Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Ouest France
par La Rédaction
(...) Un drame qui de la première à la dernière image affiche une extrême exigence esthétique.
Score
par Julien Welter
(...) la grande claque est infligée par Vincenzo Amato. Toute la beauté de Golden Door est lisible dans son visage de cul-terreux tordu d'émotions et d'hésitations.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Avec un sens particulièrement inspiré de la composition picturale et un lyrisme subjuguant, l`auteur de " Respiro " signe ici une fresque magnifique.
Télérama
par Frédéric Strauss
Ils sont pauvres, ils rêvent du Nouveau Monde. L'auteur de "Respiro" conte leur odyssée avec lyrisme et fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) magnifique d'espoir et d'abnégation, sublimé par une caméra et une interprétation époustouflantes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Brazil
par Eric Coubard
Golden Door est donc un film très attachant et hautement singulier où l'ombre de la poésie ne fait que planer.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Elle
par Anne Diatkine
(...) Emanuele Crialese nous parle des temps présents, tout en évoquant l'impossible passage des hommes anciens vers un monde rêvé, au début du siècle dernier.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
Dans un cinéma italien où l'exigence formelle n'est plus la norme, tant de films n'étant pensés que pour vite finir dans les lucarnes berlusconiennes, Golden Door fait du bien au coeur et impose Emanuele Crialese, né en 1965, comme le meilleur réalisateur de sa génération.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
L'aspect historique, notamment de la quarantaine sur Ellis Island, nourri de recherches dans les archives, est très intéressant et minutieusement reconstitué.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Quelle bonne idée a eue Emanuele Crialese de conter ainsi son histoire. La force de Golden Door vient en effet du fait que le cinéaste ne se focalise pas sur la découverte du Nouveau Monde, déjà étudiée mille fois au cinéma.
Paris Match
par Christine Haas
Il filme magnifiquement la campagne sicilienne et le déchirement d'un peuple qui doit mourir pour renaître.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Son âpre traversée, souvent drôle, aux accents oniriques voire felliniens, frappe par la beauté de ses plans.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
20 Minutes
par La rédaction
Aprés Respiro, le cinéaste brosse un portrait juste en révélant les désillusions des immigrants européens en quête d'un nouvel eldorado.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaro
par Emmanuelle Froïs
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) Crialese montre clairement, brillamment, que pour l'immense majorité des voyageurs, le retour en arrière n'est plus possible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Metro
par Rania Hoballah
La faiblesse du scénario et le manque de rythme plombent le propos louable d'un film qui avait, à priori, tout pour plaire. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Alain Masson
A Venise, Lorenzo Codelli relevait les défauts de ce film languissant où la vedette française ne justifie pas sa présence (...) Bien des films ont beaucoup moins à montrer.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par La rédaction
Intéressant, oui. Empathique, oui aussi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) un film réaliste et lent qui multiplie les échappées esthétiques et les plans contemplatifs. S'il réussit à créer une atmosphère, il peine vraiment à capter l'attention.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
(...) A aucun moment le flottement surexposé par le film n'est synonyme de tension, car il semble partir de nulle part et n'aller dans aucune direction (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Saturé de ciné-références (...) le film est composé de deux gros morceaux pénibles et de petits bouts bizarres.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Sous couvert de faire oeuvre historique, le cinéma italien enfile parfois des habits pesants, confondant ainsi l'emphase et l'ambition. C'est le cas de ce film qui se traîne (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
(...) Un drame qui de la première à la dernière image affiche une extrême exigence esthétique.
Score
(...) la grande claque est infligée par Vincenzo Amato. Toute la beauté de Golden Door est lisible dans son visage de cul-terreux tordu d'émotions et d'hésitations.
TéléCinéObs
Avec un sens particulièrement inspiré de la composition picturale et un lyrisme subjuguant, l`auteur de " Respiro " signe ici une fresque magnifique.
Télérama
Ils sont pauvres, ils rêvent du Nouveau Monde. L'auteur de "Respiro" conte leur odyssée avec lyrisme et fantaisie.
aVoir-aLire.com
(...) magnifique d'espoir et d'abnégation, sublimé par une caméra et une interprétation époustouflantes.
Brazil
Golden Door est donc un film très attachant et hautement singulier où l'ombre de la poésie ne fait que planer.
Elle
(...) Emanuele Crialese nous parle des temps présents, tout en évoquant l'impossible passage des hommes anciens vers un monde rêvé, au début du siècle dernier.
L'Humanité
Dans un cinéma italien où l'exigence formelle n'est plus la norme, tant de films n'étant pensés que pour vite finir dans les lucarnes berlusconiennes, Golden Door fait du bien au coeur et impose Emanuele Crialese, né en 1965, comme le meilleur réalisateur de sa génération.
Le Figaroscope
L'aspect historique, notamment de la quarantaine sur Ellis Island, nourri de recherches dans les archives, est très intéressant et minutieusement reconstitué.
MCinéma.com
Quelle bonne idée a eue Emanuele Crialese de conter ainsi son histoire. La force de Golden Door vient en effet du fait que le cinéaste ne se focalise pas sur la découverte du Nouveau Monde, déjà étudiée mille fois au cinéma.
Paris Match
Il filme magnifiquement la campagne sicilienne et le déchirement d'un peuple qui doit mourir pour renaître.
Télé 7 Jours
Son âpre traversée, souvent drôle, aux accents oniriques voire felliniens, frappe par la beauté de ses plans.
20 Minutes
Aprés Respiro, le cinéaste brosse un portrait juste en révélant les désillusions des immigrants européens en quête d'un nouvel eldorado.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(...) Crialese montre clairement, brillamment, que pour l'immense majorité des voyageurs, le retour en arrière n'est plus possible.
Metro
La faiblesse du scénario et le manque de rythme plombent le propos louable d'un film qui avait, à priori, tout pour plaire. Dommage.
Positif
A Venise, Lorenzo Codelli relevait les défauts de ce film languissant où la vedette française ne justifie pas sa présence (...) Bien des films ont beaucoup moins à montrer.
Première
Intéressant, oui. Empathique, oui aussi.
Le Journal du Dimanche
(...) un film réaliste et lent qui multiplie les échappées esthétiques et les plans contemplatifs. S'il réussit à créer une atmosphère, il peine vraiment à capter l'attention.
Les Inrockuptibles
(...) A aucun moment le flottement surexposé par le film n'est synonyme de tension, car il semble partir de nulle part et n'aller dans aucune direction (...)
Cahiers du Cinéma
Saturé de ciné-références (...) le film est composé de deux gros morceaux pénibles et de petits bouts bizarres.
Le Parisien
Sous couvert de faire oeuvre historique, le cinéma italien enfile parfois des habits pesants, confondant ainsi l'emphase et l'ambition. C'est le cas de ce film qui se traîne (...)