Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Rolling Stone
par Mathilde Lorit
Filmé avec légèreté et sensualité, Lila dit ça confronte le rêve et l'imaginaire à une réalité plus cynique. Il fait aussi exploser le talent de deux vraies "natures" de cinéma: Vahina Giocante et Mohammed Khouas, superbes Roméo et Juliette des temps modernes.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Emmanuèle FROIS
Doueiri traduit, avec sensibilité, cette histoire d'amour tragique, au verbe très cru, particulièrement bien interprétée par Vahina Giocante, follement sensuelle.
Paris Match
par Christine Haas
Le cinéaste (...) signe un conte érotique, jamais vulgaire, porté par l'incandescente Vahina Giocante, aussi brûlante que Brigitte Bardot en son temps.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Vahina Giocante, mélange troublant de sensualité, de provocation et d'innocence, magnétise la caméra de Doueri.
Brazil
par Caroline Vié
Les deux comédiens principaux, Mohammed Kouas, fort et fragile, et Vahina Giocante, auréolée de perversité innocente, portent une fable qui touche le spectateur aux bons moments et aux bons endroits. Il y a des sentiments vrais assortis d'une authentique dose de talent dans Lila dit ça.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par La rédaction
Heureusement, ici on fait la part belle à la sensualité sans surenchérir sur le décorum, en ménageant même, sans coup férir, quelques instants de vrai naturel. Mais en dehors d'une excitante scène d'acrobatie sur un solex, tout cela reste très volatil.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
ce film très balisé, adapté du roman éponyme, reste un simple produit lolitesque pour ados, souligné par la voix off du héros beur pour faciliter l'identification.
Libération
par Bayon
Il faut passer par-dessus bon nombre d'approximations embarrassant ce projet à la sauce la Haine, et notamment l'écueil (apparent) d'une complaisance ordurière assez salissante, pour toucher au coeur sensible du film, son "élément noble" : Roméo et Juliette de Saint-Charles. (...) Rien que pour eux deux, au crédit de leurs carrières à suivre, pour quelques poussières d'ange, Lila dit ça laisse l'impression favorable imprévue de la livraison.
MCinéma.com
par Caroline Collard
Ziad Doueiri s'en sort bien lorsqu'il arrive à créer des ambiances fugitives et solaires (...). Mais la recette ne peut fonctionner à tous les coups et notamment pas lorsqu'on retombe dans des séquences ou situations plus réalistes, ce qui arrive malheureusement de plus en plus au fur et à mesure que l'on avance dans le film. On reste donc un peu sur notre faim avec ce deuxième long métrage d'un réalisateur qu'on a cependant envie de suivre dans ses prochains projets.
Positif
par Fabien Baumann
Comme film érotique, Lila dit ça se pose joliment là. (...) Zouad Dieiri aurait dû s'en tenir là. (...) le réalisateur a un peu trop le goût du mélo et des points sur les "i".
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gaël Golhen
Lila dit ça, malgré quelques faiblesses (les acteurs masculins pas toujours justes), confirme le talent de Ziad Doueiri (...) et offre la balade en vélo la plus chaude depuis Jules et Jim.
Score
par Anthony Wong
Le film a les petits défauts de ses qualités: les dialogues très "écrits" (...) s'intègrent parfois difficilement dans l'univers réaliste du film. D'autre part, vahina Giocante dégage une aura si incroyable que les autres comédiens en pâtissent forcément. Demeure unbeau petit film avec quelques scènes vraiment belles.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Des qualités formelles, et une belle énergie (...), mais gâchées par un sujet moins maîtrisé. (...) La faiblesse du film est d'hésiter sans cesse entre un franc naturalisme et le ton presque onirique d'une fable sur l'innocence et la grivoiserie, les fantasmes et leur réalisation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cinéastes
par Marie-Pauline Mollaret
Curieux film qui mêle crudité extrême et romantisme candide dans une longue et fastidieuse succession de saynètes du style "Lila sur la balançoire", "Lila prend un bain de soleil" et "Lila fait du solex", le tout sous le regard énamouré (et un tantinet niaiseux) du beau Chimo. Sauf qu'en lieu et place des propos enjôleurs, sensibles et délicieusement banals qu'on attendrait d'une jeune fille cherchant à séduire, la belle débite un tissus d'anecdotes érotiques à faire rougir un corps de garde.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Le Monde
par Florence Colombani
le film s'offre quelques échappées du côté du réalisme social. Mais son vrai sujet tient dans les longs monologues érotiques de Lila, dont l'écriture sommaire et le manque d'imagination ont tôt fait d'ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
Du bavardage par des comédiens peu à l'aise dans une mise en scène qui ne donne pas de rythme et de consistance au projet.
Zurban
par Olivier Pélisson
Cette chronique adolescente (...) peine à troubler le spectateur. Et le film s'étiole rapidement car les séquences s'enchaîne platement avec des personnages parasites.
Rolling Stone
Filmé avec légèreté et sensualité, Lila dit ça confronte le rêve et l'imaginaire à une réalité plus cynique. Il fait aussi exploser le talent de deux vraies "natures" de cinéma: Vahina Giocante et Mohammed Khouas, superbes Roméo et Juliette des temps modernes.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Doueiri traduit, avec sensibilité, cette histoire d'amour tragique, au verbe très cru, particulièrement bien interprétée par Vahina Giocante, follement sensuelle.
Paris Match
Le cinéaste (...) signe un conte érotique, jamais vulgaire, porté par l'incandescente Vahina Giocante, aussi brûlante que Brigitte Bardot en son temps.
TéléCinéObs
Vahina Giocante, mélange troublant de sensualité, de provocation et d'innocence, magnétise la caméra de Doueri.
Brazil
Les deux comédiens principaux, Mohammed Kouas, fort et fragile, et Vahina Giocante, auréolée de perversité innocente, portent une fable qui touche le spectateur aux bons moments et aux bons endroits. Il y a des sentiments vrais assortis d'une authentique dose de talent dans Lila dit ça.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Heureusement, ici on fait la part belle à la sensualité sans surenchérir sur le décorum, en ménageant même, sans coup férir, quelques instants de vrai naturel. Mais en dehors d'une excitante scène d'acrobatie sur un solex, tout cela reste très volatil.
Les Inrockuptibles
ce film très balisé, adapté du roman éponyme, reste un simple produit lolitesque pour ados, souligné par la voix off du héros beur pour faciliter l'identification.
Libération
Il faut passer par-dessus bon nombre d'approximations embarrassant ce projet à la sauce la Haine, et notamment l'écueil (apparent) d'une complaisance ordurière assez salissante, pour toucher au coeur sensible du film, son "élément noble" : Roméo et Juliette de Saint-Charles. (...) Rien que pour eux deux, au crédit de leurs carrières à suivre, pour quelques poussières d'ange, Lila dit ça laisse l'impression favorable imprévue de la livraison.
MCinéma.com
Ziad Doueiri s'en sort bien lorsqu'il arrive à créer des ambiances fugitives et solaires (...). Mais la recette ne peut fonctionner à tous les coups et notamment pas lorsqu'on retombe dans des séquences ou situations plus réalistes, ce qui arrive malheureusement de plus en plus au fur et à mesure que l'on avance dans le film. On reste donc un peu sur notre faim avec ce deuxième long métrage d'un réalisateur qu'on a cependant envie de suivre dans ses prochains projets.
Positif
Comme film érotique, Lila dit ça se pose joliment là. (...) Zouad Dieiri aurait dû s'en tenir là. (...) le réalisateur a un peu trop le goût du mélo et des points sur les "i".
Première
Lila dit ça, malgré quelques faiblesses (les acteurs masculins pas toujours justes), confirme le talent de Ziad Doueiri (...) et offre la balade en vélo la plus chaude depuis Jules et Jim.
Score
Le film a les petits défauts de ses qualités: les dialogues très "écrits" (...) s'intègrent parfois difficilement dans l'univers réaliste du film. D'autre part, vahina Giocante dégage une aura si incroyable que les autres comédiens en pâtissent forcément. Demeure unbeau petit film avec quelques scènes vraiment belles.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Des qualités formelles, et une belle énergie (...), mais gâchées par un sujet moins maîtrisé. (...) La faiblesse du film est d'hésiter sans cesse entre un franc naturalisme et le ton presque onirique d'une fable sur l'innocence et la grivoiserie, les fantasmes et leur réalisation.
Cinéastes
Curieux film qui mêle crudité extrême et romantisme candide dans une longue et fastidieuse succession de saynètes du style "Lila sur la balançoire", "Lila prend un bain de soleil" et "Lila fait du solex", le tout sous le regard énamouré (et un tantinet niaiseux) du beau Chimo. Sauf qu'en lieu et place des propos enjôleurs, sensibles et délicieusement banals qu'on attendrait d'une jeune fille cherchant à séduire, la belle débite un tissus d'anecdotes érotiques à faire rougir un corps de garde.
Le Monde
le film s'offre quelques échappées du côté du réalisme social. Mais son vrai sujet tient dans les longs monologues érotiques de Lila, dont l'écriture sommaire et le manque d'imagination ont tôt fait d'ennuyer.
Ouest France
Du bavardage par des comédiens peu à l'aise dans une mise en scène qui ne donne pas de rythme et de consistance au projet.
Zurban
Cette chronique adolescente (...) peine à troubler le spectateur. Et le film s'étiole rapidement car les séquences s'enchaîne platement avec des personnages parasites.