Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Certes, on peut reprocher au cinéaste d'en rajouter, mais il y a dans sa démarche un plaidoyer sincère et généreux pour une société plus solidaire et plus tolérante. Le tout incarné par des comédiens inspirés : Jean Benguigui, Laure Atika, surprenante en veuve sexy, et la jeune Netta Garti.
Le Parisien
par La rédaction
Intelligent dans le propos, drôle dans la forme (avec des dialogues enlevés) parfois grave mais toujours optimiste, il mérite attention et soutien.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
La forme est maladroite mais le fond, vraiment sincère, mérite qu'on y réfléchisse.
Première
par Estelle Ruet
Le projet est de toute évidence très personnel et le résultat d'une sincérité touchante.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Pas vraiment de surprise du côté du scénario et de la mise en scène, mais beaucoup d'humour et un beau message de tolérance dans cette chronique chaleureuse.
Télérama
par Jacques Morice
Ce petit monde en soi, miroir d'un pays en train de se bâtir et déjà divisé, s'avère foisonnant pourvu qu'on oublie certaines facilités dans la galerie de portraits. Les deux jeunes inconnues, Netta Garti et Liraz Charhi, s'imposent avec charme et naturel, tandis que l'hommage discret au sacrifice de la première génération parvient même à être vibrant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
Histoire à la fois singulière et universelle, Au bout du monde à gauche est une belle leçon de tolérance, d'humanité et surtout d'espoir.
Aden
par La rédaction
(...) Avi Nesher met en scène le choc des cultures en voulant être drôle. C'est surtout très lourd. Dialogues lourds et comédiens balourds.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) chaque fois que le scénario ajoute une couche au récit, le niveau sonore du film augmente, comme si le metteur en scène, Avi Nesher, ne faisait pas tout à fait confiance à ses acteurs (il est vrai plutôt inégaux) et à sa capacité à rendre les nuances des rapports entre communauté et individus.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Sous couvert d'apologie de la tolérance, le film ressemble surtout à une sorte de vaudeville à la Max Pécas.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Certes, on peut reprocher au cinéaste d'en rajouter, mais il y a dans sa démarche un plaidoyer sincère et généreux pour une société plus solidaire et plus tolérante. Le tout incarné par des comédiens inspirés : Jean Benguigui, Laure Atika, surprenante en veuve sexy, et la jeune Netta Garti.
Le Parisien
Intelligent dans le propos, drôle dans la forme (avec des dialogues enlevés) parfois grave mais toujours optimiste, il mérite attention et soutien.
MCinéma.com
La forme est maladroite mais le fond, vraiment sincère, mérite qu'on y réfléchisse.
Première
Le projet est de toute évidence très personnel et le résultat d'une sincérité touchante.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Pas vraiment de surprise du côté du scénario et de la mise en scène, mais beaucoup d'humour et un beau message de tolérance dans cette chronique chaleureuse.
Télérama
Ce petit monde en soi, miroir d'un pays en train de se bâtir et déjà divisé, s'avère foisonnant pourvu qu'on oublie certaines facilités dans la galerie de portraits. Les deux jeunes inconnues, Netta Garti et Liraz Charhi, s'imposent avec charme et naturel, tandis que l'hommage discret au sacrifice de la première génération parvient même à être vibrant.
aVoir-aLire.com
Histoire à la fois singulière et universelle, Au bout du monde à gauche est une belle leçon de tolérance, d'humanité et surtout d'espoir.
Aden
(...) Avi Nesher met en scène le choc des cultures en voulant être drôle. C'est surtout très lourd. Dialogues lourds et comédiens balourds.
Le Monde
(...) chaque fois que le scénario ajoute une couche au récit, le niveau sonore du film augmente, comme si le metteur en scène, Avi Nesher, ne faisait pas tout à fait confiance à ses acteurs (il est vrai plutôt inégaux) et à sa capacité à rendre les nuances des rapports entre communauté et individus.
Les Inrockuptibles
Sous couvert d'apologie de la tolérance, le film ressemble surtout à une sorte de vaudeville à la Max Pécas.