Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Pour n'importe quel amateur de musique, ce documentaire a de quoi séduire. (...) Le passé de musicien du réalisateur donne à ce film une force réelle, que l'on perçoit dans la manière de filmer les sessions d'enregistrement. Et c'est captivant à regarder.
Première
par Alexis Trosset
A contrario de ses prédécesseurs plus passéistes, Red, White and Blues s'adresse moins à un public d'amoureux du Mississipi qu'à des mélomanes éclectiques en quête d'harmonies.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) ce documentaire décrit la façon dont les musiciens anglais ont popularisé cette musique noire américaine, mais pas vraiment celle dont ils se la sont appropriée. Franchement pas indispensable.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Enseveli sous un déluge de noms et de références, le commentaires restant réservé aux seuls connaisseurs du genre. Erudits certes, mais pas assez pédagogiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Bietry-Rivière
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Florence Colombani
Mike Figgis (...) alterne sagement entretiens et séances d'enregistrement avec Tom Jones et Van Morrisson, dans les studios d'Abbey Road. Red, White and Blues a beau traiter d'une musique puissamment instinctive, qui prend aux tripes public et musiciens, c'est un film lisse, qui se laisse regarder comme un reportage, sans déplaisir mais avec un certain détachement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par François Gorin
Ça mouline du poncif : les musiciens britanniques ont imité leurs maîtres américains, mais pas copié ; leur blanc succès a fait caisse de résonance et profité aux obscurs bluesmen noirs...En se polarisant sur les émules les plus évidents du blues américain, Mike Figgis omet l'émergence d'un authentique blues britannique. Celui de Van Morrison d'Astral Weeks, de Procol Harum ou de Nick Drake réputé folk mais sans doute la plus belle réponse de l'Angleterre au Mississippi blues.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Moins flamboyant que les autres épisodes de la série, Red, White & Blues contribue modestement à mettre en lumière l'apport indéniable de la Grande-Bretagne au blues.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Quelques secondes vibrantes dans un océan de bla-bla cacochyme et un marécage de reprises vaseuses et poussives...Mieux vaut zapper ce malencontreux épisode hors sujet.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Pour n'importe quel amateur de musique, ce documentaire a de quoi séduire. (...) Le passé de musicien du réalisateur donne à ce film une force réelle, que l'on perçoit dans la manière de filmer les sessions d'enregistrement. Et c'est captivant à regarder.
Première
A contrario de ses prédécesseurs plus passéistes, Red, White and Blues s'adresse moins à un public d'amoureux du Mississipi qu'à des mélomanes éclectiques en quête d'harmonies.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
(...) ce documentaire décrit la façon dont les musiciens anglais ont popularisé cette musique noire américaine, mais pas vraiment celle dont ils se la sont appropriée. Franchement pas indispensable.
L'Obs
Enseveli sous un déluge de noms et de références, le commentaires restant réservé aux seuls connaisseurs du genre. Erudits certes, mais pas assez pédagogiques.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Mike Figgis (...) alterne sagement entretiens et séances d'enregistrement avec Tom Jones et Van Morrisson, dans les studios d'Abbey Road. Red, White and Blues a beau traiter d'une musique puissamment instinctive, qui prend aux tripes public et musiciens, c'est un film lisse, qui se laisse regarder comme un reportage, sans déplaisir mais avec un certain détachement.
Télérama
Ça mouline du poncif : les musiciens britanniques ont imité leurs maîtres américains, mais pas copié ; leur blanc succès a fait caisse de résonance et profité aux obscurs bluesmen noirs...En se polarisant sur les émules les plus évidents du blues américain, Mike Figgis omet l'émergence d'un authentique blues britannique. Celui de Van Morrison d'Astral Weeks, de Procol Harum ou de Nick Drake réputé folk mais sans doute la plus belle réponse de l'Angleterre au Mississippi blues.
Aden
Moins flamboyant que les autres épisodes de la série, Red, White & Blues contribue modestement à mettre en lumière l'apport indéniable de la Grande-Bretagne au blues.
Les Inrockuptibles
Quelques secondes vibrantes dans un océan de bla-bla cacochyme et un marécage de reprises vaseuses et poussives...Mieux vaut zapper ce malencontreux épisode hors sujet.