figé. Reste l'histoire d'un amour : une chronique douce-amère.