Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
D'un film-monument sur la musique populaire américaine, Scorsese fait un ouvrage d'une grande mélancolie. Cette tristesse mêlée de joie ne naît pas uniquement des mélopées chantées par ces noirs du "Sud du Sud", comme le nomme l'écrivain Richard Ford, mais aussi de voir le temps exercer sa puissance destructrice. D'où l'intensité de ce tableau, qui a quelque chose de tragique (...).
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Humanité
par Vincent Ostria
Martin Scorsese, qui n'a jamais caché sa passion pour la musique populaire américaine, retourne aux sources et parraine une série de sept films sur le blues. Il en a réalisé cet unique segment, qui est peut-être le plus essentiel.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
En suivant Corey Harris, un jeune bluesman, jusqu'au Mali, il (Martin Scorsese) réussit une démonstration exemplaire. A la fois ultra documentée, donc passionnante, mais aussi très humaine.
Aden
par La rédaction
(...) dans sa volonté de montrer le parallèle entre musique malienne et folk-blues primitif, le film est trop elliptique pour fonctionner véritablement. Reste le très beau portrait en creux d'un Corey Harris confronté aux racines de sa musique.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Isabelle Régnier
Les noms d'Alan Lomax, Muddy Waters, Son House, John Lee Hooker sont évoqués, et Scorsese leur donne la parole (...) Le grain doux et sensuel de ses images tournées en DV sous les porches des maisons, dans les marais, se fond dans une douce harmonie avec les couleurs passées des archives filmées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) au-delà de la densité documentaire du film, Scorsese emporte le morceau par la manière dont il fait toucher du doigt la filiation entre griots africains et bluesmen américains.
Première
par Nicolas Schaller
Ereintant pour les profanes, parfois un peu fouillis, mais toujours passionnant.
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Mené par le bluesman Correy Harris, dans le rôle du passeur, ce voyage réserve de belles rencontres, comme celle du vieux Othar Turner.
Télérama
par François Gorin
Il s'agit d'un double voyage. D'abord dans le temps et à rebours. De ce côté-là, les images d'archives sont d'un secours inestimable, comme le choix des su- jets : John Lee Hooker et Muddy Waters jeunes, le stupéfiant Son House suffisent à recommander le film. L'autre voyage, au Mali, est d'un intérêt plus discutable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Serge Loupien
Périple sympathique, quoique guère convaincant, sauvé par la qualité des documents d'archives.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) il faut reconnaître que Scorsese maîtrise son sujet. Seulement, son envie de partager cette passion lui fait parfois défaut : cherchant une paradoxale exhaustivité alors que lui-même s'en défend, le cinéaste éparpille son énergie au lieu de la canaliser. Des baisses de régime s'en ressentent. Les amateurs apprécieront. Les autres...
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Fluctuat.net
D'un film-monument sur la musique populaire américaine, Scorsese fait un ouvrage d'une grande mélancolie. Cette tristesse mêlée de joie ne naît pas uniquement des mélopées chantées par ces noirs du "Sud du Sud", comme le nomme l'écrivain Richard Ford, mais aussi de voir le temps exercer sa puissance destructrice. D'où l'intensité de ce tableau, qui a quelque chose de tragique (...).
L'Humanité
Martin Scorsese, qui n'a jamais caché sa passion pour la musique populaire américaine, retourne aux sources et parraine une série de sept films sur le blues. Il en a réalisé cet unique segment, qui est peut-être le plus essentiel.
MCinéma.com
En suivant Corey Harris, un jeune bluesman, jusqu'au Mali, il (Martin Scorsese) réussit une démonstration exemplaire. A la fois ultra documentée, donc passionnante, mais aussi très humaine.
Aden
(...) dans sa volonté de montrer le parallèle entre musique malienne et folk-blues primitif, le film est trop elliptique pour fonctionner véritablement. Reste le très beau portrait en creux d'un Corey Harris confronté aux racines de sa musique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Les noms d'Alan Lomax, Muddy Waters, Son House, John Lee Hooker sont évoqués, et Scorsese leur donne la parole (...) Le grain doux et sensuel de ses images tournées en DV sous les porches des maisons, dans les marais, se fond dans une douce harmonie avec les couleurs passées des archives filmées.
Les Inrockuptibles
(...) au-delà de la densité documentaire du film, Scorsese emporte le morceau par la manière dont il fait toucher du doigt la filiation entre griots africains et bluesmen américains.
Première
Ereintant pour les profanes, parfois un peu fouillis, mais toujours passionnant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Mené par le bluesman Correy Harris, dans le rôle du passeur, ce voyage réserve de belles rencontres, comme celle du vieux Othar Turner.
Télérama
Il s'agit d'un double voyage. D'abord dans le temps et à rebours. De ce côté-là, les images d'archives sont d'un secours inestimable, comme le choix des su- jets : John Lee Hooker et Muddy Waters jeunes, le stupéfiant Son House suffisent à recommander le film. L'autre voyage, au Mali, est d'un intérêt plus discutable.
Libération
Périple sympathique, quoique guère convaincant, sauvé par la qualité des documents d'archives.
aVoir-aLire.com
(...) il faut reconnaître que Scorsese maîtrise son sujet. Seulement, son envie de partager cette passion lui fait parfois défaut : cherchant une paradoxale exhaustivité alors que lui-même s'en défend, le cinéaste éparpille son énergie au lieu de la canaliser. Des baisses de régime s'en ressentent. Les amateurs apprécieront. Les autres...
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr