Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Kill Bill (vol 2) n'est en rien le film d'une soumission à la toute-puissance du passé. En son arène immobile et silencieuse -gymnase et jardin multicolore dans le premier, living-home ou désert mythique ici-, plutôt la confirmation en forme de chef-d'oeuvre apaisé d'une redéfinition totale de l'espace du cinéma de genre moderne.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Ecran Fantastique
par Paul Fries
Au finish, un Tarantino de grand cru -l'un des moments de cinéma pulp les plus délirants et enthousiasmants que l'on ait jamais vu sur grand écran!
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Kill Bill volume II est tout à la fois une grande et tragique histoire d'amour avec, en toile de fond, un hommage aux arts martiaux chinois, aux westerns spaghetti, aux films noirs des années 40 et un clin d'oeil aux films d'horreur. Tarantinesque à mort !
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...)Tarantino manie moins le sabre et un peu plus les dialogues, tout aussi tranchants, pour dénouer le roman familial. (...) C'est ça Kill Bill : (...) une belle tranche de gâteau, comme disait Hitchcock, avec des colorants et des conservateurs, mais aussi la totale, glace, coulis et chantilly par-dessus, et dedans plein de morceaux qu'on aime et qu'on reconnait. (...) Allez-y, gavez-vous.
Libération
par Philippe Garnier
Jamais encore, même depuis Pulp Fiction (et de façon moins forcée peut-être), Tarantino n'a allié texture, couleurs, musique et paroles de façon si performante, si naturelle, si excitante comme si on avait oublié que le cinéma pouvait être aussi ça, tout simplement.
Positif
par Yannick Dahan
En signant le meurtre allégorique des pères de son cinéma, Tarantino laisse désormais celui-ci se métamorphoser en épopée humaine. Rarement démarche artistique n'aura fait montre d'autant d'humilité, d'intégrité et de panache.
Première
par Nicolas Schaller
Une oeuvre aussi majestueuse que personnelle (...) Kill Bill apparaît comme l'autobiographie fantasmée d'un romantique monomaniaque. Tarantino ne peut désormais plus fuir sa vraie nature (et sa raison de vivre) : celle de Superman des cinéastes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par François Gorin
Les ellipses, les incises, les parenthèses reposent (...) sur un mécanisme d'horlogerie impeccable. C'est précis, minutieux, millimétré. Tarantino est bien l'héritier des Billy Wilder et Joseph L. Mankiewicz.
Variety
par Todd McCarthy
(...) une conclusion très savoureuse et d'une suprême élégance à un festin de cinéphilie tous azimuts.
Zurban
par Véronique Le Bris
Cette suite manie avec un talent inégalé les références au western spaghetti, aux arts martiaux chinois et les explications psychologiques. Le tout dégage une forte émotion. On en rêvait. Quentin l'a fait, il signe ici l'un, sinon le meilleur, de ses films.
Aden
par La rédaction
(...) Quand le premier volume jouait de la vitesse et de la fulgurance, le second mise sur l'attente, l'étirement et la tension qui grimpe dans un suspense plus silencieux. (...)Tarantino joue sur l'attente, l'observation, l'apprentissage. Qui, à chaque fois, dévoile la vraie nature des héros : avidité, orgueil, jalousie...
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Fluctuat.net
par Agathe Moroval
Par rapport au Vol. 1, le Vol. 2 est donc plus bavard et moins musclé (les duels remplacent les grands massacres), plus long, plus narratif et moins novateur. Mais on retrouve avec délectation une marque de fabrique : cette b.o. hallucinante (chapeau à RZA), et ce sens de l'humour qui traverse toutes les séquences.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Florence Colombani
Sans suspense, sans étude de caractère, avec cet argument si mince, que reste-t-il ? Le meilleur, c'est-à-dire un jeu délectable, complice, entre le cinéaste et le spectateur.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Quentin Tarantino frappe encore un grand coup, aussi puissant et précis qu'une bonne raclée de la Mariée. Le cinéaste cinéphile en a gardé sous la pédale et boucle le tout de façon magistrale. Moins survolté que le premier opus, KILL BILL VOLUME 2 reste tout aussi culotté et réussi.
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Les personnages titubent légérement sous le poids de l'armure mythologique que le cinéaste leur fait endosser, mais il s'en faut de peu que celui-ci nous livre le chef d'oeuvre qu'il entendait réaliser.
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Si la découpe du film ne trahit pas tout à fait les intentions de Tarantino, elle permet de vendre sans vergogne le film deux fois. Est-ce grave? Oui car le film tend à disposer côte à côte, comme célibataires, ses épaisseurs. Pareille opération réduit le film au commerce clos des références, et Tarantino à la petite logique du genre. (...) Mieux on parvient à regarder le volume 2 en ayant le 1 en mémoire, mieux il apparaît combien Tarantino excelle à ce que le cinéma lui offre de plus pauvre: l'art patient de dialogues où l'attention s'éparpille et les centres se dipersent.
L'Humanité
par Jean Roy
Encore une fois, on déplore qu'un tel talent soit mis au service d'un discours aussi pauvre. Quentin Tarantino n'a rien d'autre à nous dire qu'il a passé sa vie à regarder des films, mais qu'est-ce qu'il le dit bien. Il y a là une idée de mise en scène par plan et on ne peut pas dire que les plans manquent.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Chronic'art.com
Kill Bill (vol 2) n'est en rien le film d'une soumission à la toute-puissance du passé. En son arène immobile et silencieuse -gymnase et jardin multicolore dans le premier, living-home ou désert mythique ici-, plutôt la confirmation en forme de chef-d'oeuvre apaisé d'une redéfinition totale de l'espace du cinéma de genre moderne.
L'Ecran Fantastique
Au finish, un Tarantino de grand cru -l'un des moments de cinéma pulp les plus délirants et enthousiasmants que l'on ait jamais vu sur grand écran!
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Kill Bill volume II est tout à la fois une grande et tragique histoire d'amour avec, en toile de fond, un hommage aux arts martiaux chinois, aux westerns spaghetti, aux films noirs des années 40 et un clin d'oeil aux films d'horreur. Tarantinesque à mort !
Les Inrockuptibles
(...)Tarantino manie moins le sabre et un peu plus les dialogues, tout aussi tranchants, pour dénouer le roman familial. (...) C'est ça Kill Bill : (...) une belle tranche de gâteau, comme disait Hitchcock, avec des colorants et des conservateurs, mais aussi la totale, glace, coulis et chantilly par-dessus, et dedans plein de morceaux qu'on aime et qu'on reconnait. (...) Allez-y, gavez-vous.
Libération
Jamais encore, même depuis Pulp Fiction (et de façon moins forcée peut-être), Tarantino n'a allié texture, couleurs, musique et paroles de façon si performante, si naturelle, si excitante comme si on avait oublié que le cinéma pouvait être aussi ça, tout simplement.
Positif
En signant le meurtre allégorique des pères de son cinéma, Tarantino laisse désormais celui-ci se métamorphoser en épopée humaine. Rarement démarche artistique n'aura fait montre d'autant d'humilité, d'intégrité et de panache.
Première
Une oeuvre aussi majestueuse que personnelle (...) Kill Bill apparaît comme l'autobiographie fantasmée d'un romantique monomaniaque. Tarantino ne peut désormais plus fuir sa vraie nature (et sa raison de vivre) : celle de Superman des cinéastes.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Les ellipses, les incises, les parenthèses reposent (...) sur un mécanisme d'horlogerie impeccable. C'est précis, minutieux, millimétré. Tarantino est bien l'héritier des Billy Wilder et Joseph L. Mankiewicz.
Variety
(...) une conclusion très savoureuse et d'une suprême élégance à un festin de cinéphilie tous azimuts.
Zurban
Cette suite manie avec un talent inégalé les références au western spaghetti, aux arts martiaux chinois et les explications psychologiques. Le tout dégage une forte émotion. On en rêvait. Quentin l'a fait, il signe ici l'un, sinon le meilleur, de ses films.
Aden
(...) Quand le premier volume jouait de la vitesse et de la fulgurance, le second mise sur l'attente, l'étirement et la tension qui grimpe dans un suspense plus silencieux. (...)Tarantino joue sur l'attente, l'observation, l'apprentissage. Qui, à chaque fois, dévoile la vraie nature des héros : avidité, orgueil, jalousie...
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Par rapport au Vol. 1, le Vol. 2 est donc plus bavard et moins musclé (les duels remplacent les grands massacres), plus long, plus narratif et moins novateur. Mais on retrouve avec délectation une marque de fabrique : cette b.o. hallucinante (chapeau à RZA), et ce sens de l'humour qui traverse toutes les séquences.
Le Monde
Sans suspense, sans étude de caractère, avec cet argument si mince, que reste-t-il ? Le meilleur, c'est-à-dire un jeu délectable, complice, entre le cinéaste et le spectateur.
MCinéma.com
Quentin Tarantino frappe encore un grand coup, aussi puissant et précis qu'une bonne raclée de la Mariée. Le cinéaste cinéphile en a gardé sous la pédale et boucle le tout de façon magistrale. Moins survolté que le premier opus, KILL BILL VOLUME 2 reste tout aussi culotté et réussi.
TéléCinéObs
Les personnages titubent légérement sous le poids de l'armure mythologique que le cinéaste leur fait endosser, mais il s'en faut de peu que celui-ci nous livre le chef d'oeuvre qu'il entendait réaliser.
Cahiers du Cinéma
Si la découpe du film ne trahit pas tout à fait les intentions de Tarantino, elle permet de vendre sans vergogne le film deux fois. Est-ce grave? Oui car le film tend à disposer côte à côte, comme célibataires, ses épaisseurs. Pareille opération réduit le film au commerce clos des références, et Tarantino à la petite logique du genre. (...) Mieux on parvient à regarder le volume 2 en ayant le 1 en mémoire, mieux il apparaît combien Tarantino excelle à ce que le cinéma lui offre de plus pauvre: l'art patient de dialogues où l'attention s'éparpille et les centres se dipersent.
L'Humanité
Encore une fois, on déplore qu'un tel talent soit mis au service d'un discours aussi pauvre. Quentin Tarantino n'a rien d'autre à nous dire qu'il a passé sa vie à regarder des films, mais qu'est-ce qu'il le dit bien. Il y a là une idée de mise en scène par plan et on ne peut pas dire que les plans manquent.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr