Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
par Alain Grasset
Le réalisateur écossais évoque la fin de la vie de Modigliani et une rivalité avec Picasso qui reste à prouver. Son Paris de l'entre-deux-guerres accumule les clichés. Si Andy Garcia est un Modigliani peu crédible, Elsa Zylberstein, qui incarne la muse d'un peintre pour la troisième fois de sa carrière (après " Van Gogh " et " Toulouse-Lautrec "), est parfaite.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Ce film ne parvient à aucun moment à libérer la force de son sujet. L'idée de s'intéresser à la vie privée tourmentée de Modigliani était bonne, mais au lieu de mettre en lumière le travail de l'artiste, elle ne fait qu'entraver tout ce pan de l'histoire. (...) Heureusement, l'ensemble des acteurs sauve le film, notamment le couple Garcia - Zylberstein, intense de passion incontrôlable.
Télérama
par Frédéric Strauss
Beauté et horreur mêlées, la violence de ce destin perce dans de belles scènes. Mais il y a trop d'arrangements avec la réalité historique : pour la retrouver intacte, il vaut mieux (re)lire Bohèmes, de Dan Franck (éd. Pocket), un récit plein du vrai parfum de cette époque mythique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Ah Paris ! (...) les films qu'on peut en faire, aussi beaux qu'une croûte place du Tertre !
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Attention biopic . Apothéose : les olympiades de la peinture (...) Qui va gagner ? Pas la diaphane Elsa, condamnée à nettoyer en anglais les toilettes d'Andy Garcia et à regretter le bon vieux temps de Van Gogh. On ne peut pas gagner sur tous les tableaux.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Gribouillis. Risible caricature de la vie du peintre maudit.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Interprétant Modigliani comme un ours mal léché, Andy Garcia a parfois des airs d'Alex Métayer. Tout au long de son calvaire, il rend des comptes à son double, le fantôme du ténébreux petit garçon qui avait grandi à Livourne. Il peint une oeuvre maîtresse sur un rythme mêlant tam-tam et vocalises arabes, et meurt sous une neige bleutée, au son d'un Ave Maria techno-rap.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Modigliani vs Picasso. Voilà le leitmotiv de ce biopic. Comme si le réalisateur avait conçu son scénario en jouant à Street Fighter.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
La chaleur du personnage, une vague attaque contre le "cube" et les reproductions mises à part, ce film n'explique en rien la contribution de Modigliani à l'art.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Nicolas Schaller
D'un sujet passionnant, Mick Davis tire une interminable réclame pour le vieux Paris et ses célébrités destinée aux cars de touristes étrangers.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par François Forestier
Mick Davis, le réalisateur, respecte les lieux, les dates, les costumes, les faits. Pourquoi, alors, a-t-on ce sentiment de ridicule ? Hollywood javellise tout.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Le réalisateur écossais évoque la fin de la vie de Modigliani et une rivalité avec Picasso qui reste à prouver. Son Paris de l'entre-deux-guerres accumule les clichés. Si Andy Garcia est un Modigliani peu crédible, Elsa Zylberstein, qui incarne la muse d'un peintre pour la troisième fois de sa carrière (après " Van Gogh " et " Toulouse-Lautrec "), est parfaite.
MCinéma.com
Ce film ne parvient à aucun moment à libérer la force de son sujet. L'idée de s'intéresser à la vie privée tourmentée de Modigliani était bonne, mais au lieu de mettre en lumière le travail de l'artiste, elle ne fait qu'entraver tout ce pan de l'histoire. (...) Heureusement, l'ensemble des acteurs sauve le film, notamment le couple Garcia - Zylberstein, intense de passion incontrôlable.
Télérama
Beauté et horreur mêlées, la violence de ce destin perce dans de belles scènes. Mais il y a trop d'arrangements avec la réalité historique : pour la retrouver intacte, il vaut mieux (re)lire Bohèmes, de Dan Franck (éd. Pocket), un récit plein du vrai parfum de cette époque mythique.
Aden
Ah Paris ! (...) les films qu'on peut en faire, aussi beaux qu'une croûte place du Tertre !
Cahiers du Cinéma
Attention biopic . Apothéose : les olympiades de la peinture (...) Qui va gagner ? Pas la diaphane Elsa, condamnée à nettoyer en anglais les toilettes d'Andy Garcia et à regretter le bon vieux temps de Van Gogh. On ne peut pas gagner sur tous les tableaux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Gribouillis. Risible caricature de la vie du peintre maudit.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Interprétant Modigliani comme un ours mal léché, Andy Garcia a parfois des airs d'Alex Métayer. Tout au long de son calvaire, il rend des comptes à son double, le fantôme du ténébreux petit garçon qui avait grandi à Livourne. Il peint une oeuvre maîtresse sur un rythme mêlant tam-tam et vocalises arabes, et meurt sous une neige bleutée, au son d'un Ave Maria techno-rap.
Les Inrockuptibles
Modigliani vs Picasso. Voilà le leitmotiv de ce biopic. Comme si le réalisateur avait conçu son scénario en jouant à Street Fighter.
Positif
La chaleur du personnage, une vague attaque contre le "cube" et les reproductions mises à part, ce film n'explique en rien la contribution de Modigliani à l'art.
Première
D'un sujet passionnant, Mick Davis tire une interminable réclame pour le vieux Paris et ses célébrités destinée aux cars de touristes étrangers.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Mick Davis, le réalisateur, respecte les lieux, les dates, les costumes, les faits. Pourquoi, alors, a-t-on ce sentiment de ridicule ? Hollywood javellise tout.