Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
S'il y a une morale ou une philosophie à tirer de ce film mystique au sens light, c'est surtout celle de la relativité des codes et des apparences. Relativité à double tranchant qu'on peut retourner au cinéaste (...), en mettant le doigt sur la part d'arbitraire et de ridicule que peuvent également recéler les traditions orientales.
Libération
par Gilles Renault
De ce pot-au-feu "nature et découverte" jaillit un film zen et zoli où, l'action évoluant au rythme de la marche, on a largement le temps de se gargariser de la beauté des paysages montagneux.
Aden
par Philippe Piazzo
On attendait mieux du réalisateur bouddhiste de La Coupe. Ce deuxième essai puise dans un catalogue d'images très belles mais touristiques, style "l'Asie telle que vous l'imaginez: immuable et sereine".
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Voilà (...) la preuve que le cinéma asiatique peut allier sagesse et humour.
L'Obs
par françois Forrestier
"Voyageurs et magiciens" est un road-movie oriental, une sorte de conte moral. Le message est naïf, les images, somptueuses: rêverie assurée.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Voyageurs et magiciens, ou la confirmation d'un moine bouddhiste devenu cinéaste. Le réalisateur bhoutanais Khyentse Norbu, découvert il y a quatre ans avec sa comédie jubilatoire La Coupe, est enfin de retour. Et le résultat est toujours aussi attachant.
Première
par Christophe Narbonne
Voyageurs et magiciens peut se voir de deux façons : comme un produit formaté pour un public occidental sensible aux films esthétisants et gentiment spirituels ou comme une oeuvre sincère qui défend, un peu lourdement, la préservation de certains paradis perdus.
Télérama
par Marine Landrot
Dommage que le cinéaste, lama bouddhiste remarqué en 1999 pour son film La Coupe, sur des moines tibétains passionnés de foot, ne réussisse pas à coudre ensemble les deux pans de son récit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Florence Colombani
Victime des vicissitudes du succès international, le cinéaste livre avec Voyageurs et magiciens un interminable conte philosophique que des défauts de construction et d'interprétation cantonnent en deçà de ses ambitions.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
S'il y a une morale ou une philosophie à tirer de ce film mystique au sens light, c'est surtout celle de la relativité des codes et des apparences. Relativité à double tranchant qu'on peut retourner au cinéaste (...), en mettant le doigt sur la part d'arbitraire et de ridicule que peuvent également recéler les traditions orientales.
Libération
De ce pot-au-feu "nature et découverte" jaillit un film zen et zoli où, l'action évoluant au rythme de la marche, on a largement le temps de se gargariser de la beauté des paysages montagneux.
Aden
On attendait mieux du réalisateur bouddhiste de La Coupe. Ce deuxième essai puise dans un catalogue d'images très belles mais touristiques, style "l'Asie telle que vous l'imaginez: immuable et sereine".
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Voilà (...) la preuve que le cinéma asiatique peut allier sagesse et humour.
L'Obs
"Voyageurs et magiciens" est un road-movie oriental, une sorte de conte moral. Le message est naïf, les images, somptueuses: rêverie assurée.
MCinéma.com
Voyageurs et magiciens, ou la confirmation d'un moine bouddhiste devenu cinéaste. Le réalisateur bhoutanais Khyentse Norbu, découvert il y a quatre ans avec sa comédie jubilatoire La Coupe, est enfin de retour. Et le résultat est toujours aussi attachant.
Première
Voyageurs et magiciens peut se voir de deux façons : comme un produit formaté pour un public occidental sensible aux films esthétisants et gentiment spirituels ou comme une oeuvre sincère qui défend, un peu lourdement, la préservation de certains paradis perdus.
Télérama
Dommage que le cinéaste, lama bouddhiste remarqué en 1999 pour son film La Coupe, sur des moines tibétains passionnés de foot, ne réussisse pas à coudre ensemble les deux pans de son récit.
Le Monde
Victime des vicissitudes du succès international, le cinéaste livre avec Voyageurs et magiciens un interminable conte philosophique que des défauts de construction et d'interprétation cantonnent en deçà de ses ambitions.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr